Details. They are the primary difference between âŹ39/65/150 restaurants. This place is a great place to describe these, both good and not so good. The upgrade of the glassware to riedel and beautiful plates and napkins are a great step in justifying âŹ65. But elsewhere, it rates the areas more common âŹ39 for casual fine dining, and sometimes doesn't rise above Tabac level. You'll see the plants that I stared at all lunch. This region is awash with beauty trees and flowers, but not this restaurant. At this level, they should be a point of pride and care. The steel seats are fine at Tabac level, and even here, they'd work really well with some beautiful cushions. Now to the menu and food. Minimal wording for menus was big in the 90s. Now, people expect to know details. Where was it raised, and in this area often by whom, for example. Not techniques, though (that's 70s). The entrees are a place of adventure, mostly outside of France, and that's all good. The mains strictly hold to traditions and the desserts creative. But more on them soon. Yeah, at this level I do go on a bit. The aja blanco was quite lovely, albeit a little thinner than ideal...details. The eggplant was probably about as good as this dish gets in Europe, but the shiso leaves need to be way smaller for both presentation and taste... details. The mains were both totally competent. Good reductions. The same veg for both? Very âŹ29 menu. They were fine and saddled along for the ride. But at this level, I want the art of complimentary items in flavour, texture and origin. Details. Same issue with the big leaves confetti on the plates. Why at all? If that, why so big? Details. The desserts were both good to eat. The elements went together well enough. I found the whole thing blending into a nice enough whole. I think more definition would help, but that's a minor thing. The service. No meal check during mains. Details. Second bottle of wine ripped open and left; no label check, no tasting, no new glasses offered, not even for the taste (that wasn't offered). Huge wine list but no choice of wines by the glass. And when you order the wine by the glass, no idea what you're getting, let alone a taste. Details. I had a good enough meal. No major complaints. But this region has restaurants offering good enough meals from âŹ16-39 per person for 3 courses. I wanted this to be a reason to spend âŹ65pp. I wanted that elevated,...
   Read moreNous avions entendu parler de ce restaurant plusieurs fois et nous avons voulu essayer !
Lâaccueil nâa pas Ă©tĂ© franchement chaleureux, mais pas non plus glacial. Les cartes arrivent, le choix est limitĂ©. TrĂšs bien nous lâavions dĂ©jĂ vu sur le site, et il se murmure que, plus une carte est limitĂ©e plus les plats sont frais ! AprĂšs 10minutes, la serveuse vient nous prĂ©venir quâil ne reste plus que 2 plats possibles : un plat de poulette ou un plat Ă partager. Ca limite encore plus.
NâĂ©tant pas de gros mangeurs, nous prĂ©fĂ©rons nous focaliser sur le plat et sauter lâentrĂ©e. Nous avons vite compris que câĂ©tait un sacrilĂšge, et que câĂ©tait trĂšs peu apprĂ©ciĂ© par la maison⊠Pourtant nous avons tentĂ© de nous justifier, mais le mal Ă©tait fait. « Ici, les clients prennent entrĂ©e / plat / dessert »
Nous pensions nous rattraper aux yeux de la maison en prenant une bouteille de vin, et ne pas passer pour les « cheap » de la soirĂ©e. Vu le prix des bouteilles de vin, nous allions avoir, nous en Ă©tions sĂ»res, quelque chose dâexceptionnel. DĂšs la premiĂšre gorgĂ©e, dĂ©ception. Mais pas de doute de la part du serveur, qui ne gouttera le vin quâaprĂšs insistance. Je prĂ©cise quand mĂȘme quâon nous a demandĂ© dâattendre que le vin sâaĂšre, et de voir plus tard si vraiment ça nâallait pas, la bouteille serait changĂ©e. Nous nâavons pas osĂ© nous faire remarquer une nouvelle fois, dĂ©jĂ que nous avions sautĂ© les entrĂ©es, et pas commandĂ© les desserts prĂ©fĂ©rant se donner le choix plus tard⊠Nous voulions Ă©viter de nous mettre encore plus dans lâĆil du cyclone.
Le plat Ă partager arrive, et avec lui son accompagnement. Jâai prĂ©cisĂ© plus haut que nous avions de petits estomacs⊠Nous aurions pu manger le plat seul facilement, sans partager⊠Je vous dĂ©taille lâaccompagnement, car câest important : œ feuille de chou, 3 petites pommes de terre grenailles, et une œ cuillĂšre Ă soupe de purĂ©e de cĂ©leri. MĂȘme mon estomac a ri en voyant ça.
