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Galets Beach — Restaurant in Basse-Terre

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Galets Beach
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Franko Grill - Grillades
Rue Félicité Léandre, Bouillante 97125, Guadeloupe
Sunset B
N2 97125, Guadeloupe
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RUE DE L'ABBE, Bouillante 97125, Guadeloupe
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route de Poirier BOUILLANTE GP 97125, Bouillante, Guadeloupe
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Galets Beach things to do, attractions, restaurants, events info and trip planning
Galets Beach
FranceGuadeloupeBasse-TerreGalets Beach

Basic Info

Galets Beach

Rue de l'Abbé, Bouillante 97125, Guadeloupe
3.8(276)
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spot

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attractions: , restaurants: Franko Grill - Grillades, Sunset B
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galetsbeach.com

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Franko Grill - Grillades

Sunset B

Franko Grill - Grillades

Franko Grill - Grillades

4.8

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Sunset B

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4.8

(383)

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Tomasz JankowskiTomasz Jankowski
I gave it two stars for the service element because of the lovely waitress from the Dominican Republic, who was very friendly and smiled. The rest of the staff were as rude as it gets. The food was awful, at least as far as what we had goes. Specifically, the rillettes literally tasted only of condensated milk, with some chunks of presumably fish (whose flavour evaporated in the freezer years ago). The accras had a texture of cement that didn't seize, and tasted like somone dropped a bag of salt into them. My wife claimed that her pokey bowl, which they call something esle, was good - she was trying to offset my outrage at the place. She ate but a quarter of it though. My tuna dish was all sinew, and again only tasted of salt. The salad that I chose to accompany it, had a shlop of mustard on top for vinaigrette purposes. The fries were good. There was not a drop of salt on them, which I found to be deliciously sarcastic. The table we were sat at was right next to the open air toilet, and we had the pleasure of watching patrons having diarrhoea while wiggling their feet, and smelling it all while eating our bags of salt. People at other tables smoked openly, which I believe is illegal in France. We went there on our first night of vacation at the hotel just up the hill, spent 100 euros, and never returned. I do not recommend this restaurant.
NathanNathan
Le Galets Beach : J’y ai vécu deux soirées inoubliables. Littéralement. Même dans dix ans, je m’en souviendrai… en frissonnant. Nous y avons dîné deux jours de suite, non pas par choix (Dieu merci, je ne suis pas masochiste), mais parce que la demi-pension de l’hôtel des Galets Rouges nous y obligeait. Une forme de punition divine, probablement. À la fin du deuxième soir, j’aurais préféré faire la grève de la faim ou manger des galets (les vrais, sur la plage) plutôt que de remettre un orteil dans ce restaurant. Dès notre première arrivée, nous avons été accueillis par une serveuse aussi chaleureuse qu’un dimanche de novembre sous la pluie. Aimable comme une gardienne de prison, sans un sourire, sans un mot gentil. Le genre de service qui vous donne envie de demander pardon d’être venu. Premier soir, j’étais encore optimiste. J’ai demandé une entrée : “y’en a plus”. Une salade ? “Y’en a plus non plus”. Un dessert au chocolat ? “Plus de stock”. J’ai failli demander un verre d’eau pour voir si ça aussi, c’était en rupture. Spoiler : le deuxième soir, j’ai justement commandé une bouteille d’eau… que j’attends encore. Je me dis qu’ils font peut-être des fouilles archéologiques pour la retrouver. Côté cuisine, accrochez-vous. Le slogan, c’est “produits frais et faits maison”. Et cette fameuse “pêche du jour” ? Si elle venait du jour, alors ce jour-là, le chalutier a sûrement accosté chez Carrefour. Je veux bien croire à la fraîcheur… mais il faut aussi croire au Père Noël pour avaler ça sans sourciller. Le poisson avait ce petit goût… de congélation lente et d’industrialisation bien rodée. Le soir suivant, mention spéciale à mon entrecôte de 300 grammes, annoncée comme une belle pièce de viande… et qui s’est avérée être un véritable cauchemar carnivore. Un concentré de gras, de nerfs, et d’arnaque. J’ai passé plus de temps à tenter de découper l’amas gélatineux qu’à réellement manger — et encore, quand j’ai réussi à en détacher un morceau, c’était un chewing-gum de bœuf. À croire qu’on m’a servi la retraite d’une vache de 22 ans. Et pour accompagner ce chef-d’œuvre ? Des frites