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Aux Petits Oignons — Restaurant in Jodoigne

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Aux Petits Oignons
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Art Sanctuary, Rue du Tilleul 22, 1370 Jodoigne, Belgium
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Rue des Prés 4, 1370 Jodoigne, Belgium
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Aux Petits Oignons things to do, attractions, restaurants, events info and trip planning
Aux Petits Oignons
BelgiumWalloon BrabantJodoigneAux Petits Oignons

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Aux Petits Oignons

Chau. de Tirlemont 260, 1370 Jodoigne, Belgium
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attractions: Art Sanctuary, restaurants:
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Huitre (Oester)
Quelques mises en bouche (enkele proevertjes). calamar / pomme verte / curry vert (calamar/groene appel/groene curry)
Moule Et Homard (Mossel En Kreeft)
Quelques mises en bouche (enkele proevertjes). fenouil/ basilic thaĂŻ / piment (venkel/thais basilicum/piment)
Langoustine (Langoustine)
Combava / passion / argousier (combava/passievrucht/duindoorn)
Gambero Rosso (Gambero Rosso)
Risotto / sobrasada pamplemousse rose (risotto/sobrasada roze pompelmoes)
Turbot (Tarbot)
Lard de colonnata / artichaut / couteau et crevette grise (colonnata-spek/artisjok / scheermes en grijze gamaal)

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Art Sanctuary

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4.6

(111)

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Reviews of Aux Petits Oignons

4.6
(390)
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5.0
32w

Une visite au restaurant étoilé Aux Petits Oignons à Jodoigne. Une cuisine fusion qui met en avant des ingrédients de saison et une superbe mise en place.

La salle a été rénovée récemment et on peut dire qu'on a gagné en confort et en luminosité. On se croirait dans un boudoir parisien grùce aux couleurs poudrées beiges et rosées et des canapés tout en rond et en velours qui apportent une certaine douceur.

Nous avons Ă©galement vue sur les cuisines ouvertes immaculĂ©es de blanc oĂč l'on peut observer les chefs au travail e attendant nos plats.

Je commencerai par l'apĂ©ritif maison qui n'a pas changĂ©, Ă  base de vodka, de fruits de la passion et de blanc d’Ɠuf fouettĂ© comme un nuage posĂ© sur le cocktail. Il est toujours aussi rafraĂźchissant et joli Ă  regarder.

Pour accompagner celui-ci, le serveur nous propose un premier service d'amuses bouche. La premiĂšre bouchĂ©e est composĂ©e d'un tartare de veau extrĂȘmement bien assaisonnĂ© sur un tacos surmontĂ©e d'un crĂ©meux Ă  l’ail des ours qui relĂšve encore le tartare. Ensuite, un croquant de patate douce et pour le cĂŽtĂ© onctueux une crĂšme au yuzu renforcĂ©e par une pincĂ©e de piment d'Espelette. Un mix de goĂ»ts audacieux qui provoque un feu d'artifice en bouche. Et pour terminer ce premier service, une tartelette garnie de fromage frais, de basilic frais et d'un Ă©mincĂ© d'oignons.

Mais, ce n'est pas tout, à notre grand étonnement, une deuxiÚme salve de mises en bouche plus sucrée salée fait son apparition. Plus conséquente, on pourrait penser à une premiÚre petite entrée. Ce deuxiÚme service est constitué de deux assiettes à base de crabe. Une raviole de crabe avec un coulis de mangue épicée servie sur un crabe et un émincé de crabe recouvert d'un voile de betterave rouge et d'une fleur de kumquat. Ce crabe en deux façons est servis avec de la focaccia maison et du beurre de ferme graphique pour saucer et ne pas en laisser une miette.

Le tout est trÚs coloré et annonce le ton d'un bon repas dans une cuisine fusion avec des ingrédients locaux et une touche asiatique. AprÚs ces bouchées, nous n'avons qu'une envie, goûter au reste du menu. Nous avons choisi le lunch, l'entrée et le plat nous sont donc imposés. Pour l'entrée, le chef nous propose un maquereau mariné au kimchi (chou fermenté) au centre de l'assiette posé sur un voile de sauce aigre-douce légÚrement pimentée. A nouveau, on retrouve ici la cuisine fusion du chef avec des connotations asiatiques. Je n'étais pas certaine d'apprécier cette entrée car j'étais sceptique sur le maquereau mais il était tellement bien préparé que je l'ai trouvé délicieux.

