The camp site is quite big but spacious! Our only gripe was the pitch was really muddy! We know this can't be helped due to weather but maybe something that could be looked into! Our pitch was protected by trees, so expect this contributed to the damp ground! The pitch was also a little unlevel which isn't great in a tent, but we managed!
We only stopped 2 nights, so didn't manage to explore the activities on the site as it was a short break for Disney. It's is located perfectly for those wishing to access Disneyland! Shuttle bus is charged at âŹ2.50 each which was good-was also regular. Although we drove from the campsite -again well located!
Quiet time is from 10pm, but there were some guests (mostly children) still running about until midnight on our first night!
We would return given the great location for Disneyland and would hope to get a less muddy pitch!
Toilets/showers were easily accessible and were ok! Washing facilities for washing pots were plentyful. Only small gripe was the shop didn't particularly store alot! It would have been helpful if they had washing powder of some description.
We ordered freshly made croissants which were delish!
Lovely...
   Read moreTraitement inacceptable, agressivité choquante, zéro professionnalisme !!
Je viens Ă Jablines depuis plusieurs annĂ©es avec le mĂȘme type de maillot de bain : un t-shirt de bain moulant (portĂ© pour des raisons mĂ©dicales) et une culotte de bain. Ce nâest ni un burkini, ni une tenue de ville, mais un maillot couvrant mon dos et mes Ă©paules. Jamais cela nâavait posĂ© problĂšme. JusquâĂ aujourdâhui.
Alors que je me baignais tranquillement, une maĂźtre-nageuse mâa demandĂ© de sortir de lâeau, sans mâexpliquer clairement pourquoi. Ă lâaccueil, une dame trĂšs gentille mâa Ă©coutĂ©e et mâa orientĂ©e vers le poste de secours. Câest lĂ que tout a dĂ©rapĂ©.
LâĂ©quipe du poste de secours sâest montrĂ©e agressive, contradictoire, mĂ©prisante et sans pĂ©dagogie. Dâabord, ils mâont dit que le bas de mon t-shirt Ă©tait trop ample. Alors nous avons proposĂ© une solution simple et respectueuse : ajouter un short de bain par-dessus. Refus catĂ©gorique. Puis, changement de version : « le problĂšme, câest le t-shirt en lui-mĂȘme ». Sauf que des dizaines de personnes dans lâeau portaient des t-shirts. Aucune explication cohĂ©rente ne nous a Ă©tĂ© donnĂ©e. Et encore une fois, il sâagissait bien dâun t-shirt de bain, pas dâun vĂȘtement ordinaire.
Mon copain a alors dit : « Mais wesh, yâa plein de gens avec des t-shirts dans lâeau ». Certes, le mot « wesh » nâĂ©tait pas formel, mais il nâavait aucune intention insultante. Ce nâĂ©tait quâun mot spontanĂ©. En retour, nous avons essuyĂ© une tempĂȘte de violence verbale : le responsable du poste de secours a hurlĂ©, insultĂ© mon copain de mal Ă©duquĂ©, allant jusquâĂ lui dire « Tu vas rien faire avec ton corps de lĂąche ». Pendant ce temps, jâĂ©tais en larmes, choquĂ©e par tant de mĂ©pris et dâagressivitĂ© gratuite. Mon copain est restĂ© calme, ne rĂ©pondant pas aux provocations. Ce sont des gens autour qui ont dĂ» retenir ce monsieur, car il sâenflammait totalement. Et malgrĂ© cela, il est revenu faire le tour du poste pour revenir nous provoquer une deuxiĂšme fois.
Finalement, les agents de sĂ©curitĂ©, qui ont Ă©tĂ© dâun professionnalisme irrĂ©prochable, nous ont demandĂ© de quitter les lieux. Et ce, aprĂšs que nous avions payĂ© 16⏠dâentrĂ©e et 26⏠pour une activitĂ© paddle. Le poste de secours, lui, refusait tout remboursement. Heureusement, les agents de sĂ©curitĂ© ainsi que les dames de lâaccueil (et un monsieur Ă©galement) ont Ă©tĂ© adorables, comprĂ©hensifs, humains et ce sont eux qui ont pris la dĂ©cision de nous rembourser. Un immense merci Ă eux.
