Gurs internment camp — Attraction in Oloron-Sainte-Marie

Moving. You can't see much anymore, the trees have created a forest where the hundreds of huts that housed the prisoners were located. But if you walk the length of the camp, you get an idea of the size of the place. Imprisonment, torture and dehumanisation on an industrial scale. At the end entrance are a set of tall pillars that list the number of people and groups who were imprisoned there - Jews, Spanish and French soldiers, gypsies and more. Very poignant as the moment, as the extreme right grow in strength and their need for a group to hate and blame for all the troubles...

Le mémorial est un lieu à visiter pour ce qu'il suggère et évoque plus que pour ce qu'il montre car les vestiges de ce camp d'internement de 80 hectares ouvert de 1939 à 1945 sont rares. Pourtant 60 000 personnes y ont été emprisonnées et y ont souffert de faim, de froid et de maladie. En fait, à sa fermeture, il a été brûlé tellement il était insalubre et recouvert d'une forêt. Seule l'implication d'une association de survivants et de villes allemandes a permis de le faire ressurgir de l'oubli. Surtout regardez le film d'introduction ( commentaire en 4 langues et sous titrage en anglais) même s'il n'est pas facile à voir car il est projeté sur un écran à contrejour et consultez la borne interactive avant de commencer à parcourir les 2 sentiers. Le cimetière israélite et la reconstitution d'un baraquement sont poignants. Prévoyez une heure trente à 2 heures si vous voulez bien comprendre le lieu et vous imprégner de son histoire. Des toilettes sont disponibles au pavillon d'accueil, et si vous voulez lire des livres sur ce camp, allez à l'office de tourisme de Navarrenx , village où vous pourrez aussi boire un verre pour vous remettre de cette visite instructive mais...

El campo de Gurs, de refugiados primero y campo de concentración después, aunque no había mucha diferencia, se construyó para acoger a Republicanos y voluntarios de las Brigadas Internacionales huidos de la represión del ejército franquista. Más tarde ingresaron a miembros de la Resistencia y a Judios. Funcionó de 1939 hasta el 46. Hay tantas historias en este lugar. Gracias a la asociación francesa de los Amigos de Gurs podemos conservar la memoria de este Campo, conocer lo que ocurrió y rendir homenaje a todos los que sufrieron por sus ideas, por luchar por el gobierno legitimo y la libertad o simplemente por ser perseguidos por su "raza". Pero como en España la memoria no es algo que nos pertenezca, de lo que debamos de aprender, sino que pensamos que con la desmemoria el futuro será mejor, sin tener en cuenta todas las teorías contrarias y ejemplares de los estados que se han podido reconstruir gracias a la reparación de su pasado, aquí no veo a ninguna institución ni asociación española involucrada en esta recuperación del Campo de Gurs. Sin memoria no hay futuro, o es imposible que haya futuro...