Bucket's Auberge Inn — Restaurant in Bergerac

This restaurant came as a very pleasant surprise! We looked on the restaurant's website to see the menu, but when we arrived, the dishes served did not match the online menu. Initially, this was a problem, as I didn't like any of the mains served - however, the chef's experience and the young waitress' reassurance - that they can prepare a dish just for me, with just the ingredients I like - was a total success! It was actually such a good meal that it reminded me of what I used to eat when I was a child, when I used to visit my grandparents in the countryside! Forgotten flavours and extremely tasty dishes created an unforgettable experience - it was actually one of the best meals in the region!

The restaurant itself is located in a calm place, next to the vineyards, in a very quiet village. You are also safe in the Covid context, as the rules are respected. A must-do if in the region! Prices are more than affordable, the staff very friendly and the service is fast and very professional. Extremely tasty! 100%...

I love this place, always have. Since changing management recently, it's kept it's lovely vine-side terrace, started introducing a varied and delicious menu, undergone a much needed refurbishment and I simply cannot fault it.

The food was spectacular - unbelievably brilliant for the price - and the service delightful. I try to speak French as much as possible and they coped with my abysmal attempts then when I failed they spoke perfect English! They still encouraged my French language as much as I could cope with. Simply wonderful! On my return visits, each time I was warmly welcomed back by everyone and made to feel very much at home. The restaurant was always frequented by many locals and holidaymakers - a good sign.

Generally, my rule is only to visit a restaurant once in a holiday. I've broken that rule lots this week.

I will return here again soon.

In short: Lunch - exceptional Dinner - fantastic Desert - go for the café gourmand In good weather -...

Montazeau est une commune de Dordogne qui compte environ 300 habitants. C'est à mon sens un lieu improbable pour y trouver un restaurant "bistronomique". Il faut y venir spécialement pour le découvrir. L'établissement, impasse du presbytère, se gagne. On sillonne une campagne peignée de vignes et vallonnée avant de découvrir le bourg qui se niche sur une colline. Pas de problème pour stationner il y a de la place à deux pas du restaurant. J'y suis venu dans le cadre d'un déjeuner associatif. Qu'allais je trouver ? Une auberge campagnarde aux spécialités locales, rugueuses et rustiques ? Un estaminet secret dont on communique l'adresse entre initiés ? Poussons la porte. La salle : elle est sans prétention, avec un mobilier de bistrot moderne. Toutefois les murs sont décorés de tableaux. L'établissement prête ses murs à des expositions éphémères d'artistes locaux. C'est un bon point qui est révélateur d'un esprit d'ouverture et altruisme. Le repas : nous étions une trentaine, le déjeuner a été négocié au prix de 25 euros avec les boissons (un vin local de Montravel principalement assemblé d'un cépage Merlot fruité et souple se situant entre un Bergerac tannique et rugueux et un Saint Emilion plus subtil). Bon point pour le choix du vin servi à la carafe. Nous étions deux de plus que prévu, le chef en un tournemain a cuisiné les deux déjeuners supplémentaires sans difficultés tandis que le personnel ajoutait une table pour accueillir les deux larrons imprévus. Ecore un point positif. En entrée nous avons été servis d'un feuilleté de crevettes persillées et saumon en quenelle à 'armoricaine. Les portions étaient généreuses et goûteuses. Je n'ai malheureusement rien à dire sinon que je devais attendre la suite pour émettre une critique négative. Je suis ainsi, on ne se refait pas, j'aime être français à savoir ronchonner d'un détail pour en faire une montagne. Grogner de mécontentement est français. J'étais persuadé coincer mon marmiton au plat principal. Je le tenais, il était à ma pogne. Patatras ! On nous sert un parmentier de bœuf (revisité) aux pommes et foie gras, jus au vin de noix et petits légumes. J'ai dû prétexter la chute de ma serviette pour lécher mon assiette sous la table. Il restait donc le dessert, une pavlova de poire pochée, compotée d'hiver et glace pain d'épices. Le chef avait subtilement cuit les meringues pour recueillir glace compotée et poire pochée. Pour finir le chef, Eric Bouchet, 35 ans chef au Bucket's depuis 2017 est venu nous saluer. Je me suis tu parce qu'il travaille des produits frais. Chapeau bas.

Cet homme n'est pas un passionné, la cuisine n'est pas une passion pour lui mais un besoin, une évidence. Il faut être animé à la fois par le courage, par l'exaltation des saveurs, par un bouillonnement créatif pour tenir avec brio cette maison niché au cœur d'un village de 300 habitants. Merci...