Restaurant de Jorasse — Restaurant in Leytron

Cet été, ma famille et moi sommes allés plusieurs fois dans ce restaurant. Trois fois, nous avons franchi ses portes. À chaque fois, l'expérience a été décevante.

La première fois, en juin, j’étais avec mon mari, notre fils de 4 ans et notre bébé de 3 mois. Nous nous sommes installés sur la terrasse pour que je puisse allaiter mon bébé confortablement et au calme. À part nous, il n’y avait personne sur la terrasse ni dans la salle. Une serveuse est venue nous voir pour savoir si nous souhaitions consommer. Nous avons poliment répondu que non, nous étions juste là quelques minutes avant de partir en promenade et que nous repasserions plus tard pour dîner. Nous avons donc demandé s'il était nécessaire de réserver. Réponse de la serveuse : "Non, mais si vous ne consommez pas, merci de quitter la terrasse." Inutile de dire que nous ne sommes pas repassés au retour de la promenade.

La deuxième fois, le 14 août, c’était avec des amis. Nous avons eu droit à une belle performance. La "personne" à la caisse était ivre, avec une bière ouverte, en schlaps, short et chemise hawaïenne, le tout assez sale pour du personnel de restauration. Il m’a tout de même rassurée en me disant qu’il n’encaissait que les jolies filles pendant ses jours de congé. Quel charmant accueil...

Et la troisième fois... l'ensemble du personnel était particulièrement "fatigué". Résultat : plats froids, erreurs dans les commandes et longue attente.

Il n'y aura pas de quatrième fois. Cet hiver, je prendrai le pique-nique.

Suite à votre réponse:

Bonjour,

Vous avez fait l’effort de me répondre, mais avec des assertions trompeuses. Malheureusement, ce ne sont pas les réponses que j’attendais. Oui, en effet, vous proposez des jeux, des châteaux gonflables et des coloriages gratuitement, ce qui est un bon point pour vous.

En revanche, une assiette de spaghettis n'est pas un choix très opportun pour les enfants. De plus, la seule table à langer se trouve dans les toilettes des dames, ce qui oblige mon mari à y entrer pour changer notre fils.

Mais quel message cherchez-vous à transmettre lorsque votre personnel m’a demandé de partir alors que j’étais en train d’allaiter mon enfant ?

Revenons au 14/08. Nous étions installés sur la terrasse depuis environ 10h30, et nous avons assisté à la montée progressive du taux d’alcoolémie de cette personne, déjà bien alcoolisée à son arrivée. Je ne peux, en effet, affirmer qu’elle était ivre puisque je ne l’ai pas soumise à un test, mais mon odorat, mon expérience ainsi que celle de mes amis laissent peu de doute : cette personne l’était. Le gloussement et les rires de ses collègues complétaient joyeusement cette pittoresque scène.

Par ailleurs, si ma mémoire est bonne, il y avait du personnel des remontées mécaniques attablé dans l’espace réservé aux employés, en face des caisses. Ils ont probablement été témoins de la scène, vu leurs regards effarés.

Ensuite, concernant « l’employé qui a voulu spontanément aider ses collègues » : je ne sais pas ce qui est le plus grave, qu’un employé (en congé) se trouve dans un tel état sur son lieu de travail, ou que ses collègues le laissent agir ainsi. Dans les deux cas, cela révèle un sérieux manque de professionnalisme, d’autant plus dans un lieu public et familial.

Lors de ma dernière visite (je n’ai malheureusement plus la date exacte), il devait être environ 11h30-11h45, nous étions en terrasse, deux tables de quatre personnes et deux de deux. Les assiettes sont restées plusieurs minutes sur la planche sous la fenêtre de la cuisine, pendant que le personnel plaisantait et discutait. Ce n’était donc pas lié à l’affluence. Je précise que je ne suis pas venue seulement trois fois cet été, mais une dizaine de fois. Et ce problème n’est pas isolé : d’après mes discussions avec des amis qui viennent régulièrement, cette lenteur est récurrente.

J’admets cependant qu’il y a eu une amélioration au niveau de la cuisine depuis cet hiver, et je le...

À Ovronnaz, l’été prend une dimension magique. Une petite remontée mécanique permet de s’élever rapidement au-dessus du village, en une quinzaine de minutes seulement, avec une vue splendide sur les montagnes qui vous entourent. Arrivé en haut, l’arrêt au restaurant de Jorasse est incontournable : une planchette apéro généreuse, une raclette à la tomate notée 10/10, et une ambiance authentique de montagne qui met immédiatement de bonne humeur.

La descente se fait ensuite tranquillement à pied, en suivant les sentiers pédestres qui ramènent jusqu’au cœur du village. Le parcours est agréable, ponctué de clairières et de petits recoins où l’on peut s’arrêter un instant pour contempler le panorama. Et parfois, la nature offre une belle surprise : il n’est pas rare de croiser une famille de marmottes, curieuses et étonnamment peu farouches, qui donnent l’impression d’accueillir les promeneurs avec bienveillance.

Mais Ovronnaz ne se vit pas seulement de jour. Le soir, surtout si vous y allez avant la fin août, le ciel réserve un spectacle inoubliable : les pluies d’étoiles filantes. Allongé sur l’herbe, une petite veste sur le dos, vous profitez d’une température idéale pour observer le ciel. L’air est pur, silencieux, et chaque étoile qui file ajoute une note de poésie à l’expérience. C’est un moment suspendu, hors du temps, qui complète à merveille une journée déjà riche en découvertes et en plaisirs gourmands.

Ovronnaz, c’est ce mélange unique entre nature, gastronomie, randonnées et magie alpine, de jour...

Le cadre du restaurant de la Jorasse est sans aucun doute son plus grand atout : une vue imprenable qui mérite à elle seule le détour. Malheureusement, l’expérience culinaire ne suit pas cette excellence.

Le plat du jour (lasagnes) n’était ni appétissant visuellement ni agréable en bouche, et il a été impossible d’obtenir un supplément de légumes malgré une demande à la cuisine. La carte manque cruellement de mets typiques de montagne, ce qui est regrettable pour un établissement situé dans un tel cadre.

Les tarifs sont élevés au regard de la qualité proposée, et l’amabilité du personnel laisse à désirer, ce qui n’améliore pas l’expérience globale. Dommage, car avec un tel emplacement, l’adresse pourrait être une référence...