Ce que nous avons vĂ©cu, câest une humiliation gratuite, une discrimination, et un abus dâautoritĂ© flagrant. Aucun geste ni mot de notre part ne justifiait une telle explosion de haine. On nous a dĂ©nigrĂ©s, verbalement et physiquement, pour un t-shirt de bain mĂ©dical.
Je dĂ©conseille fortement ce lieu Ă toute personne ayant des problĂšmes de peau, ou une sensibilitĂ© au soleil (dos, bras, etc.), et qui doit porter un t-shirt de bain pour raisons mĂ©dicales. Apparemment, ici, si vous ne vous exposez pas comme eux lâexigent, vous devenez indĂ©sirable. Ce nâest pas une base de loisirs, câest une base de jugement.
En partant, jâai simplement dit ce que je pensais : câĂ©tait dĂ©gueulasse de leur part. Et je le maintiens. Ce genre de comportement ne devrait jamais exister dans un lieu censĂ© ĂȘtre accueillant, familial et respectueux de la diversitĂ© des corps et...
   Read moreJ'Ă©cris ce commentaire pour rendre claire une chose importante hors saison, hors les journĂ©es payantes, pour vous Ă©viter les dĂ©ceptions et de ruiner votre temps. Les plages de l'Ile de Loisirs de Jablines sont entourĂ©es de clĂŽture en mĂ©tal qui est fermĂ©e et surveillĂ©e, vous ne pouvez pas accĂ©der aux plages. LĂ oĂč il n'y a pas de plages, il y a de gros pancartes qui informent que la baignade est interdite. Le fait que la base est ouverte les journĂ©es non-payantes ne change pas le fait que les clĂŽtures de plages sont fermĂ©es et vous pouvez juste observer la plage par les clĂŽtures. Sachez aussi que dans les toilettes la boite pour le papier est installĂ©e dans le couloir, mais pas dans les cabines. Au dessus de l'Ă©vier il y a la "charte des utilisateurs des sanitaires" : "1. je reste courtois avec les autres usagers et je reste discret, 2. je respecte la propretĂ© de lieux (âŠ), 3. je nettoie toujours (âŠ), 4. Je tire la chassĂ© (âŠ)" etc. RĂ©gion Ile de France, merci de nous avoir fait toutes ces remarques, sans vous on serait perdus. Dommage qu'on ne sait toujours pas si de l'eau est potable ou non - cela n'est pas affichĂ©. Je suis venue dĂ©couvrir la base le 8 septembre 2023, la chaleur Ă©tait Ă©norme, Ă Paris on avaient 33°C. Quand je suis venue Ă la base j'ai vu qu'il y avait un problĂšme entre la sĂ©curitĂ© et les gens - une de personnes qui a observĂ© la scĂšne m'a expliquĂ© que les gens ont voulu jouer avec le ballon et la balle est tombĂ©e de l'autre cĂŽtĂ© de la clĂŽture, sur la plage. Un homme a voulu aller chercher la balle, il a sautĂ© ou voulu sauter par la barriĂšre et aussitĂŽt la sĂ©curitĂ© et ensuite la police sont arrivĂ©es. Tout ce que j'ai compris entre les cris c'Ă©tait "on a l'enregistrement" et "vous aller payer la contravention". Il y avaient pas mal de gens qui, comme moi, avant de venir ont cru pouvoir nager juste sans surveillance les maitres nageurs. Personnellement j'Ă©tais Ă©tonnĂ©e que la base paye les agents de sĂ©curitĂ© mais n'a pas pu payer un maitre nageur pour ouvrir ou moins une partie de la plage et une caissiĂšre pour nous faire payer notre ticket vu la tempĂ©rature et malgrĂ© que cette journĂ©e Ă©tait prĂ©vue non-payante. J'ai discutĂ© avec plusieurs personnes dans la mĂȘme situation qui ont lu sur Google que la base Ă©tait ouverte et qui n'ont pas imagĂ© qu'il y aurait une barriĂšre qui coupe la plage de la population. J'ai parlĂ© aussi avec une femme qui venait nager sur ce lac depuis sa jeunesse et qui Ă©tait dĂ©solĂ©e de se voir dans l'impossibilitĂ© de nager depuis que la barriĂšre Ă©tait installĂ©e ces derniĂšres annĂ©es. La base est belle et j'ai regrettĂ© de la dĂ©couvrir dans ces circonstances qui me paraissaient absurdes. J'Ă©tais trĂšs Ă©tonnĂ©e de voir que c'est la RĂ©gion Ile de France...
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