Si vous cherchez un cursus ARTS PLASTIQUES… va falloir vous accrocher. C'est une catastrophe. Beaucoups d'étudiants de base et en plus des admissions avec les phases complémentaires. Sur le papier, on nous propose une liberté avec gestion de notre emploi du temps. C'est beau mais complètement mensonger : il y a des UE avec seulement deux cours par semestre (assez peu, 70-80 places et limite deux fois plus d'étudiants mais soit) mais surtout que ces cours chevauchent des plages horaires d'autres cours, souvent hyper intéressants. En parlant de cours intéressants, on nous promet de la pratique... Lol. Tujours les mêmes choses, et très, mais alors très rarement du dessin. Quand il y a un cours de pratique en dessin, c'est la 3eme guerre mondiale qui débute pour réussir à gratter une place. 20-25 places pour 100 étudiants désireux de suivre ce cours. Ahurissant. Les salles ? D grand n'importe quoi. J'ai déjà eu des cours qui ont sautés car on avait attribué une salle plus petite qu'un appart parisien pour un cours de 70+ étudiants. Les salles ont des barreaux aux fenêtres, ça donne l'impression d'être en prison, paye le sentiment de liberté. Des tables et des chaises cassés, voir inexistante dans certains cas. On a déjà eu des cours avec une moitié de classe par terre, sur le sol très, très sale. Même des partiels qui ont dû être passés à même le sol. Les alarmes qui beuglent car personne n'arrive à les éteindre, un plaisir de passer un cours avec 30min d'alarme suraiguë en fond sonore. Les profs.... . Y en a qui veulent faire vivre le cours, et qui se donnent, ils sont incroyables. Des cours incroyables comme dessin modèle vivants, ou de très rares profs de théorie qui font vraiment vivre le cours. Les autres, à moitié mort de l'intérieur, et qui se foutent des étudiants. J'ai eu une prof qui n'est même pas venue en salle le dernier cours après 2h30 de retard et déposé les partiels "corrigés" autre part. Aka une note griffonnée sans explication, vouloir s'améliorer n'était pas une option. Une autre à cette prof qui a lâché "mais si tu es pauvre, que fais-tu à la fac" à mon intention. C'était gratuit, il faut croire que pour une fac qui se bat contre la précarité étudiante et accueille un max d'étudiants dans la panade financièrement, il fallait bien une prof qui fasse exception. Le secrétariat, c'était le loto. Ils avaient l'air aussi perdu que les étudiants, ce qui rendaient la communication aussi efficace qu'une porte. Un peu comme celle que l'on voyait toujours fermée au vu des horaires très shorts. Les inscriptions aux cours, parlons en. La plage horaire catastrophique qui se chevauchent avec plein d'autres cours, le manque de cours dans certaines catégories, mais l'inscription audit cours ? Une masterclass. Je ne sais même pas si j'ai eu un seul semestre où le site fonctionnait normalement. Inscription 8h, site en panne à 8h01 jusqu'à une heure indéterminée, nous dire qu'il sera ouvert le lendemain à la même heure mais en fait lol, non, il est ouvert dès le soir à minuit. Quelques inclassables : -On est """""fouillés""""" à l'entrée, mais bon vu le débit c'est impossible de vraiment vérifier. Et en effet, première semaine, pour une performance visant à se décrire, quelqu'un a pu ramener plusieurs couteaux sans soucis. C'est spécial comme mise en bouche pour une semaine d'introduction.

• Ça me reste toujours en travers de la gorge d'avoir vu un "week end d'apprentissage aux travaux manuels" pour retaper l'université. Genre on embauche gratuitementes étudiants.
• Je n'ai jamais vu autant de camarades devenir dépressifs tellement c'était un Kamoulox.
• Le chauffage c'est pour les faibles.
• Je cherche toujours à comprendre comment ma moyenne d'anglais a pu passer de 16 à 10 en un semestre alors que j'ai seulement changer de prof.
• Paraît il qu'il y avait des cours d'apiculture ou d'archéologie, dommage de l'avoir appris sur la dernière année au second semestre. -Nan, sérieux, pourquoi il y avait une poule dans la fac ?