Pour le plat, ici aussi, place Ă  l'Ă©tonnement grĂące Ă  la cuisson au barbecue du bƓuf wagyu et Ă  la sauce barbecue qui l'accompagne ainsi qu'une mousseline de pomme de terre et des champignons shiitakĂ©s. La viande et la sauces sont pleines de goĂ»t et la viande hyper tendre. Elle fond en bouche.

On termine par une note sucrée retour en enfance en trempant le bùtonnet vanille fÚve de tonka dans la sauce au caramel un peu comme un Magnum artisanal et les différentes garnitures graphiques au chocolat qui accompagnent.

Et la touche finale, le thé et ses mignardises : une tartelette banane, un cÎne mousse chocolat-orange et une sucette chocolat-cassis. Du fruit, du fruit, du fruit et du chocolat pour cette derniÚre note sucrée.

SincÚrement, dÚs qu'on passe la porte des Petits Oignons, on comprend pourquoi ce restaurant est étoilé. Tout est parfait que ce soit le service, la décoration de la salle, les arrangements de mets, les goûts, les assaisonnements ou la présentation des différentes...

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3.0
1y

Mon avis concernant cet Ă©tablissement Ă©toilĂ© est plutĂŽt mitigĂ©. CĂŽtĂ© cuisine, c’est (presque) un sans faute. Nous avons optĂ© pour le menu « Inspiration » 5 services, une sĂ©lection de vins pour mon conjoint et deux verres de vin blanc pour moi pendant le repas. Pour l’apĂ©ro, j’ai pris un verre de bulles (produit belge) et mon conjoint un Negroni blanc. TrĂšs bon choix pour ma part. Le Negroni Ă©tait trĂšs bon mais le verre trĂšs exiguĂ« )plus de glaçons que de produit). AprĂšs le dessert, nous avons optĂ© pour un irish coffee (Monsieur) et un thĂ© (moi) pour les mignardises. Tout Ă©tait dĂ©licieux et chaque plat bien Ă©quilibrĂ© et correctement prĂ©sentĂ©. Mention spĂ©ciale pour le pigeonneau qui fondait littĂ©ralement en bouche. CĂŽtĂ© service et ambiance, je suis globalement déçue de la prestation. Tout d’abord, le restaurant est assez petit. Cosy et bien dĂ©corĂ©, certes, mais les tables sont trĂšs (trop) proches. De plus, niveau sonore, j’étais trĂšs surprise du brouhaha. Je ne sais pas si c’est un souci d’insonorisation ou de proximitĂ© de tables mais on ne s’entendait pas parler. Et, surtout, on n’entendait pas le sommelier quand il prĂ©sentait les vins. Ensuite, le service Ă©tait Ă  la fois nonchalant et expĂ©ditif. L’eau Ă©tait servie de maniĂšre trĂšs brusque, les plats Ă©taient repris Ă  la seconde oĂč on terminait la derniĂšre bouchĂ©e
 Par contre, l’épisode le plus Ă©tonnant pour un restaurant gastronomique ça concerne les verres. En effet, on nous a servi Ă  boire dans des verres qui sentaient trĂšs mauvais. Je ne sais pas Ă  quoi cela Ă©tĂ© dĂ» mais c’était vraiment dĂ©sagrĂ©able, surtout pour boire du vin. Au troisiĂšme verre qui puait, mon conjoint a fait la remarque au sommelier. Le sommelier a mis son nez dans le verre et il nous a confirmĂ© qu’effectivement le verre avait Ă©tĂ© probablement sĂ©chĂ© avec un vieux chiffon. Ensuite, au lieu de nous servir un nouveau verre de vin, il a vidĂ© le mauvais verre dans un autre (propre). Nous avons trouvĂ© cette pratique trĂšs bizarre pour un restaurant de standing. C’était dĂ©jĂ  assez difficile de faire la remarque sur les verres, nous avons laissĂ© tomber. Vraiment dommage parce que la sĂ©lection de vin aurait pu ĂȘtre un 5/5. Et, d’autant plus que, pour le prix (50€ la sĂ©lection du menu 5 services) ce n’est pas acceptable. Je sais que le gĂ©rant de l’établissement rĂ©pondra Ă  mon commentaire en me disant qu’on aurait pu faire le feed-back au premier verre. C’est vrai, mais cela n’est pas toujours Ă©vident puisque le souhait n’est pas de mettre le staff mal Ă  l’aise. On peut aussi ĂȘtre comprĂ©hensifs en tant que clients. Pour conclure, cuisine au top, service et accueil Ă  revoir. Je ne suis pas sĂ»re...

