Das Haus von Alexandra David Neel, welches sie 1928 erworben hatte und dem sie den Namen "Samten Dzong" (Residenz der Reflexion) gab, ist heute ein Museum. Ich fragte mich, wer ihre Bücher heute überhaupt noch kennt? Doch eine kurze Recherche zeigte, dass es aktuellere Neuauflagen einiger Bücher gibt. Die Frage stellte ich mir, da David Neel eine umstrittene und zwiespältige Persönlichkeit war, die man im geistigen Umfeld der damaligen Gesellschaft verstehen muss. Ihre Karriere als Autorin begann sie als Reiseschriftstellerin und entdeckte alsbald ein Faible für Asien. Tibet war damals eher ein schwer zugängliches Land, doch die Engländer, welche als Kolonialherren in Indien residierten, hatten durchaus Zugang und brachten interessantes Filmmaterial mit. Tibet wurde in manchen Kreisen auch stark mystifiziert. Vor dem Hintergrund der religiösen Orientierung der Tibeter, ihre ursprünglich schamanistische Bön-Religion hatte sich vor sehr langer Zeit mit dem Buddhismus symbiotisch vereint und eine eigene, tantrische Form entwickelt, verwundert dies nicht. In Europa hatte der Okkultismus zu Beginn des 20. Jahrhunderts seine Anhänger, so auch David Neel die 1891der Theosophischen Gesellschaft beigetreten war. Ihre Bücher zu Tibet, sie war nach eigenen Angaben im Jahr 1923 heimlich in Lhasa, liessen Zweifel an der Authentizität aufkommen, da sie ein eigenes Weltbild darin umsetzte und anderes vage gehalten war. Ein Besuch im Kloster Kum-Bum (heutiges China) wirkte überzeugbarer. Aus Sikkim brachte sie einen Adoptivsohn mit, der sie künftig sein Leben lang begleitete. Zweifellos war sie eine couragierte Entdeckerin, wie es damals einige solcher gab, welche sich mit der Frauenrolle der Gesellschaft nicht zufrieden gaben. Ihre Forschungen basierten jedoch auf dem Level einer Autodidaktin, um eine akademische Legitimation bemühte sie sich nie. Dennoch verdient sie den Respekt, da sie mit ihren jahrelangen Reisen in Asien doch ein bemerkenswertes Wissen aneignen konnte. Auch wenn man den mystifizierten Teilen ihrer Bücher mit nüchterner Skepsis begegnen darf, sind sie doch unterhaltsam verfasst. Das Museum ist ein Sammelsurium an Asiatica, die den Hauch der feministisch orientierten Reiseschriftstellerin sie gegenwärtig wirken lässt. Alexandra David Neel starb 1969 hundertjährig in ihrem Haus in Digne und ihre Asche wurde zusammen mit dem bereits 1955 verstorbenen Adoptivsohn Yongden im Ganges verstreut. Eine hinduistische Sitte, was aber durchaus ihrer spirituellen Vorstellung entsprach. Vor Ort ist es doch soweit ein...
Read moreSuperbe visite, riche et complète. La maison est une petite pépite qui nous plonge dans l’intimité de l’exploratrice et dans le temps. On y apprend des anecdotes authentiques. Grâce au musée, c’est l’occasion de revoir ses classiques en Histoire puisque les parents tout comme Alexandra sont nés dans des époques avec des contextes particuliers qu’on a tendance à survoler. Ces connaissances sont indispensables pour comprendre ce qui a nourri les terreaux de personnalité exceptionnelle comme A.D.N et ses contemporains/ contemporaines. Notre guide était d’une grande clarté et a su très bien nous communiquer son savoir avec enthousiasme, un grand merci à elle.
Remarque : la visite de la maison est sur réservation et ce, uniquement par téléphone, pendant les horaires d’ouverture. j’ai eu de la chance d’être en hors saison et d’avoir pu visiter les lieux sans réservations, comme le musée ouvre à 14h, impossible de réserver à l’avance si on prend connaissance des Conditions de visite un peu sur le tard. Je viens de loin et je sais que Nombreux sont les visiteurs qui peuvent faire un crochet à Digne juste pour ce lieu. Pour les étrangers comme pour d’autres types de visiteurs, ce serait super de mettre en place un système de réservation en ligne ou du moins un standard en dehors des horaires...
Read moreAccueil horrible et honteux, le 02 septembre 2020 à 10 h. Je suis arrivée à 10h dans le jardin je me suis fait de suite agresser verbalement par une employée me disant: " vous n'avez pas le droit d'être là, c'est une propriété privée. Je lui ai signalé qu'il était 10h l'heure à laquelle débutent les visites. Elle m'a répondu froidement: "Oui mais je ne suis pas prête". De plus lors du paiement j'ai dû patienter car sa caisse n'était pas prête non plus. Après le règlement pas d'information sur le sens de la visite, juste: " c'est là-bas, vous visitez toute seule" . Pas de visite guidée. Je tiens à souligner que j'étais déjà venue il y a quelques années la visite était formidablement guidée sans tarification. Aujourd'hui les visites sont payantes sans avoir la qualité supérieure voire même égale. Je déconseille la visite du musée mais plutôt d'aller visiter le magasin situé au centre-ville. De plus ce qui est honteux, lors de mon arrivée une employée en descendant de l'étage de l'établissement est sortie en déclarant " ça pue elle doit être encore en train de cuisiner celle-là" je tiens à préciser que celle-là c'est madame Marie Madeleine Peyronnet. Pas de respect pour cette personne âgée qui est une des figures historique de l'héritage culturel de madame...
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