The French GP... Where to begin. The organisation of crowds isn't the best. Everybody is kind of everywhere. I believe they should make lines to food stands clearer, maybe even do 1 row for this order, 1 line for that one (e.g. Burger, pasta, wrap) and the people behind the counter would be able to prepare it quicker, charge it quicker. The whole circuit is surrounded by dust, so don't bring any nice shoes. There is little to no vegetation, so it gets extremely hot. They claim to have made the "French village" there, but there are no restaurants, or the one or two there are, they are absurdly full and just a little area is dedicated to it. I think they should have made it bigger, with large restaurant facilities to accommodate for all the people that come to the circuit. And no, I didn't go from 12-14h (recommended to avoid that time to get food by the organisers) to get me something to eat, but the one food stand was totally packed. I waited 50 minutes in the sun and then gave up as I was about 2/3 of the line length and one of the races was about to start. The shuttles provided - nonsense. One in half an hour and on the day of qualifying, they all got stuck in the outgoing traffic. They don't have their own designated lanes, which doesn't make sense really and 3 of the 4 arriving buses is dedicated for Staff, so be ready to wait hours to get inside the bus if you don't want to walk around the circuit. The camping is an abomination and an isult to camps that I've been in during my recent travels. Everything I have is covered in dust, it was a dusty field full of sharp weeds and pointy branches on the ground so my tent has holes on the bottom and it even punctured my mattress, so thank you very much for that. Completely unsuitable for camping. Furthermore, having one facility with only cold water - I mean I enjoyed the cold shower after a hot day, but not everybody can get used to it. Plus, it's super far away from the camping. The dry toilets were quite nice, good supplier, didn't smell so bad, well done on that. But, not even having some water to wash my hands after a toilet is ridiculous as well. Plus, having only one entrance to the whole campsite created chaos and hours of waiting lines for Sunday evening when people wanted to leave.
I really...
Read moreLe circuit Paul-Ricard, situé au Castellet, est un circuit automobile français homologué Grade 1 par la Fédération internationale de l'automobile et la Fédération internationale de motocyclisme, inauguré en 1970 dans le département du Var, près des communes de Signes et du Castellet. Fondé par Paul Ricard[1], le site possède un aéroport, des hôtels et des restaurants. Anciennement maire de Signes, Paul Ricard souhaitait créer un circuit-référence en matière de sécurité. Le circuit accueille de nombreuses compétitions nationales et internationales (GT, endurance voiture et moto, compétition camions, course à pied et vélo). Il a accueilli quatorze Grands Prix de France de Formule 1 de 1971 à 1990 et de nouveaux quatre de 2018 à 2022. Avec ses 133 employés, le circuit est un acteur économique majeur du département du Var, et plus largement de la région PACA, en effectuant 62 % de ses achats dans la région. En 2019, le circuit a généré un chiffre d'affaires de 22,63 M d'euros sur 239 jours d’exploitation. Paul Ricard commence, sur les mille hectares de rocaille du plateau du Camp entre Marseille et Toulon, par construire un aérodrome en 1962 pour ses affaires et pour desservir l'ouest varois[2]. L'idée vient alors de créer un circuit automobile et le projet est bouclé en dix mois. Les premiers projets, conçus par des architectes peu au fait du sport automobile étaient fades et Paul Ricard décida alors de confier le dessin du tracé à des pilotes de renom : Henri Pescarolo et Jean-Pierre Beltoise entre autres, furent invités à donner leur avis. En trois cents jours est créée une piste de 5,810 km, avec notamment la fameuse ligne droite du Mistral de 1 800 m. Le circuit est à l'époque la référence en matière de tracé et de sécurité. À la suite d’une année de travaux, le circuit est inauguré, le 18 avril 1970. Le circuit organise dès 1971 le Grand Prix de France de Formule 1 (jusqu’en 1990) puis, en 1973 le Grand Prix moto. En 1978 la course d’endurance de 24 heures moto, le Bol d'or est organisé. À la fin des années 1980, sous l'impulsion du président François Mitterrand, un nouveau circuit de standing international est mis en chantier dans la Nièvre, près de Nevers. De plus, les législations anti-alcool percent dans la société et le nom de Paul Ricard dérange. 1990 marque la dernière édition du Grand Prix de France de Formule 1 au Paul-Ricard car dès 1991 le circuit de Nevers Magny-Cours récupère l'évènement. Vieilli et en difficulté financière, le circuit n'est plus aux normes et perd le Grand Prix moto de France en 2000, le Bol d'or et l'organisation de la manche française du championnat du monde de Superbike et le Grand Prix Camion dont la dernière édition s'est déroulée en 1999. Le circuit est racheté en 1999 par l'entreprise française Excelis dont le représentant est Bernie Ecclestone[3],[4]. Le circuit se concentre sur l’innovation et la technique, et devient le High Tech Test Track, circuit exclusivement déestiné aux essais et au développement. Philippe Gurdjian lance un programme de développement en vue de faire du circuit un modèle avant-gardiste, novateur et à la pointe de la technologie. Il n'y a plus de spectateurs mais le circuit est enfin rentable. Il offre 247 combinaisons de piste différentes, dont la plus grande mesure 5,858 km et la plus courte 828 m[5],[6],[7],[8]. Le complexe comprend aussi une piste d'atterrissage pouvant accueillir des jets et un circuit de karting, la Karting Test Track (KTT), qui reprend les mêmes principes que la piste auto en matière de sécurité. La piste de karting est longue de 964 m, elle est supervisée par Frédéric Julien et offre des stages de pilotage. Philippe Gurdjian, après neuf années de présidence, quitte ses fonctions de PDG du circuit fin juin 2008 pour s'occuper de la piste d'Abou Dabi dont il est le concepteur. Tancrède Barale lui succède au poste de directeur général. Le nouvel organigramme est le suivant : la direction du circuit Paul-Ricard HTTT est confiée à Gérard Neveu, l'hôtel du Castellet à Arnaud Potdevin et l'aéroport international...
Read moreHistorical and mythical race track and without any doubt one of the fastest track in France. For that reason, every biker or sport car driver should have experienced speeds largely above 300 km per hour (185 mph). Facilities are not anymore at the very top of other international tracks but remain very good. BUT here are some drawbacks to be conscious of in order not to be surprised: 1) depending on the track configuration, if only the small loop is opened, you could reach 300km/h but not so much more (if the whole track is opened, prepare to... take off! ;). Then check the track configuration the day you practice it. 2) Apart from the 2 thrilling looooong straight lines, the rest of the track is totally BORING! You only appreciate the time it provides you to rest on your bike ;) 3) last and least, the area is very windy, especially in summer, and can make it very sporty and even really dangerous, especially for motorbikes... ANYWAY, apart from these real drawbacks (mainly the last one), if you want to ride in France, on a mythical track, you MUST ride the Circuit Paul Ricard, also called 'Le Castellet' (name of the small town it belongs too). For a better stay, avoid all tasteless hotels and prefer one of the numerous Air BnB places! The area is gorgeous. Trust the people that decided to build their own house at the...
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