Lundi 23 juin . 12h45
Avec un ami cher avec qui jâai lâhabitude de tester rĂ©guliĂšrement de nouveaux restaurants, nous avons dĂ©cidĂ© cette fois de dĂ©couvrir Le Zigzag, un Ă©tablissement dont je nâavais encore jamais entendu parler. CâĂ©tait ma toute premiĂšre visite, et jâĂ©tais plein de curiositĂ© et dâenthousiasme. Jâavais envie de me laisser surprendre, de passer un bon moment, comme on espĂšre le faire lorsquâon pousse la porte dâun lieu inconnu, prĂȘt Ă savourer une belle dĂ©couverte.
En arrivant depuis le parking, nous avons rejoint la terrasse, qui semblait agrĂ©able au premier coup dâĆil. Il y avait plusieurs tables, certaines visiblement dĂ©jĂ utilisĂ©es, dâautres prĂȘtes Ă recevoir des clients. Mon ami, soucieux de ne pas dĂ©ranger inutilement le personnel, mâa proposĂ© trĂšs gentiment que nous nous installions Ă une table dĂ©jĂ utilisĂ©e, pensant sincĂšrement bien faire et allĂ©ger la charge de la serveuse.
Ă peine avions-nous touchĂ© nos chaises, Ă peine avions-nous posĂ© le moindre sac, quâune serveuse est arrivĂ©e vers nous⊠Et lĂ , je dois dire que jâai rarement Ă©tĂ© aussi choquĂ© par un accueil dans un Ă©tablissement censĂ© accueillir des clients. Sans mĂȘme nous adresser un regard bienveillant, sans bonjour, sans un mot de politesse ou dâaccueil, elle nous a littĂ©ralement aboyĂ© dessus, dâun ton sec, cassant, dĂ©sagrĂ©able :
« Ne vous mettez pas lĂ ! Vous allez lĂ -bas. Câest moi qui dĂ©cide. »
Le ton employĂ© Ă©tait glacial, autoritaire, humiliant⊠comme si nous Ă©tions des intrus, des enfants indisciplinĂ©s ou de simples objets gĂȘnants. Ce nâĂ©tait pas une demande, ni une remarque : câĂ©tait un ordre, brutal et sans aucune considĂ©ration humaine. Devant dâautres clients. En plein milieu de la terrasse.
Nous avons Ă©tĂ© tellement blessĂ©s, surpris et profondĂ©ment mal Ă lâaise que nous nâavons pas dit un mot. Le choc Ă©tait tel que, dans un accord silencieux, mon ami et moi nous sommes levĂ©s sans discuter, et avons quittĂ© les lieux. Nous sommes allĂ©s nous installer dans le restaurant voisin, oĂč lâaccueil a Ă©tĂ© tout lâinverse : chaleureux, respectueux, humain. Et nous y avons passĂ© un moment dĂ©licieux. Franchement, je ne regrette rien.
Mais ce que je ressens encore aujourdâhui, câest une vraie dĂ©ception. Pas parce quâun restaurant nâĂ©tait pas Ă mon goĂ»t, ça arrive. Non. Ce qui mâa profondĂ©ment marquĂ©, câest le manque total de respect, de bienveillance, et de professionnalisme dont a fait preuve cette serveuse. Ătait-ce la patronne ? Une employĂ©e ? Peu importe. Quand on travaille dans un lieu qui accueille du public, on se doit de respecter les gens, de faire preuve dâun minimum de courtoisie. Ce nâest pas acceptable de parler de cette façon Ă des clients qui nâont rien fait de mal.
Je nâai pas lâhabitude de me plaindre, mais lĂ , je tiens Ă dire les choses clairement : Jamais je ne remettrai les pieds au Zigzag. Jamais je ne recommanderai ce restaurant. Et jâespĂšre sincĂšrement quâun jour, cette personne comprendra que lâon ne construit pas la rĂ©putation dâun lieu avec des assiettes, mais avec le cĆur et le respect que lâon met...
   Read morePour la formule du jour la qualité des plats est correcte et l'on peut y manger des plats divers et variés suivant les suggestions du jour cela va de la simple cuisse de poulet en passant par un civet de cerf sans oublier les filets de poisson part contre au niveau des desserts c'est principalement de...
   Read moreNourriture trop grasse . La vieille patron pourrait se laver (elle sentait trÚs mouvais) à la place de critiquer les clients avec la serveuse, devant eux .Elle pourrait attendre le départ des clients pour critiquer ,pas professionnel. Dommage qu'on 38 ans, elle n'a pas appris que les clients...
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