accessible depuis la route qui par de St-Imier direction chasseral dans le grand virage à gauche (épingle) prendre le chemin en pierre et laisser la voiture, petite marche de 10 minute pour arriver au ruine.
un peut d histoire:
Oton d'Erguël y exerce la charge d'avoué jusqu'en 1264 (première trace écrite), date à laquelle il résigne sa charge à "Heinrich III von Neuenburg-Erguel", évêque de Bâle de 1262 à 1274. Le maire épiscopal de Bienne reçoit la charge d'avoué ainsi que le droit de bannière (droit de traiter avec les puissances étrangères et d'accorder des secours de troupes) dans le Bas-Erguël.
En 1284, le château est fortifié et de nombreux travaux de restauration sont faits.
En 1335, le château est mis sous la tutelle de la ville de Saint-Imier par le traité de combourgeoisie.
En 1386, un incendie détruit en partie le château.
En 1395, la ville de Bienne obtient le droit de bannière dans le Haut-Erguël.
Au xve siècle, la ville de Bienne acquiert le droit de lever des troupes en Erguël.
En 1479, le traité de combourgeoisie du chapitre de Saint-Imier est reconduit.
En 1493, l'Erguël est administré par la ville de Bienne, les maires de la vingtaine de villages ou hameaux groupés en huit paroisses ou mairies n'étant que ses exécutants.
En 1530, Soleure accueille le chapitre de Saint-Imier.
En 1553, l’évêché de Bâle engage l'Erguël à Bienne pour 7000 couronnes. Les Erguëliens, appuyés par Soleure, obtiennent la dénonciation de cet accord.
En 1556, ils obtiennent l'octroi des franchises d'Erguël par l’évêque.
En 1575, la région subit le début de la Contre-Réforme catholique de l’évêque de Bâle qui veut remettre ses ouailles dans le droit chemin.
En 1594, l’évêque veut récupérer ses droits sur l’Erguël, mais Soleure et Bienne qui les possèdent et font partie de la Suisse, terre d’asile pour les huguenots, demandent à la diète fédérale de statuer sur leur cas. Mais l’arbitrage fédéral confirme pour l'essentiel ce statu quo.
En 1599, Bienne abandonne la plupart de ses droits dans l'Erguël à l’évêque contre la garantie de la liberté de culte, elle ne garde que le droit de lever des troupes.
En 1604, l'affaire de l'échange de Bienne met fin aux ambitions de la seigneurie, qui sans le soutien du centre urbain de Bienne se retrouve bien seule à la frontière de la Suisse, mais obtient encore plus d’autonomie par l'octroi d'un droit coutumier.
En 1605, l’évêque installe un châtelain, son représentant direct, à Courtelary
En 1606, l’évêque transfère l'instance d'appel à Porrentruy.
En 1617, l'évêque entreprend une restauration et des réparations, la guerre de Trente ans n'épargne pas le château avec de nouvelles destructions
En 1754, l'entretien du château est abandonné. Les bâtiments tombent peu à peu en ruine.
En 1796, la vallée d’Erguël est rattachée à la ville de Bienne
En 1797, à la suite de son annexion par la France, l'évêché de Bâle n'a plus les droits de seigneurie ou bailliage sur l’Erguël.
En 1845, la tour est acquise par la bourgeoisie de Sonvilier.
Aujourd’hui, le donjon circulaire, avec ses boulins visibles à la hauteur des étages, en est le vestige le plus...
Read moreSome small ruins of a castle with a nice view over the villages down below. In the middle of the forest. You can make a nice hike to achieve it and there are some picnic tables there. The castle itself is now basically some ruins of a tower. Worth a visit if you are nearby or from the region...
Read moreBeautiful view of the St Imier valley and spectacular cliffs. The tale of the white dame is a great one to tell. Drive to the bottom of the village of Sonvilier and walk 45 min through the forest on a...
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