Il est où le bonheur, il est où ?
« Le bonheur est dans le Sud », voilà un restaurant au nom bien équivoque. En effet, ce restaurant dont le nom est utopique fût le seul à nous accepter ce soir-là. Nous nous rendons alors gaiement à ce dîner. En rentrant dans le restaurant, nous sommes accueillis par une porte de prison, que je suppose être la patronne (laissez m’en vous dépeindre une toile : une dame à qui la vie n’a certainement pas fait de cadeau pour être froide de la sorte et qui sourit seulement à la vue de la carte bleue, pour ainsi dire : une femme aigrie). Nous lui donnons le nom de la réservation, elle nous indique donc avec dédain la direction à emprunter pour atteindre notre table ; j’insiste bien, elle ne nous y accompagne aucunement. Par la suite, un serveur (très aimable et compétent, un hispanophone, très à l’aise avec le français, qui se rend disponible aux clients) s’occupe de nous, nous donne les cartes, prend la commande de l’apéro, etc. Serait-il un phare dans la mer noire de l’aigreur patronale ? Nous nous laissons le penser. Il vient maintenant prendre commande pour les entrées ainsi que les plats, nous nous permettons même de modifier la commande après envoi à la cuisine, il la prend sans hésiter et toujours avec le sourire ; un plaisir d’interagir avec lui. Alors que nous discutons de la pluie et du beau temps, nous entendons retentir dans tout le restaurant la voix de la patronne qui crie sur ses employés (pourtant très efficaces, je le rappelle), avec une habitude malsaine de rabaisser son personnel de manière humiliante. De plus, alors que la queue des clients à la caisse s’allonge, elle, préfère glousser plutôt que de montrer de l’intérêt à la clientèle. Bien que les entrées soient arrivées rapidement, nous ne pouvons pas en dire autant des plats. Et oui ! Une heure d’attente ! (Soit un trajet Paris-Le Mans, tout de même). Cependant, nous ne pouvons jeter la faute sur la cuisine, ils sont deux à gérer un restaurant qui accueille au-delà de sa capacité, sûrement une décision de l’avare patronne. Les serveurs s’excusent pour l’attente et nous indiquent leur impuissance face à la situation, nous ne leur en tenons pas rigueur. Les plats arrivent enfin, et nous terminons de dîner bercés par les cris stridents et abusifs de cette femme qui s’exprime sans vergogne en plein devant les clients. Pour autant, lors du règlement c’est une personne bien joyeuse qui, après plainte sur l’attente, nous fit un geste commercial en nous offrant les cafés et le diabolo.
En résumé : des serveurs et une cuisine plus que compétents mais une patronne tartufe qui aurait sans doute besoin d’une journée spa/hammam et une séance chez le psy pour faire part de son comportement qui relève, j’ose le penser, de traumatismes antérieurs. Je tiens tout de même à féliciter le personnel autour de cette patronne tyrannique, qui arrivent à nous partager un service et une cuisine de qualité dans une...
Read moreAux premiers abords, le bonheur semble dans le sud.
C’est en pénétrant dans cet établissement qu’on y découvre une salle accueillante et chaleureuse. Petit bémol, pas de placement de la part de la patronne qui nous dit, d’un ton faiblard « sur la gauche ».
Notre serveur, hispanophone, mais très à l’aise en français, prend nos commandes. Tout se déroule à merveille. Les entrées arrivent au bout d’une vingtaine de minutes. Tout est délicieux, la cuisine peut être félicitée. Vient alors une attente… une longue attente… d’une petite heure. Oui, une heure d’attente. Les plats arrivent (enfin), c’est très goûtu, l’aligot est très bien maîtrisé et la viande exquise. Rien à dire sur les desserts, ils sont fait maison.
LE GROS PROBLÈME de ce restaurant demeure l’attitude de la patronne, désagréable au plus haut point avec ses employés : elle râle, s’esclaffe et ne cesse de leur hurler dessus au lieu de leur venir en aide, édulcorant fortement l’ambiance chaleureuse trouvée à notre arrivée.
Si le bonheur est dans le sud, il ferait mieux de pointer le...
Read moreSi vous allez en Aveyron et que vous passez près du charmant village La Cavalerie avec remparts n'hésitez pas à y faire une pause et d'en profiter pour vous restaurez dans le charmant restaurant Le bonheur est dans le sud. Vous y trouverez un accès facile pour vous garer et une très belle terrasse si vous voulez juste vous rafraîchir avec une boisson. Ancienne grange restaurée, tout près de l'ancien poste relais du village. Un décor atypique,mais surtout un accueil chaleureux, une équipe dynamique, une très bonne cuisine régionale. Pour ma part j'ai craqué pour la tête de veau, mon compagnon pour un pied de porc grillé, et profiteroles tout cela accompagné d'un bon petit vin . Mais vous pourrez y déguster magret de canard, aligot, pot au feu, carré d'agneau et bien d'autres bonnes choses Plat du jour 16 € menu 36€. Une halte gustative dans un...
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