Université Catholique de l'Ouest [UCO Nantes] — Attraction in Nantes

Je suis actuellement étudiante en L3 en sciences de l'éducation à l'UCO. Tout d'abord, nous payons chaque année 8000 €, avec une augmentation annuelle de 2000 € en raison des travaux liés à la création d'un portail, ce qui me semble totalement disproportionné pour une telle institution. En effet, nos cours nous sont communiqués la veille pour le lendemain et notre emploi du temps change chaque semaine, ce qui rend impossible la possibilité de travailler en parallèle. De plus, l'université est située dans un endroit très excentré, ce qui limite l'accès au restaurant universitaire. Le transport en commun est également insuffisant, puisqu'un seul bus dessert l'université. Concernant les infrastructures, les locaux sont mal adaptés : le chauffage est inopérant en hiver dans les salles de cours et à la cantine, mais fonctionne dans les bureaux des enseignants et des responsables. Nous devons donc assister aux cours en manteau, écharpe et bonnet. De plus, des fuites d'eau sont fréquentes dans les couloirs. L’administration laisse également à désirer : nous recevons nos résultats de partiels plus de trois mois après leur passage. En outre, en seulement six mois, nous avons eu trois changements d’assistante de formation, ce qui a perturbé le bon déroulement de nos études. Ce genre de situation ne devrait pas se produire. Les promotions ne se mélangent pas, je ne connais que les étudiants de ma propre promotion, ce qui limite les interactions. Par ailleurs, les enseignants ne sont pas toujours informés du contexte de leurs interventions (ils ignorent parfois quelle filière ils vont rencontrer ou les contenus qu’ils doivent enseigner). Enfin, les modalités d’évaluation sont fréquemment modifiées, il serait souhaitable qu’elles soient enfin fixes. Je déconseille fortement cette...

Etudiante à l'UCO Nantes depuis son ouverture, j'ai la sensation d'une belle arnaque. Rien n'était prêt et aujourd'hui encore tout est bancal. La "Bibliothèque Universitaire" se compose seulement de 3 étagères, à moitié pleine ! (voir photo) Le directeur qui cumule de très nombreux postes au sein de l'UCO et en dehors n'est absolument pas disponible pour gérer son établissement en dehors de la communication vendeuse. Les options proposées à l'inscription ne sont plus proposées à la rentrée. Les enseignants ne sont pas toujours informés du contexte de leur intervention (ils ne savent pas quelle filière ils vont rencontrer, quels contenus ils doivent proposer...) Pas de cohérence dans le programme : des répétitions mais aussi des gros manquements. Des enseignants qui parfois n'ont rien à offrir aux étudiants, ni enseignements, ni savoirs professionnels. Aucun suivi personnel contrairement à ce qui est vendu. Une organisation logistique très brouillon avec un secrétariat qui laisse volontiers son travail aux étudiants qui doivent régulièrement se charger de trouver un créneau horaire, une salle, le matériel, etc pour programmer des cours. Des heures de cours non dispensées. Ça fait déjà beaucoup pour une année qui peut coûter 5.900€... Il faudra peut-être revenir dans 10 ans le temps que ça se structure, en attendant la qualité de l'UCO Nantes n'est pas du tout à la hauteur de la réputation de l'UCO. = RAPPORT...

La majorité des professeurs sont cordiales et droits. L’administration malgré son incapacité grande , fait de son mieux. Les activités extra scolaires sont multiples ( fêtes , voyages, sport ).

Mais en ce qui concerne l’ambiance même des cours : Au vu de la majorité des étudiants sur place : c’est À FUIR ! Entre le RCISME , l’ISLMOPHOBIE et la X* NOPHOBIE en 2024 , c’est scandaleux. Que ce soit de la part d’étudiants et même parfois de professeur. Pour vous donner un exemple concret : Des classements sur nos couleurs de peau ont été effectué tout au cours de l’année , accompagnés de commentaires désobligeants et moqueurs.

Être noire ou arabe , à l’UCO , signifie appartenir à une classe sociale bien prédéfini. J’osais espérer que le XX eme siècle ai délaissé ce principe de stigmatisation et de préjugé derrière lui , mais l’UCO m’a rappellé que NON.

Étudiante durant mes deux premières années de droit la bas , j’ai trouvé une ambiance de classe compétitive et très malsaine. Entre étudiants privilégiés et méprisants , j’ai clairement eu ma dose.

J’ai préféré partir pour me sentir plus à l’aise dans le public et ça a fait son effet ! Les cours de l’UCO ne sont pas plus qualitatifs que dans le public , l’avantage de l’UCO est son effectif à taille humaine. Mais il faut préciser que les humains qui la compose nuisent clairement à sa valeur.

In fine , je...