We visited the recently opened Le Chalet au bord de l'eau on New Year's Eve and throughly enjoyed the Menu de la Sainte Sylvestre (a 10 course menu with a glass of bubbly to start), put together by the talented chef Cédric Carrico who has clearly mastered the art of fusing Far/Middle Eastern flavours and techniques with European ingredients to create a heavenly course of deliciousness that teased our taste buds from start to end. Noteworthy dishes were the Kadaïf (angel hair) huitres that followed the outstanding consommé de crevettes grises - who knew tea leaves would work so well in a rich seafood broth?! Then there was the delicately balanced mi-cuit foie gras with yuzu, followed by a diversion to Brittany for an exquisite blue lobster tail with a fancy butter tuiles/corail and crab tempura covered in a dark, mysterious crust. The ultimate favourite dish of the evening has to be the pigeon - plump and still pinkishly tender - served with a sweet balsamic/olive reduction, possibly with Pedro Ximenez? Service was friendly, attentive and informative throughout - all the dishes were tantalisingly described, but we forgot to ask for the wine list, which I’m sure is also excellent. And as we live just around the corner, we are looking forward to becoming the restaurant’s regular and...
Read moreComment dire... En passant devant les week-ends, c'est plein et attirant. La note Google confirme l'idée. Dans les faits, ce fut une énorme déception.
Entrées: Tataki de thon rouge sur betterave hâchée. Aucun assaisonnement. Pas même un filet d'huile! Aujourd'hui, il est quand même rudimentaire de marier thon rouge et sésame... pour ne pas faire dans l'original. Mais non, rien pour napper le thon, ce soir là. Poulet croustillant: on s'attend à quelque chose de plus travaillé qu'un simple poulet pané (croustillant? pas vraiment - cela laissait plutôt place dans mon imaginaire à une panure plus panko ou cornflakes, à la limite, ou une enveloppe de brick...). La saveur passe encore, quoi que rien qui casse trois pattes à un canard.
Plats: Là, on dégringole. Entrecôte "pour 1" (choix le plus cher du menu): un vulgaire steak de moins d'1cm d'épaisseur posé sur une assiette vide. Une soucoupe ridicule de sauce, qu'une cuillère à café n'en serait à peine remplie qu'à moitié. Certes, des frites accompagnent et garnissent pour sauver les meubles.
Le magret... parlons du magret. Ou faisons rapide, plutôt, pour s'éviter une effusion de sentiments d'abus: un magret entaillé dans sa longueur. La partie "semelle", pour ainsi dire, est aussi cuite qu'on en dit dans l'expression populaire. La moitié sous peau, elle, est rosée, comme demandé. Ouf! La sauce au miel qui intrigue sur le menu, manque aux abonnés. Enfin, l'accompagnement est une première pour moi (non pas que je sois fan de magret, mais mon convive a tout autant été ébahi): trois arancini plus gros que la paume d'une main (qui plus est, secs). Pourquoi pas, mais le mariage est incongru au possible et surtout démesuré en proportion.
Le risotto au lait de coco avec asperges, et Saint-Jacques poêlées: RAS sur le coquillage. Pour le risotto, on ne nous a pas menti. C'est bien du ris (arborio?) cuit dans ou enrichi de lait de coco. Mais l'assaisonnement fait encore défaut. Il n'y a encore une fois pas la trace ni l'effort d'ajouter un liant pour harmoniser le contenu de l'assiette et mettre un semblant d'excitation dans les saveurs. (Pour ce qui est des asperges - pas une tête de présente. Uniquement des lamelles de tiges de 2mm d'épaisseur et certainement sous-cuite... des disques de tronc asperges qui croquent, je n'en avais jamais mangé).
Dessert: Un Paris-Brest soit disant "à tomber par terre"... alors oui, nous sommes tombés. Mais de haut! Et mon foie aussi a failli lâcher, avec un quantité de sucre incommensurable dans la ganache... car oui il s'agissait d'une ganache et pas d'une mousseline. La saveur de noisette y est presque mais les bouchées sont tellement lestées de sucre qu'elle la spolient.
Enfin, la tarte poire/chocolat déçoit aussi: une poire (pochée; passe!) sur un fond de tarte sablé et couvert d'une ou deux cuillerées de sauce au chocolat... de quoi faire s'esclaffer un simple pâtissier de quartier qui aurait fait plus inventif (pour ne pas dire "mieux") avec une crème d'amande au cacao, ou une base de ganache... plus rien n'étonna de toute façon, à ce stade.
L'addition: AH! C'est donc là qu'a du être renversé le pot de sel de la cuisine et qui explique le manque d'assaisonnement des plats. Car oui, c'est très salé pour de la cuisine qui semblerait d'école hôtelière. Sauf que des apprentis, on les pardonnerait.
Service: de quoi "remonter" la note, avec une serveuse affable. Néanmoins, le gérant (nous supposons!) au bar, qui baye aux corneilles, c'est bien signe qu'il faut quelqu'un de peut-être plus motivé pour redresser tout cela!
Conclusion: clairement, nous n'y remettrons plus les pieds, non moins pour le service que pour le coupe-veine que fut...
Read moreExpérience catastrophique dans ce restaurant du jamais vue !
Plats servis à peine tiède, cuisson des t-bone de veau demandés "rosé ", servi bien cuit. Une entrecôte demandée saignante qui arrive "à point++". Risotto fade au possible! La tarte au citron tres acide, qui n'a pas le goût de citron. Toutes ces remarques sont remontées à l'équipe de salle après la fameuse question "ca a été ?". Nous sommes transparent, nous expliquons les points évoqués ci-dessus au lieu de poster un commentaire acerbe apres coup.Le manager professionnel, prend en compte nos remarques. Mais là où tout bascule, c'est quand un gros alcoolique d'une table de 8 personnes ( apparemment un habitué)se permet de faire une réflexion sur le fait que "si on n'aime pas l'acidité d'une tarte au citron, on ne prends pas une tarte au citron", pour rappel , dessert qui est de niveau CAP de cuisine, qui demande une subtile balance entre le sucre, l'acidité et LE GOUT DU CITRON, ce que nous ne trouvons pas dans la tarte.Évidemment nous entendons la réflexion de cette personne qui devrait s'occuper de ses affaires au.lieu de se mêler des conversations des autres, il doit confondre Facebook et le cadre d'un restaurant. Nous le remettons à sa place . Deuxième reflexion de sa part .Celui-ci, en arrive à se lever lorsqu'on le remets à sa place, en lui disant de" s'occuper de ses affaires"! Ce personnage n'est qu'un client habitué, on aurait pu comprendre si celui-ci était le propriétaire...mais non, un client frustré que l'on puisse se permettre de dire ce que l'on pense ! Et pendant ce temps, le manager a disparu! Du jamais vu, un client qui se permet de menacer un autre client car la réflexion concernant une tarte au citron ne lui plait pas!
Nous ne recommandons absolument pas ce "restaurant" ,vous l'aurez compris. La cuisine c'est un métier! Heureusement, le chef de rang a été tres bien dans son service.
Au final, au prix des plats, à 30 euros de moyenne , la qualité n'est pas au rendez-vous ! Mais gracieusement le.manager ,nous offre les eaux...soit 9€ sur une facture de 328€ pour 5 personnes. Wouahhh ,il enfonce le clou jusqu'au bout!
Soirée pour fêter 2 anniversaires, precisé lors de la réservation...il a fallu demander 2 bougies au moment des desserts...un oubli sûrement !
Une belle soirée d'anniversaires gâchée! Dommage le cadre est sympa! Comme quoi le bling-bling ne...
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