🇲🇬 Une échappée dans le Parc national de Marojejy – entre majesté et sérénité
🗺️ 1. Ma visite en quelques mots C’était au cœur de la saison sèche, en juillet, que j’ai eu la chance de passer trois jours à Marojejy. L’objectif était clair : m’immerger dans la beauté brute de la nature, capturer quelques instants magiques en photo et simplement… respirer. J’étais accompagné d’un petit groupe d’amis passionnés par la biodiversité malgache, ce qui a amplifié l’expérience. La météo était globalement clémente, alternant entre brume matinale et soleil éclatant, créant une ambiance presque mystique dans la forêt. L’atmosphère était paisible, propice à la contemplation.
🌿 2. Ce qui m’a marqué, et ce qui pourrait être amélioré : Ce parc est une merveille.
Les sentiers sont bien balisés et accessibles (même si parfois la pente vous rappelle que la nature n’est pas une promenade de santé !).
La richesse de la végétation et la diversité des espèces, dont les célèbres propithèques de Perrier, sont tout simplement fascinantes.
Les guides, chaleureux et passionnés, ont partagé leurs savoirs avec une rare générosité.
Le calme et l’authenticité du site offrent une vraie coupure du tumulte quotidien.
Et côté prix, le rapport qualité-expérience est très satisfaisant.
Quelques points à noter cependant :
Certains tronçons du sentier vers le sommet étaient glissants et mériteraient un petit entretien.
Certains visiteurs ont mentionné un manque d’indications claires sur les zones de camping ou les règles à suivre. Mais rien qui ne gâche profondément l’expérience.
🌟 3. À qui je recommande Marojejy… et quelques conseils pratiques Ce parc est un trésor pour les amoureux de la nature, les randonneurs curieux, les photographes en quête d’ambiances uniques, et tous ceux qui souhaitent se reconnecter à l’essentiel. Je conseille de s’y rendre entre juin et septembre pour éviter les fortes pluies. Prévoir des chaussures de randonnée solides, un poncho (la météo peut surprendre), et une lampe frontale pour les explorations nocturnes.
Ce que je retiens de ce séjour, c’est une humilité face à la grandeur du vivant. Marojejy n’est pas un simple décor : c’est...
Read moreHet wordt veel groter gemaakt dan het is, en is heel erg als ze dan ook nog wetenschappers toelaten die ongegeneerd alle herpetofauna in stoffen, ja zelfs plastic, zakken binnen graaien voor bloedmonsters of huidmonsters. Je vindt dan niets. Ze sturen er spotters op uit en die komen in de avond met tientallen beesten naar kamp 2, en worden zeker niet op de vangplaats terug gezet. Deze 9 Amerikanen pakken het halve kamp in bezit, waarna de rest zowat wordt ingepikt door Europese botanisten. Ik, ik ben veldbioloog, zou de officiële documenten wel eens willen inzien maar begrijp dat het allemaal in Antananarivo wordt geregeld en lokaal onbekend is. Als oud wetenschapper geef ik onderzoekers nauwelijks nog credits, misschien op een enkele uitzondering na. Natuurlijk betalen de toeristen de hoge prijzen. Wie gaat dit...
Read moreAoût 2024. Nous avons passé 3 jours / 2 nuits dans le parc. Nous sommes allés jusqu’au camp 2 à 11kms du village avec 500mD+. Le camp 3 est à 2kms avec 800mD+. Pour aller au sommet il faut compter 5 jours. C’est une forêt primaire remarquable avec une faune, paysage et nature incroyable. Notre guide Donatien parle très bien français, il connaît le parc depuis 30 ans je vous le recommande lors de la réservation. L’équipe qui nous a accompagné prend en charge tout et porte tout. On fait travailler les locaux. Le parc est géré avec les villageois en éco-responsabilité. Les objectifs sont la préservation l’entretien la transmission et enfin les visites. Avec l’argent des frais entrées vous faites vivre tout un système pour maintenir et faire vivre les locaux. Si vous êtes dans le nord allez-y. Merveilleux moments...
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