Je suis dâaccord de modĂ©rer les quantitĂ©s dans lâassiette pour Ă©viter le gaspillage alimentaire, mais là ⊠jâai cru que jâallais devoir mâattaquer Ă lâassiette en elle-mĂȘme. Heureusement, le pain Ă©tait dĂ©licieux, et nous en avons abusĂ©.
La faim au ventre, nous avons souhaitĂ© commander des desserts, rĂ©ponse « ah ! Vous voyez que vous prenez des desserts finalement ». Madame, sachez que nous avions faim, mais câest de notre faute, nous nâavions pas pris les entrĂ©esâŠ
Gustativement parlant, câĂ©tait simple et bon. Les mets Ă©taient de qualitĂ©, mais comme vous lâaurez compris, en manque de quantitĂ©. Jâaurais aimĂ© une petite originalitĂ©. La carte est originale, les Ă©noncĂ©s aussi, mais finalement dans lâassiette pas de surprise. Le dessert Ă©tait aussi bon.
Ressenti gĂ©nĂ©ral : manque dâauthenticitĂ©. Nous nâĂ©tions pas vraiment dans le Perche, mais plutĂŽt dans un restaurant parisien. Tout est pensĂ© pour que ce soit esthĂ©tique pour les photos, mais au final Ă trop penser cela rend les choses fausses.
Et lâaddition ? TrĂšs salĂ©e.
Bye...
   Read moreUne cuisine correcte gùchée par une patronne hautaine et méprisante
Nous avons goĂ»tĂ© presque toute la carte chez Oiseau Oiseau. La cuisine, dans lâesprit dâun bon bistrot du 11á”, est globalement rĂ©ussie : â Langoustines, bisque, pommes de terre fumĂ©es & sabayon ponzu : excellent plat , fin et Ă©quilibrĂ©e. Et la cuisson est plutĂŽt rĂ©ussite. â PĂątĂ© en croĂ»te et Saint-Jacques : convenables. â Tartare : intĂ©ressant mais tirant beaucoup trop sur le cĂ©leri branche, ce qui dĂ©sĂ©quilibre le plat. â Dessert : original mais trĂšs marquĂ© par la chĂšvre, on aime ou on nâaime pas. Les figues manquaient un peu de goĂ»t.
Le vrai problĂšme est venu avec la cĂŽte de veau, nettement trop cuite. Je demande trĂšs gentiment sâil serait possible de la refaire. Le serveur, professionnel, me dit que cela prendrait 30 minutes â aucun souci pour moi.
Quelques instants plus tard, la patronne arrive, visiblement agacée. Elle regarde mon assiette et déclare :
âMais non, elle nâest pas trop cuite. Bon, câest un peu cuit, oui, mais regardez, il y a du rosĂ© au milieu !â Un seul petit morceau vaguement rosĂ© au cĆur⊠tout le reste bien gris. đ Puis elle conclut, sĂšche : âDe toute façon, je ne vous la changerai pas.â Un âdĂ©solĂ©â de façade, et elle sâen va.
Au moment de payer, elle me redemande si tout allait bien. Je réponds calmement que la cÎte de veau était bien trop cuite. Et là , elle me lance :
âĂa va, câĂ©tait pas immangeable non plus, vous exagĂ©rez.â C'est vrai qu'on paye 200⏠pour manger des plats pas immangeables?
Puis elle enchaĂźne :
âĂvidemment, une cĂŽte de veau se mange rosĂ©e, mais si vous la vouliez vraiment rosĂ©e, vous auriez dĂ» le prĂ©ciser. Beaucoup de clients me demandent de recuire, donc câest Ă vous de le dire.â
Autrement dit, câest au client de prĂ©ciser la cuisson Ă©vidente dâune cĂŽte de veau, plutĂŽt quâau serveur de la demander. Elle finit par reconnaĂźtre que la mienne Ă©tait âplus cuite que les autres sur les bordsâ, avant dâajouter que ma portion Ă©tait âplus petite que les autresâ, et de conclure que je pouvais âlaisser un pourboire mĂȘme aprĂšs notre Ă©changeâ.
Je fais plusieurs centaines de restaurants par an, et ce genre de situation extrĂȘme â oĂč la patronne nie lâĂ©vidence, renverse la faute sur le client et manque totalement de respect â ne mâarrive quâune fois tous les dix ans.
Câest typiquement le genre dâadresse oĂč le succĂšs semble ĂȘtre montĂ© Ă la tĂȘte, oĂč aucune remise en question nâest possible, et oĂč le client a toujours tort. Dommage, car la cuisine a du potentiel â mais la patronne plombe totalement lâexpĂ©rience.
Oiseau Oiseau : un restaurant qui a oubliĂ© que la cuisine, câest...
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