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DĂšs notre arrivĂ©e, l’ambiance a posĂ© le ton : un brouhaha constant, rendant difficile toute conversation fluide. Si le cadre se voulait chaleureux, il aurait gagnĂ© Ă  mieux gĂ©rer l’acoustique pour offrir une expĂ©rience plus immersive.

Le menu chasse en cinq services (plus amuses bouche), accompagnĂ© d’accords mets et vins, promettait une aventure gustative. La qualitĂ© des plats s'est rĂ©vĂ©lĂ©e inĂ©gale. Certains plats touchaient presque Ă  l’excellence, comme le chevreuil, malheureusement lĂ©gĂšrement trop cuit. Dommage, car sa cuisson parfaite aurait permis de sublimer cette piĂšce maĂźtresse. À l’inverse, d’autres mets restaient corrects sans provoquer d’émotion notable.

La sauce champignons-cafĂ© accompagnant le faisan Ă©tait une belle surprise : une alliance audacieuse, exĂ©cutĂ©e avec justesse. Malheureusement, cette originalitĂ© n’a pas Ă©tĂ© la rĂšgle sur le reste du menu, oĂč les saveurs semblaient souvent se superposer sans harmonie. Les ingrĂ©dients, pourtant de qualitĂ©, ne parvenaient pas Ă  dialoguer entre eux, laissant une impression de confusion. Une cacophonie gustative oĂč le plaisir s’éparpille.

Les accords vins-mets, un critÚre essentiel pour ce type de menu, étaient globalement décevants. Si le vin accompagnant le chevreuil était bien pensé, le reste des choix semblait manquer de finesse, se contentant de suivre des rÚgles générales sans réelle réflexion sur les saveurs.

CĂŽtĂ© service, les prĂ©sentations manquaient de profondeur. Aucune passion dans la description des plats. Les vins nous Ă©taient dĂ©crits Ă  la maniĂšre d’une Ă©tiquette de bouteille : cĂ©page, appellation, localisation. J’aurais apprĂ©ciĂ© un discours plus vivant, une Ă©vocation de leur personnalitĂ© ou de leurs subtilitĂ©s aromatiques. Cela aurait donnĂ© une dimension supplĂ©mentaire Ă  l’expĂ©rience.

Enfin, un dĂ©tail qui tranche 😁. Le petit pain, servi maladroitement coupĂ© en quatre pour ĂȘtre partagĂ©, manquait de raffinement. Ce n’est pas tant la qualitĂ© du pain qui est en cause – correcte, mais rien de mĂ©morable – que la maniĂšre. Une telle prĂ©sentation est davantage attendue dans un bistrot qu’au sein d’un Ă©tablissement gastronomique.

En conclusion, et mĂȘme si j'ai passĂ© un moment agrĂ©able, Aux Petits Oignons n’a pas su pleinement me convaincre. Si l'on salue certains plats et associations audacieuses, le manque de cohĂ©rence et de maĂźtrise sur l’ensemble empĂȘche de vĂ©ritablement marquer les esprits. Une belle promesse, mais qui reste...

