Stendhal Nord, le champ de la trahison
C’est ici. Ce bâtiment froid, rectangulaire, presque trop calme… C’est ici que le destin s’est brisé. Le jeune calvitie et Erwan Ier étaient devenus puissants. Trop puissants. Le Sensei lui-même ne parvenait plus à les canaliser. Il sentait l’ombre approcher, et la prophétie pesait comme un dictionnaire Grec-Latin sur ses épaules.
Puis un jour, la goutte de trop. Une simple phrase. Une simple insulte. Erwan Ier, provocateur, lança au jeune calvitie : “On dirait que ton crâne est bilingue… il traduit la lumière en reflet.” Le silence s’installa. Puis la foudre. Un combat éclata dans les escaliers de Stendhal Nord. Certains disent qu’ils ont vu des photocopieuses voler. D’autres parlent d’un mur fissuré par un coup de pied tournoyant à 3000 rpm. Pendant des heures, les deux élèves s’affrontèrent. Des cris. Des citations d’auteurs antiques hurlées en plein combat. Des frappes de pieds capables de plier des tables de TD.
Mais à la fin… Erwan Ier fut vaincu. Il disparut, englouti par un excès de rage, dans une spirale de lumière blanche et de polices Arial 12.
Le Sensei arriva trop tard. Devant les gravats fumants, il regarda le jeune calvitie et dit simplement : “Tu n’étais pas censé… survivre.”
Depuis ce jour, le Sensei est devenu froid. Distant. Il n’a plus jamais corrigé une copie avec le cœur. Et le jeune calvitie, marqué par la perte de son rival, n’a plus jamais retrouvé la paix. 1976 : Certains disent qu’il revient ici, la nuit, pour répéter les gestes du duel. Il marche lentement dans les couloirs, ses pieds-lames caressant le sol, prêt à affronter… lui-même.
Les échos de ce duel résonnent encore dans les murs. Et bien que ce bâtiment semble déserté par les vivants, certains murmures prétendent que l’histoire ne s’arrête pas là. Si vous vous aventurez par ces couloirs, un autre lieu vous attend, rempli de mystères encore plus anciens. Un lieu où la poussière des siècles semble se mêler aux pages oubliées.
Mais attention, ce n’est pas dans ce bâtiment que vous trouverez la suite de cette légende… Pour comprendre l’issue, vous devrez tourner votre regard vers un autre lieu. Un lieu où les secrets ne sont que des livres qui n’attendent qu’un lecteur avisé pour...
Read moreStendhal Nord… le champ de la trahison.
C’est ici. Ce bâtiment froid, rectangulaire, presque trop calme… C’est ici que le destin s’est brisé.
Le jeune calvitie et Erwan Ier étaient devenus puissants. Trop puissants. Le Sensei lui-même ne parvenait plus à les canaliser. Il sentait l’ombre approcher, et la prophétie pesait comme un dictionnaire Grec-Latin sur ses épaules.
Puis un jour, la goutte de trop. Une simple phrase. Une simple insulte. Erwan Ier, provocateur, lança au jeune calvitie :
“On dirait que ton crâne est bilingue… il traduit la lumière en reflet.” Le silence s’installa. Puis la foudre.
Un combat éclata dans les escaliers de Stendhal Nord. Certains disent qu’ils ont vu des photocopieuses voler. D’autres parlent d’un mur fissuré par un coup de pied tournoyant à 3000 rpm.
Pendant des heures, les deux élèves s’affrontèrent. Des cris. Des citations d’auteurs antiques hurlées en plein combat. Des frappes de pieds capables de plier des tables de TD. Mais à la fin… Erwan Ier fut vaincu. Il disparut, englouti par un excès de rage, dans une spirale de lumière blanche et de polices Arial 12.
Le Sensei arriva trop tard. Devant les gravats fumants, il regarda le jeune calvitie et dit simplement :
“Tu n’étais pas censé… survivre.” Depuis ce jour, le Sensei est devenu froid. Distant. Il n’a plus jamais corrigé une copie avec le cœur. Et le jeune calvitie, marqué par la perte de son rival, n’a plus jamais retrouvé la paix.
1976 :Certains disent qu’il revient ici, la nuit, pour répéter les gestes du duel. Il marche lentement dans les couloirs, ses pieds-lames caressant le sol, prêt à...
Read moreVoilà déjà 6 ans que je suis ici, et ce qui est sûr, c'est que cette université est un endroit chouette. C'est un cadre de vie assez chaleureux, dynamique pour faire ses études. Il y a du mouvement, il y a de la vie, il y a des bâtiments très agréables. A contrario, et comme beaucoup l'ont dit, il y a des bâtiments qui sont dans un état assez lamentable, des salles de classes moins bien équipées, des climatisations variables. Cependant, particulièrement pour le bâtiment Stendhal, il n'en reste pas moins un bon endroit où...
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