brûlées, noires, sèches, carbonisées. J’aurais préféré qu’on me serve directement un briquet, au moins j’aurais compris l’intention. Mais parlons un instant du choix stratégique de notre table. Notre table était idéalement située dans ce qu’on pourrait appeler, sans exagération, le triangle des Bermudes de la restauration : coincée entre la cuisine, les escaliers, la caisse, les toilettes et un stand photo. Ce dernier a d’ailleurs attiré une horde de personnes surexcitées, qui ont tout simplement encerclé notre table pendant une bonne partie du repas. C’était comme manger au milieu d’un shooting photo de mariage organisé dans un hall de gare. Cerise sur le gâteau (qu’ils n’avaient plus non plus, soit dit en passant) : l’ambiance musicale. Un DJ était censé mettre l’ambiance. En réalité, il semblait plus préoccupé par sa chicha que par ses platines. Les sons qu’il a envoyés dans les haut-parleurs ressemblaient davantage à des bruits de chantier mixés par un enfant de deux ans (et encore, mon petit frère est plus mélodieux avec un xylophone en plastique). On criait presque pour se parler, mais vu l’ambiance, c’était peut-être mieux de se taire. Et tout ça, après deux heures et demie d’attente : arrivée à 19h30, départ à 22h, le regard vide, l’estomac à moitié plein, mais l’âme complètement lasse. On n’a même pas eu le courage de commander un dessert : on avait perdu tout espoir, et surtout toute volonté de rester une minute de plus dans cet enfer gastronomique. En résumé ? Le Galets Beach, c’est un peu l’endroit où vos espoirs culinaires vont pour mourir. Service glacial, nourriture douteuse, ambiance sonore agressive et cadre à faire pâlir une cafétéria de gare. Une étoile, par pure charité chrétienne. Et encore, je me demande si ce n’est pas trop.
ben-touir nadiaben-touir nadia
Expérience choquante !!! “Nous sommes arrivés au restaurant un jour de forte pluie, vers 11h45. Le personnel nous a informés qu’il ne pourrait pas prendre notre commande avant 12h, ce qui ne posait aucun problème. Cependant, à 12h20, alors que d’autres clients arrivaient et étaient installés sans attendre et sans réservation, nous n’avions toujours pas de carte. J’ai demandé à la serveuse, qui m’a répondu de façon peu aimable qu’elle allait nous l’apporter. Après avoir consulté la carte, un responsable (le manager, je suppose) s’est approché de nous en demandant de libérer la table, en raison d’un manque de disponibilités. Étonnés, nous avons exprimé notre incompréhension face à cette demande, d’autant plus que nous avions attendu plus de 35 minutes sans information. En réponse, le manager s’est agacé, reprochant à son équipe de nous avoir accueilli, sans se soucier de notre situation. La conversation s’est terminée de manière encore plus déroutante, avec une remarque inappropriée concernant notre présence dans son établissement (remarque sur notre provenance d’origine qui est la France, le continent). Nous avons trouvé ce comportement incompréhensible et peu professionnel. En espérant que cet avis permettra une amélioration de l’accueil et de la gestion des clients.” Cet avis reste factuel sans apporter trop de détails qui je vous assure était juste inacceptable. Je ne souhaite pas postuler ces avis car je sais qu’ils peuvent nuire à l’établissement mais là il et nécessaire de faire quelque chose pour la gestion de la clientèle, qu’il reste bien placé et très jolie. Pour le repas je en pourrais pas vous en dire plus 😉
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I gave it two stars for the service element because of the lovely waitress from the Dominican Republic, who was very friendly and smiled. The rest of the staff were as rude as it gets. The food was awful, at least as far as what we had goes. Specifically, the rillettes literally tasted only of condensated milk, with some chunks of presumably fish (whose flavour evaporated in the freezer years ago). The accras had a texture of cement that didn't seize, and tasted like somone dropped a bag of salt into them. My wife claimed that her pokey bowl, which they call something esle, was good - she was trying to offset my outrage at the place. She ate but a quarter of it though. My tuna dish was all sinew, and again only tasted of salt. The salad that I chose to accompany it, had a shlop of mustard on top for vinaigrette purposes. The fries were good. There was not a drop of salt on them, which I found to be deliciously sarcastic. The table we were sat at was right next to the open air toilet, and we had the pleasure of watching patrons having diarrhoea while wiggling their feet, and smelling it all while eating our bags of salt. People at other tables smoked openly, which I believe is illegal in France. We went there on our first night of vacation at the hotel just up the hill, spent 100 euros, and never returned. I do not recommend this restaurant.
Tomasz Jankowski