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Céline BolkaertsCéline Bolkaerts
Une visite au restaurant Ă©toilĂ© Aux Petits Oignons Ă  Jodoigne. Une cuisine fusion qui met en avant des ingrĂ©dients de saison et une superbe mise en place. La salle a Ă©tĂ© rĂ©novĂ©e rĂ©cemment et on peut dire qu'on a gagnĂ© en confort et en luminositĂ©. On se croirait dans un boudoir parisien grĂące aux couleurs poudrĂ©es beiges et rosĂ©es et des canapĂ©s tout en rond et en velours qui apportent une certaine douceur. Nous avons Ă©galement vue sur les cuisines ouvertes immaculĂ©es de blanc oĂč l'on peut observer les chefs au travail e attendant nos plats. Je commencerai par l'apĂ©ritif maison qui n'a pas changĂ©, Ă  base de vodka, de fruits de la passion et de blanc d’Ɠuf fouettĂ© comme un nuage posĂ© sur le cocktail. Il est toujours aussi rafraĂźchissant et joli Ă  regarder. Pour accompagner celui-ci, le serveur nous propose un premier service d'amuses bouche. La premiĂšre bouchĂ©e est composĂ©e d'un tartare de veau extrĂȘmement bien assaisonnĂ© sur un tacos surmontĂ©e d'un crĂ©meux Ă  l’ail des ours qui relĂšve encore le tartare. Ensuite, un croquant de patate douce et pour le cĂŽtĂ© onctueux une crĂšme au yuzu renforcĂ©e par une pincĂ©e de piment d'Espelette. Un mix de goĂ»ts audacieux qui provoque un feu d'artifice en bouche. Et pour terminer ce premier service, une tartelette garnie de fromage frais, de basilic frais et d'un Ă©mincĂ© d'oignons. Mais, ce n'est pas tout, Ă  notre grand Ă©tonnement, une deuxiĂšme salve de mises en bouche plus sucrĂ©e salĂ©e fait son apparition. Plus consĂ©quente, on pourrait penser Ă  une premiĂšre petite entrĂ©e. Ce deuxiĂšme service est constituĂ© de deux assiettes Ă  base de crabe. Une raviole de crabe avec un coulis de mangue Ă©picĂ©e servie sur un crabe et un Ă©mincĂ© de crabe recouvert d'un voile de betterave rouge et d'une fleur de kumquat. Ce crabe en deux façons est servis avec de la focaccia maison et du beurre de ferme graphique pour saucer et ne pas en laisser une miette. Le tout est trĂšs colorĂ© et annonce le ton d'un bon repas dans une cuisine fusion avec des ingrĂ©dients locaux et une touche asiatique. AprĂšs ces bouchĂ©es, nous n'avons qu'une envie, goĂ»ter au reste du menu. Nous avons choisi le lunch, l'entrĂ©e et le plat nous sont donc imposĂ©s. Pour l'entrĂ©e, le chef nous propose un maquereau marinĂ© au kimchi (chou fermentĂ©) au centre de l'assiette posĂ© sur un voile de sauce aigre-douce lĂ©gĂšrement pimentĂ©e. A nouveau, on retrouve ici la cuisine fusion du chef avec des connotations asiatiques. Je n'Ă©tais pas certaine d'apprĂ©cier cette entrĂ©e car j'Ă©tais sceptique sur le maquereau mais il Ă©tait tellement bien prĂ©parĂ© que je l'ai trouvĂ© dĂ©licieux. Pour le plat, ici aussi, place Ă  l'Ă©tonnement grĂące Ă  la cuisson au barbecue du bƓuf wagyu et Ă  la sauce barbecue qui l'accompagne ainsi qu'une mousseline de pomme de terre et des champignons shiitakĂ©s. La viande et la sauces sont pleines de goĂ»t et la viande hyper tendre. Elle fond en bouche. On termine par une note sucrĂ©e retour en enfance en trempant le bĂątonnet vanille fĂšve de tonka dans la sauce au caramel un peu comme un Magnum artisanal et les diffĂ©rentes garnitures graphiques au chocolat qui accompagnent. Et la touche finale, le thĂ© et ses mignardises : une tartelette banane, un cĂŽne mousse chocolat-orange et une sucette chocolat-cassis. Du fruit, du fruit, du fruit et du chocolat pour cette derniĂšre note sucrĂ©e. SincĂšrement, dĂšs qu'on passe la porte des Petits Oignons, on comprend pourquoi ce restaurant est Ă©toilĂ©. Tout est parfait que ce soit le service, la dĂ©coration de la salle, les arrangements de mets, les goĂ»ts, les assaisonnements ou la prĂ©sentation des diffĂ©rentes assiettes....
Giulia GuastiniGiulia Guastini
