Il y a des noms qui claquent comme une voile au vent. La Bisquine en fait partie. Un mot salé, un mot de marins. On imagine déjà les embruns, le crissement du bois mouillé, l’éclat de l’écume sur les vitres. Mais derrière ce nom chantant, il fallait voir si le goût suivait.
Car Noirmoutier, si belle soit-elle, est aussi un piège pour le palais. Trop de restaurants s’y contentent de servir la mer tiède, en vitrine, déguisée sous des mousselines prétentieuses ou des sauces noyées de crème. Trop de promesses. Trop peu d’âme.
Et puis il y a La Bisquine.
Dès l’entrée, quelque chose vous saisit. Ce n’est pas un effet de style, c’est une sensation plus rare : celle que l’on a quitté le monde des cartes touristiques pour entrer dans une maison tenue par des gens qui savent. Et qui respectent.
On vous parle doucement, mais avec assurance. On vous décrit les plats sans réciter une poésie apprise. On sent que la cuisine ici est une langue maternelle.
Le pain, d’abord, maison évidemment, tiède, à la croûte sonore. Une attention qui dit beaucoup. Puis l’assiette : un merlu juste saisies, sur un lit de risotto , un trait de mandarine, discret mais déterminant. Un plat de silence. Le genre qui suspend les conversations.
Un plat d’apparente simplicité, mais d’une justesse rare. Le poisson fond, le jus caresse, les herbes percent. Rien de trop. Tout est là. J’ai fermé les yeux. Je ne sais pas combien de temps. Je n’avais plus faim : j’étais en voyage.
Le dessert ? Une tarte fine à la fleur de sel et une crème brûlée, servie avec un sorbet à la vanille. Insolente audace. Délicieuse justesse.
À La Bisquine, on ne cherche pas à en mettre plein la vue. On préfère viser le cœur. Et c’est réussi. Il y a du vent, du feu, de la maîtrise. Mais surtout, il y a cette chose impalpable que l’on appelle sincérité.
Et c’est cela, en fin de compte, qui fait la grandeur d’un restaurant : sa capacité à vous rappeler que manger peut encore être un...
Read moreA FUIR ABSOLUMENT A CAUSE DE LA PATRONNE !! La patronne n'est pas du tout professionnelle et irrespectueuse. NE PRENEZ SURTOUT PAS LE TATARE DE BAR, il est minuscule pas plus gros qu'un pouce alors qu'il faut payer un supplément de 5 euros sur le menu à 36 euros. Je lui ai fait la remarque que si j'avais su j'aurais pris un soufflé. Elle a commencé à élever la voix contre moi en me disant que je ne vais jamais à la poissonnerie et que je ne connais pas le prix du poisson. Tout ça devant la douzaine d'autres clients de la terrasse. Lorsque je lui rappelle que je suis une cliente et de fait ne devrait pas me parler ainsi, celle-ci me dit clairement qu'elle est chez elle et qu'elle a le droit de me parler comme elle veut. Puis elle conclut en me disant que je n'avais qu'à prendre autre chose en partant. Encore une personne avec un égo démesuré qui n'a pas l'habitude des remarques ou des critiques n'allant pas dans son sens... Quand on n'est pas prêt à parler à des clients mécontents sans leur aboyer dessus on ne travaille pas dans la restauration.
Bien sûr cette personne n'a pas pris la peine de s'excuser, à aucun moment. D'ailleurs il n'y avait personne en salle pour s'occuper des clients ou même dire au revoir lorsque nous sommes partis.
Cependant malgré l'altercation, il y a des points positifs. Je dois avouer que la jeune serveuse rousse est très sympathique et professionnelle, ça fait plaisir à voir! (Si vous voyez ce message cet établissement ne vous mérite pas !)
Merci au chef ! La nourriture est bonne et bien assaisonnée ! Cependant les portions sont petites, j'ai dû remanger en...
Read moreIf you like waiting for 40 minutes before taking any form of order and excessive flavours then this is the place for you ! (Soufflé Langoustine that has WAY too much curry which overpowers everything in it and some kind of bacon wrapped Ray which just tasted like a mound of salt)
Please only ever go here if you have no choice and starvation isn't an option.
Edit: In reponse to the unfriendly and nonconstructive answer to my brutal yet honest review : Your establishment is the only thing...
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