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Le Galets Beach : J’y ai vécu deux soirées inoubliables. Littéralement. Même dans dix ans, je m’en souviendrai… en frissonnant. Nous y avons dîné deux jours de suite, non pas par choix (Dieu merci, je ne suis pas masochiste), mais parce que la demi-pension de l’hôtel des Galets Rouges nous y obligeait. Une forme de punition divine, probablement. À la fin du deuxième soir, j’aurais préféré faire la grève de la faim ou manger des galets (les vrais, sur la plage) plutôt que de remettre un orteil dans ce restaurant. Dès notre première arrivée, nous avons été accueillis par une serveuse aussi chaleureuse qu’un dimanche de novembre sous la pluie. Aimable comme une gardienne de prison, sans un sourire, sans un mot gentil. Le genre de service qui vous donne envie de demander pardon d’être venu. Premier soir, j’étais encore optimiste. J’ai demandé une entrée : “y’en a plus”. Une salade ? “Y’en a plus non plus”. Un dessert au chocolat ? “Plus de stock”. J’ai failli demander un verre d’eau pour voir si ça aussi, c’était en rupture. Spoiler : le deuxième soir, j’ai justement commandé une bouteille d’eau… que j’attends encore. Je me dis qu’ils font peut-être des fouilles archéologiques pour la retrouver. Côté cuisine, accrochez-vous. Le slogan, c’est “produits frais et faits maison”. Et cette fameuse “pêche du jour” ? Si elle venait du jour, alors ce jour-là, le chalutier a sûrement accosté chez Carrefour. Je veux bien croire à la fraîcheur… mais il faut aussi croire au Père Noël pour avaler ça sans sourciller. Le poisson avait ce petit goût… de congélation lente et d’industrialisation bien rodée. Le soir suivant, mention spéciale à mon entrecôte de 300 grammes, annoncée comme une belle pièce de viande… et qui s’est avérée être un véritable cauchemar carnivore. Un concentré de gras, de nerfs, et d’arnaque. J’ai passé plus de temps à tenter de découper l’amas gélatineux qu’à réellement manger — et encore, quand j’ai réussi à en détacher un morceau, c’était un chewing-gum de bœuf. À croire qu’on m’a servi la retraite d’une vache de 22 ans. Et pour accompagner ce chef-d’œuvre ? Des frites brûlées, noires, sèches, carbonisées. J’aurais préféré qu’on me serve directement un briquet, au moins j’aurais compris l’intention. Mais parlons un instant du choix stratégique de notre table. Notre table était idéalement située dans ce qu’on pourrait appeler, sans exagération, le triangle des Bermudes de la restauration : coincée entre la cuisine, les escaliers, la caisse, les toilettes et un stand photo. Ce dernier a d’ailleurs attiré une horde de personnes surexcitées, qui ont tout simplement encerclé notre table pendant une bonne partie du repas. C’était comme manger au milieu d’un shooting photo de mariage organisé dans un hall de gare. Cerise sur le gâteau (qu’ils n’avaient plus non plus, soit dit en passant) : l’ambiance musicale. Un DJ était censé mettre l’ambiance. En réalité, il semblait plus préoccupé par sa chicha que par ses platines. Les sons qu’il a envoyés dans les haut-parleurs ressemblaient davantage à des bruits de chantier mixés par un enfant de deux ans (et encore, mon petit frère est plus mélodieux avec un xylophone en plastique). On criait presque pour se parler, mais vu l’ambiance, c’était peut-être mieux de se taire. Et tout ça, après deux heures et demie d’attente : arrivée à 19h30, départ à 22h, le regard vide, l’estomac à moitié plein, mais l’âme complètement lasse. On n’a même pas eu le courage de commander un dessert : on avait perdu tout espoir, et surtout toute volonté de rester une minute de plus dans cet enfer gastronomique. En résumé ? Le Galets Beach, c’est un peu l’endroit où vos espoirs culinaires vont pour mourir. Service glacial, nourriture douteuse, ambiance sonore agressive et cadre à faire pâlir une cafétéria de gare. Une étoile, par pure charité chrétienne. Et encore, je me demande si ce n’est pas trop.
Nathan

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Expérience choquante !!! “Nous sommes arrivés au restaurant un jour de forte pluie, vers 11h45. Le personnel nous a informés qu’il ne pourrait pas prendre notre commande avant 12h, ce qui ne posait aucun problème. Cependant, à 12h20, alors que d’autres clients arrivaient et étaient installés sans attendre et sans réservation, nous n’avions toujours pas de carte. J’ai demandé à la serveuse, qui m’a répondu de façon peu aimable qu’elle allait nous l’apporter. Après avoir consulté la carte, un responsable (le manager, je suppose) s’est approché de nous en demandant de libérer la table, en raison d’un manque de disponibilités. Étonnés, nous avons exprimé notre incompréhension face à cette demande, d’autant plus que nous avions attendu plus de 35 minutes sans information. En réponse, le manager s’est agacé, reprochant à son équipe de nous avoir accueilli, sans se soucier de notre situation. La conversation s’est terminée de manière encore plus déroutante, avec une remarque inappropriée concernant notre présence dans son établissement (remarque sur notre provenance d’origine qui est la France, le continent). Nous avons trouvé ce comportement incompréhensible et peu professionnel. En espérant que cet avis permettra une amélioration de l’accueil et de la gestion des clients.” Cet avis reste factuel sans apporter trop de détails qui je vous assure était juste inacceptable. Je ne souhaite pas postuler ces avis car je sais qu’ils peuvent nuire à l’établissement mais là il et nécessaire de faire quelque chose pour la gestion de la clientèle, qu’il reste bien placé et très jolie. Pour le repas je en pourrais pas vous en dire plus 😉
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Dès notre première arrivée, nous avons été accueillis par une serveuse aussi chaleureuse qu’un dimanche de novembre sous la pluie. Aimable comme une gardienne de prison, sans un sourire, sans un mot gentil. Le genre de service qui vous donne envie de demander pardon d’être venu. Premier soir, j’étais encore optimiste. J’ai demandé une entrée : “y’en a plus”. Une salade ? “Y’en a plus non plus”. Un dessert au chocolat ? “Plus de stock”. J’ai failli demander un verre d’eau pour voir si ça aussi, c’était en rupture. Spoiler : le deuxième soir, j’ai justement commandé une bouteille d’eau… que j’attends encore. Je me dis qu’ils font peut-être des fouilles archéologiques pour la retrouver.