Mon avis concernant cet Ă©tablissement Ă©toilĂ© est plutĂŽt mitigĂ©. CĂŽtĂ© cuisine, c’est (presque) un sans faute. Nous avons optĂ© pour le menu « Inspiration » 5 services, une sĂ©lection de vins pour mon conjoint et deux verres de vin blanc pour moi pendant le repas. Pour l’apĂ©ro, j’ai pris un verre de bulles (produit belge) et mon conjoint un Negroni blanc. TrĂšs bon choix pour ma part. Le Negroni Ă©tait trĂšs bon mais le verre trĂšs exiguĂ« )plus de glaçons que de produit). AprĂšs le dessert, nous avons optĂ© pour un irish coffee (Monsieur) et un thĂ© (moi) pour les mignardises. Tout Ă©tait dĂ©licieux et chaque plat bien Ă©quilibrĂ© et correctement prĂ©sentĂ©. Mention spĂ©ciale pour le pigeonneau qui fondait littĂ©ralement en bouche. CĂŽtĂ© service et ambiance, je suis globalement déçue de la prestation. Tout d’abord, le restaurant est assez petit. Cosy et bien dĂ©corĂ©, certes, mais les tables sont trĂšs (trop) proches. De plus, niveau sonore, j’étais trĂšs surprise du brouhaha. Je ne sais pas si c’est un souci d’insonorisation ou de proximitĂ© de tables mais on ne s’entendait pas parler. Et, surtout, on n’entendait pas le sommelier quand il prĂ©sentait les vins. Ensuite, le service Ă©tait Ă  la fois nonchalant et expĂ©ditif. L’eau Ă©tait servie de maniĂšre trĂšs brusque, les plats Ă©taient repris Ă  la seconde oĂč on terminait la derniĂšre bouchĂ©e
 Par contre, l’épisode le plus Ă©tonnant pour un restaurant gastronomique ça concerne les verres. En effet, on nous a servi Ă  boire dans des verres qui sentaient trĂšs mauvais. Je ne sais pas Ă  quoi cela Ă©tĂ© dĂ» mais c’était vraiment dĂ©sagrĂ©able, surtout pour boire du vin. Au troisiĂšme verre qui puait, mon conjoint a fait la remarque au sommelier. Le sommelier a mis son nez dans le verre et il nous a confirmĂ© qu’effectivement le verre avait Ă©tĂ© probablement sĂ©chĂ© avec un vieux chiffon. Ensuite, au lieu de nous servir un nouveau verre de vin, il a vidĂ© le mauvais verre dans un autre (propre). Nous avons trouvĂ© cette pratique trĂšs bizarre pour un restaurant de standing. C’était dĂ©jĂ  assez difficile de faire la remarque sur les verres, nous avons laissĂ© tomber. Vraiment dommage parce que la sĂ©lection de vin aurait pu ĂȘtre un 5/5. Et, d’autant plus que, pour le prix (50€ la sĂ©lection du menu 5 services) ce n’est pas acceptable. Je sais que le gĂ©rant de l’établissement rĂ©pondra Ă  mon commentaire en me disant qu’on aurait pu faire le feed-back au premier verre. C’est vrai, mais cela n’est pas toujours Ă©vident puisque le souhait n’est pas de mettre le staff mal Ă  l’aise. On peut aussi ĂȘtre comprĂ©hensifs en tant que clients. Pour conclure, cuisine au top, service et accueil Ă  revoir. Je ne suis pas sĂ»re d’y retourner.
Nicolas BNicolas B
DĂšs notre arrivĂ©e, l’ambiance a posĂ© le ton : un brouhaha constant, rendant difficile toute conversation fluide. Si le cadre se voulait chaleureux, il aurait gagnĂ© Ă  mieux gĂ©rer l’acoustique pour offrir une expĂ©rience plus immersive. Le menu chasse en cinq services (plus amuses bouche), accompagnĂ© d’accords mets et vins, promettait une aventure gustative. La qualitĂ© des plats s'est rĂ©vĂ©lĂ©e inĂ©gale. Certains plats touchaient presque Ă  l’excellence, comme le chevreuil, malheureusement lĂ©gĂšrement trop cuit. Dommage, car sa cuisson parfaite aurait permis de sublimer cette piĂšce maĂźtresse. À l’inverse, d’autres mets restaient corrects sans provoquer d’émotion notable. La sauce champignons-cafĂ© accompagnant le faisan Ă©tait une belle surprise : une alliance audacieuse, exĂ©cutĂ©e avec justesse. Malheureusement, cette originalitĂ© n’a pas Ă©tĂ© la rĂšgle sur le reste du menu, oĂč les saveurs semblaient souvent se superposer sans harmonie. Les ingrĂ©dients, pourtant de qualitĂ©, ne parvenaient pas Ă  dialoguer entre eux, laissant une impression de confusion. Une cacophonie gustative oĂč le plaisir s’éparpille. Les accords vins-mets, un critĂšre essentiel pour ce type de menu, Ă©taient globalement dĂ©cevants. Si le vin accompagnant le chevreuil Ă©tait bien pensĂ©, le reste des choix semblait manquer de finesse, se contentant de suivre des rĂšgles gĂ©nĂ©rales sans rĂ©elle rĂ©flexion sur les saveurs. CĂŽtĂ© service, les prĂ©sentations manquaient de profondeur. Aucune passion dans la description des plats. Les vins nous Ă©taient dĂ©crits Ă  la maniĂšre d’une Ă©tiquette de bouteille : cĂ©page, appellation, localisation. J’aurais apprĂ©ciĂ© un discours plus vivant, une Ă©vocation de leur personnalitĂ© ou de leurs subtilitĂ©s aromatiques. Cela aurait donnĂ© une dimension supplĂ©mentaire Ă  l’expĂ©rience. Enfin, un dĂ©tail qui tranche 😁. Le petit pain, servi maladroitement coupĂ© en quatre pour ĂȘtre partagĂ©, manquait de raffinement. Ce n’est pas tant la qualitĂ© du pain qui est en cause – correcte, mais rien de mĂ©morable – que la maniĂšre. Une telle prĂ©sentation est davantage attendue dans un bistrot qu’au sein d’un Ă©tablissement gastronomique. En conclusion, et mĂȘme si j'ai passĂ© un moment agrĂ©able, Aux Petits Oignons n’a pas su pleinement me convaincre. Si l'on salue certains plats et associations audacieuses, le manque de cohĂ©rence et de maĂźtrise sur l’ensemble empĂȘche de vĂ©ritablement marquer les esprits. Une belle promesse, mais qui reste encore Ă  affiner.
