L’Aldaburua a mille secrets pour nous surprendre. Au bas mot, ce restaurant est situé dans une agora des plus typiques des hauteurs basques, où la vue sur les collines de Larressore endossent le costume de coup de théâtre. Entre les chipirons ou le piment d’Espelette, la carte affiche de nombreux bons points. Encore faut-il bien connaître chacun de ces bons points. Vendredi dernier, le chef de rang nous a par exemple expliqué que le « Poulpe à la galicienne aïoli » était saupoudré de piment d’Espelette et qu’il fallait avoir le foie accroché. À l’arrivée, rien était relevé. Alors oui, la suggestion était parfaite, le grillade aussi, mais le piquant n’est jamais arrivé dans l’assiette. Pareil, dans les mille problèmes de ce serveur, on y retrouve le fade risotto à la moutarde et ses chipirons farcis, pourtant promis plein de goût. Même souci pour le vin où il a demandé à trois reprises qu’on lui indique notre choix sur la carte pour qu’il le retrouve sur son pad. Formidable.
Une méconnaissance totale de la carte auquel on y ajoute un manque d’accueil. À peine arrivé - la table alors incomplète à cause de quelques fumeurs et fumeuses terminant leurs affaires à l’entrée de cet hôtel-restaurant - on nous a demandé si on avait choisi nos apéritifs. Après lui avoir indiqué que nous venions à peine de nous asseoir, il nous a laissé respirer… avant de revenir à la charge qu’une poignée de secondes plus tard. Ambiance angoissante. Même discours du coup à ce moment là car la situation n’avait pas changé entre 19h46 et 19h47. L’été réserve souvent des soirées à rallonge et difficile pour tous les salariés de la restauration, mais c’est tout naturellement que pour une tablé de 15 couverts, qui a réservé une journée plus tôt, le discours des responsable doit être celui de la continuité, et surtout d’un suivi simple jusqu’au bout de la soirée. Nous avions là comme l’impression de déranger et de devoir laisser la place à d’autres dans l’heure. Et à force de jouer à ce jeu, le serveur de moins en moins aimable y a oublié tous ses fondamentaux. Pas de pain pour les plats en sauce, pas d’assaisonnements pour les salades ou les frites, des serviettes manquantes, des bouteilles de vins servies sans glaçons, pas de plateau pour venir avec les verres à vins déposés sur table après y avoir donc mis ses doigts dedans, et j’en passe et des meilleurs. Et à mesure que nous palliions toutes ces erreurs, les oublis revenaient mille fois plus fort sur la table. J’entends plus fort physiquement. Comme les carafes d’eau par exemple. Quand on le voit les poser brutalement sur la table en soufflant, on regrette presque de les avoir demandées.
Malgré tout ça, nous avions gardé le sourire, sans dire un mot, et nous n’avions en aucun cas l’intérêt d’écrire cet avis ou encore d’aller se plaindre au responsable au moment d’encaisser. Il y avait mille raisons de le faire, mais les vacances ont eu raison de notre bonne humeur. Sauf qu’il y a un mais. Au moment du dessert, une de nos amies est parti fumer. En passant devant le bar, elle a ni plus ni moins interrompu une discussion entre le fameux chef de rang et une de ses collègues où les propos mal placés étaient multiples à notre égard. Un manque de respect intolérable. Pas grave, aux gourmandises terminées, nous sommes allés gentiment transmettre toutes ces petites erreurs au responsable, sans oublier le fameux échange indiscret de ces salariés. Dans l’unique optique de gommer tout ça à l’avenir. Il n’a rien voulu savoir, rien entendu. Même pas tous les bienfaits que nous avons relevé. Un sérieux souci de remise en question et une victimisation qu’on retrouve dans toutes les cours de récréation. Loin de là l’envie de donner des leçons. Espérons même que ce retour à froid fasse effet.
Nous avons terminé la soirée au casino, devant des machines bien plus aimables. Dans l’assiette jusqu’au service, l’Aldaburua nous a donc livré un de ses mille secrets. Mais avant de nous convaincre et qu’on leur attribue mille façons d’avoir raison, il est bon de savoir que la première est d’avouer qu’on...
Read moreAffreusement affreux ! . Lieu qui donne envie et Menu aussi . Malheureusement….. cela est la seule chose positive :) les serveuses concours entre elles de salade de museaux , maison ! Ont sent une ambiance de M….!! Comme si elles se détestaient toutes entre elles ! J ai osé demandé des couverts car ils n y étaient pas sur la table, je me suis fait remballer ! On a beaucoup rigolé du coup tellement cela paraissait irréel . Cherchez la caméra cachée ! Concernant la cuisine car je ne peut pas dire chef …… les plats traduisent bien la non envie de , le manque de goût , on est dans le vite fait car il faut envoyer un max , l économie de la maison sur les produits pour faire plus de profits . On vous appâte avec un ou deux produits du terroir mais le résultat est que le congélateur avec les produits prêts sont très présents ( potatoes etc. ) mon tartare de truite sans goût : aucune herbes fraîche , pas de citron ou de sauce , salade premier prix pour la déco …. Viande : un morceau de béton quand vous demandez saignant ou rose ! La note était fausse en notre défaveur , là encore je me suis faite rembarrer hihihihi . Enfin … sachez que de parler en basque quand vous pensez avoir à faire à des touristes est une honte . !!! Cette langue n est pas faite pour cela …. Je suis fière de l utiliser et de l apprendre un peu plus tous les jours , j ai honte quand je vois l utilisation que vous en faites …!!! Passez...
Read moreMon avis concerne seulement la partie restaurant car pas de connaissance de la partie auberge. Restaurant où j’ai pu dîner plusieurs fois, même si les prix sortent un peu du lot sur le secteur, on y mange bien. Première déception hier soir qui n’est pas restée anodine… Malheureusement, nous nous sommes aperçus que les prix n’avaient pas diminué mais les quantités oui, quel dommage lorsqu’on est habitués à de meilleures quantités dans ce restaurant et que l’on constate la diminution de quantités… À 25€ le magret entier et 22€ l’entrecôte nous aurions espéré les quantités habituelles… Déception également sur le Tataki de Thon…4 petites tranches jugées un peu légères pour le coût… Bémol également sur les desserts, étant une amoureuse des fondants, j’ai demandé pour le « fondant au chocolat Bailey’s » s’ils en réalisaient sans Bailey, question à laquelle le serveur m’a répondu « Bah non », note à moi même pour l’avenir, éviter les questions à ce serveur… La qualité gustative n’en reste pas moins très bonne en revanche. Dernier bémol pour ce même serveur pour lequel je n’ai pas compté le nombre de coup reçu dans ma chaise (c’est un détail). En espérant que c’était des soucis d’une seule soirée. Point positif pour les produits locaux mis en avant et la qualité gustative. Bonne continuation et peut...
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