Côté cuisine, accrochez-vous. Le slogan, c’est “produits frais et faits maison”. Et cette fameuse “pêche du jour” ? Si elle venait du jour, alors ce jour-là, le chalutier a sûrement accosté chez Carrefour. Je veux bien croire à la fraîcheur… mais il faut aussi croire au Père Noël pour avaler ça sans sourciller. Le poisson avait ce petit goût… de congélation lente et d’industrialisation bien rodée.

Le soir suivant, mention spéciale à mon entrecôte de 300 grammes, annoncée comme une belle pièce de viande… et qui s’est avérée être un véritable cauchemar carnivore. Un concentré de gras, de nerfs, et d’arnaque. J’ai passé plus de temps à tenter de découper l’amas gélatineux qu’à réellement manger — et encore, quand j’ai réussi à en détacher un morceau, c’était un chewing-gum de bœuf. À croire qu’on m’a servi la retraite d’une vache de 22 ans. Et pour accompagner ce chef-d’œuvre ? Des frites brûlées, noires, sèches, carbonisées. J’aurais préféré qu’on me serve directement un briquet, au moins j’aurais compris l’intention.

Mais parlons un instant du choix stratégique de notre table. Notre table était idéalement située dans ce qu’on pourrait appeler, sans exagération, le triangle des Bermudes de la restauration : coincée entre la cuisine, les escaliers, la caisse, les toilettes et un stand photo. Ce dernier a d’ailleurs attiré une horde de personnes surexcitées, qui ont tout simplement encerclé notre table pendant une bonne partie du repas. C’était comme manger au milieu d’un shooting photo de mariage organisé dans un hall de gare.

Cerise sur le gâteau (qu’ils n’avaient plus non plus, soit dit en passant) : l’ambiance musicale. Un DJ était censé mettre l’ambiance. En réalité, il semblait plus préoccupé par sa chicha que par ses platines. Les sons qu’il a envoyés dans les haut-parleurs ressemblaient davantage à des bruits de chantier mixés par un enfant de deux ans (et encore, mon petit frère est plus mélodieux avec un xylophone en plastique). On criait presque pour se parler, mais vu l’ambiance, c’était peut-être mieux de se taire.

Et tout ça, après deux heures et demie d’attente : arrivée à 19h30, départ à 22h, le regard vide, l’estomac à moitié plein, mais l’âme complètement lasse. On n’a même pas eu le courage de commander un dessert : on avait perdu tout espoir, et surtout toute volonté de rester une minute de plus dans cet enfer gastronomique.

En résumé ? Le Galets Beach, c’est un peu l’endroit où vos espoirs culinaires vont pour mourir. Service glacial, nourriture douteuse, ambiance sonore agressive et cadre à faire pâlir une cafétéria de gare. Une étoile, par pure charité chrétienne. Et encore, je me demande si ce...

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1y

We stumbled upon this gem as we drove the coast looking for somewhere to eat dinner on Sunday - EVERYTHING else was closed as far as we could tell. We learned later that is pretty common on the island, but we were grateful to find something open Sunday. The restaurant is all the way at the bottom of the hill, tucked away, back from the beach. The atmosphere was superb, boasting treehouse/bungalow type seating, well-arranged to create spaces between parties. You could hear waves crashing as you ate, which was great. We only tried a few dishes - the bruschetta was decent, not what you'd expect in America, but still good. The cocktails were well-crafted and boozy - I highly recommend their pina colada (heavy on the coconut, in case that's not your jam) as you could taste the freshness of the ingredients. Dinner items were not available until 7pm, but you could order cocktails and some tapas earlier. The service was slow and not overly attentive, but...

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