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Une visite au restaurant Ă©toilĂ© Aux Petits Oignons Ă  Jodoigne. Une cuisine fusion qui met en avant des ingrĂ©dients de saison et une superbe mise en place. La salle a Ă©tĂ© rĂ©novĂ©e rĂ©cemment et on peut dire qu'on a gagnĂ© en confort et en luminositĂ©. On se croirait dans un boudoir parisien grĂące aux couleurs poudrĂ©es beiges et rosĂ©es et des canapĂ©s tout en rond et en velours qui apportent une certaine douceur. Nous avons Ă©galement vue sur les cuisines ouvertes immaculĂ©es de blanc oĂč l'on peut observer les chefs au travail e attendant nos plats. Je commencerai par l'apĂ©ritif maison qui n'a pas changĂ©, Ă  base de vodka, de fruits de la passion et de blanc d’Ɠuf fouettĂ© comme un nuage posĂ© sur le cocktail. Il est toujours aussi rafraĂźchissant et joli Ă  regarder. Pour accompagner celui-ci, le serveur nous propose un premier service d'amuses bouche. La premiĂšre bouchĂ©e est composĂ©e d'un tartare de veau extrĂȘmement bien assaisonnĂ© sur un tacos surmontĂ©e d'un crĂ©meux Ă  l’ail des ours qui relĂšve encore le tartare. Ensuite, un croquant de patate douce et pour le cĂŽtĂ© onctueux une crĂšme au yuzu renforcĂ©e par une pincĂ©e de piment d'Espelette. Un mix de goĂ»ts audacieux qui provoque un feu d'artifice en bouche. Et pour terminer ce premier service, une tartelette garnie de fromage frais, de basilic frais et d'un Ă©mincĂ© d'oignons. Mais, ce n'est pas tout, Ă  notre grand Ă©tonnement, une deuxiĂšme salve de mises en bouche plus sucrĂ©e salĂ©e fait son apparition. Plus consĂ©quente, on pourrait penser Ă  une premiĂšre petite entrĂ©e. Ce deuxiĂšme service est constituĂ© de deux assiettes Ă  base de crabe. Une raviole de crabe avec un coulis de mangue Ă©picĂ©e servie sur un crabe et un Ă©mincĂ© de crabe recouvert d'un voile de betterave rouge et d'une fleur de kumquat. Ce crabe en deux façons est servis avec de la focaccia maison et du beurre de ferme graphique pour saucer et ne pas en laisser une miette. Le tout est trĂšs colorĂ© et annonce le ton d'un bon repas dans une cuisine fusion avec des ingrĂ©dients locaux et une touche asiatique. AprĂšs ces bouchĂ©es, nous n'avons qu'une envie, goĂ»ter au reste du menu. Nous avons choisi le lunch, l'entrĂ©e et le plat nous sont donc imposĂ©s. Pour l'entrĂ©e, le chef nous propose un maquereau marinĂ© au kimchi (chou fermentĂ©) au centre de l'assiette posĂ© sur un voile de sauce aigre-douce lĂ©gĂšrement pimentĂ©e. A nouveau, on retrouve ici la cuisine fusion du chef avec des connotations asiatiques. Je n'Ă©tais pas certaine d'apprĂ©cier cette entrĂ©e car j'Ă©tais sceptique sur le maquereau mais il Ă©tait tellement bien prĂ©parĂ© que je l'ai trouvĂ© dĂ©licieux. Pour le plat, ici aussi, place Ă  l'Ă©tonnement grĂące Ă  la cuisson au barbecue du bƓuf wagyu et Ă  la sauce barbecue qui l'accompagne ainsi qu'une mousseline de pomme de terre et des champignons shiitakĂ©s. La viande et la sauces sont pleines de goĂ»t et la viande hyper tendre. Elle fond en bouche. On termine par une note sucrĂ©e retour en enfance en trempant le bĂątonnet vanille fĂšve de tonka dans la sauce au caramel un peu comme un Magnum artisanal et les diffĂ©rentes garnitures graphiques au chocolat qui accompagnent. Et la touche finale, le thĂ© et ses mignardises : une tartelette banane, un cĂŽne mousse chocolat-orange et une sucette chocolat-cassis. Du fruit, du fruit, du fruit et du chocolat pour cette derniĂšre note sucrĂ©e. SincĂšrement, dĂšs qu'on passe la porte des Petits Oignons, on comprend pourquoi ce restaurant est Ă©toilĂ©. Tout est parfait que ce soit le service, la dĂ©coration de la salle, les arrangements de mets, les goĂ»ts, les assaisonnements ou la prĂ©sentation des diffĂ©rentes assiettes....
Céline Bolkaerts

Céline Bolkaerts

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Mon avis concernant cet Ă©tablissement Ă©toilĂ© est plutĂŽt mitigĂ©. CĂŽtĂ© cuisine, c’est (presque) un sans faute. Nous avons optĂ© pour le menu « Inspiration » 5 services, une sĂ©lection de vins pour mon conjoint et deux verres de vin blanc pour moi pendant le repas. Pour l’apĂ©ro, j’ai pris un verre de bulles (produit belge) et mon conjoint un Negroni blanc. TrĂšs bon choix pour ma part. Le Negroni Ă©tait trĂšs bon mais le verre trĂšs exiguĂ« )plus de glaçons que de produit). AprĂšs le dessert, nous avons optĂ© pour un irish coffee (Monsieur) et un thĂ© (moi) pour les mignardises. Tout Ă©tait dĂ©licieux et chaque plat bien Ă©quilibrĂ© et correctement prĂ©sentĂ©. Mention spĂ©ciale pour le pigeonneau qui fondait littĂ©ralement en bouche. CĂŽtĂ© service et ambiance, je suis globalement déçue de la prestation. Tout d’abord, le restaurant est assez petit. Cosy et bien dĂ©corĂ©, certes, mais les tables sont trĂšs (trop) proches. De plus, niveau sonore, j’étais trĂšs surprise du brouhaha. Je ne sais pas si c’est un souci d’insonorisation ou de proximitĂ© de tables mais on ne s’entendait pas parler. Et, surtout, on n’entendait pas le sommelier quand il prĂ©sentait les vins. Ensuite, le service Ă©tait Ă  la fois nonchalant et expĂ©ditif. L’eau Ă©tait servie de maniĂšre trĂšs brusque, les plats Ă©taient repris Ă  la seconde oĂč on terminait la derniĂšre bouchĂ©e
 Par contre, l’épisode le plus Ă©tonnant pour un restaurant gastronomique ça concerne les verres. En effet, on nous a servi Ă  boire dans des verres qui sentaient trĂšs mauvais. Je ne sais pas Ă  quoi cela Ă©tĂ© dĂ» mais c’était vraiment dĂ©sagrĂ©able, surtout pour boire du vin. Au troisiĂšme verre qui puait, mon conjoint a fait la remarque au sommelier. Le sommelier a mis son nez dans le verre et il nous a confirmĂ© qu’effectivement le verre avait Ă©tĂ© probablement sĂ©chĂ© avec un vieux chiffon. Ensuite, au lieu de nous servir un nouveau verre de vin, il a vidĂ© le mauvais verre dans un autre (propre). Nous avons trouvĂ© cette pratique trĂšs bizarre pour un restaurant de standing. C’était dĂ©jĂ  assez difficile de faire la remarque sur les verres, nous avons laissĂ© tomber. Vraiment dommage parce que la sĂ©lection de vin aurait pu ĂȘtre un 5/5. Et, d’autant plus que, pour le prix (50€ la sĂ©lection du menu 5 services) ce n’est pas acceptable. Je sais que le gĂ©rant de l’établissement rĂ©pondra Ă  mon commentaire en me disant qu’on aurait pu faire le feed-back au premier verre. C’est vrai, mais cela n’est pas toujours Ă©vident puisque le souhait n’est pas de mettre le staff mal Ă  l’aise. On peut aussi ĂȘtre comprĂ©hensifs en tant que clients. Pour conclure, cuisine au top, service et accueil Ă  revoir. Je ne suis pas sĂ»re d’y retourner.
Giulia Guastini

Giulia Guastini

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DĂšs notre arrivĂ©e, l’ambiance a posĂ© le ton : un brouhaha constant, rendant difficile toute conversation fluide. Si le cadre se voulait chaleureux, il aurait gagnĂ© Ă  mieux gĂ©rer l’acoustique pour offrir une expĂ©rience plus immersive. Le menu chasse en cinq services (plus amuses bouche), accompagnĂ© d’accords mets et vins, promettait une aventure gustative. La qualitĂ© des plats s'est rĂ©vĂ©lĂ©e inĂ©gale. Certains plats touchaient presque Ă  l’excellence, comme le chevreuil, malheureusement lĂ©gĂšrement trop cuit. Dommage, car sa cuisson parfaite aurait permis de sublimer cette piĂšce maĂźtresse. À l’inverse, d’autres mets restaient corrects sans provoquer d’émotion notable. La sauce champignons-cafĂ© accompagnant le faisan Ă©tait une belle surprise : une alliance audacieuse, exĂ©cutĂ©e avec justesse. Malheureusement, cette originalitĂ© n’a pas Ă©tĂ© la rĂšgle sur le reste du menu, oĂč les saveurs semblaient souvent se superposer sans harmonie. Les ingrĂ©dients, pourtant de qualitĂ©, ne parvenaient pas Ă  dialoguer entre eux, laissant une impression de confusion. Une cacophonie gustative oĂč le plaisir s’éparpille. Les accords vins-mets, un critĂšre essentiel pour ce type de menu, Ă©taient globalement dĂ©cevants. Si le vin accompagnant le chevreuil Ă©tait bien pensĂ©, le reste des choix semblait manquer de finesse, se contentant de suivre des rĂšgles gĂ©nĂ©rales sans rĂ©elle rĂ©flexion sur les saveurs. CĂŽtĂ© service, les prĂ©sentations manquaient de profondeur. Aucune passion dans la description des plats. Les vins nous Ă©taient dĂ©crits Ă  la maniĂšre d’une Ă©tiquette de bouteille : cĂ©page, appellation, localisation. J’aurais apprĂ©ciĂ© un discours plus vivant, une Ă©vocation de leur personnalitĂ© ou de leurs subtilitĂ©s aromatiques. Cela aurait donnĂ© une dimension supplĂ©mentaire Ă  l’expĂ©rience. Enfin, un dĂ©tail qui tranche 😁. Le petit pain, servi maladroitement coupĂ© en quatre pour ĂȘtre partagĂ©, manquait de raffinement. Ce n’est pas tant la qualitĂ© du pain qui est en cause – correcte, mais rien de mĂ©morable – que la maniĂšre. Une telle prĂ©sentation est davantage attendue dans un bistrot qu’au sein d’un Ă©tablissement gastronomique. En conclusion, et mĂȘme si j'ai passĂ© un moment agrĂ©able, Aux Petits Oignons n’a pas su pleinement me convaincre. Si l'on salue certains plats et associations audacieuses, le manque de cohĂ©rence et de maĂźtrise sur l’ensemble empĂȘche de vĂ©ritablement marquer les esprits. Une belle promesse, mais qui reste encore Ă  affiner.
Nicolas B

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