On va pas se mentir, le Zat jouit d'une réputation basée sur un passé que les moins de 20 ans ne pourrons pas connaitre. La réalité malheureusement, a été rattrapé par une clientèle disons éclectique et une direction financière hasardeuse qui a tendance à prendre les clients pour des américains. Mais on va y revenir sur ce point.
Le service est souriant, il faut le dire. Vite assis, il faut se déplacer pour commander et récupérer son nectar. "On fait bosser les clients le Dimanche" me lance une personne qui j'identifie comme le patron.
Ok, nouveau concept, on accepte et on suit la meute assoiffée. Je commande 2 mojitos... On peut pas se râter avec un mojito, c'est aussi basique que la bière.
Le prix affiché : 9 euros. Bon, on est au bord de mer, c'est le sunset, on va pas râler. Les ingrédients sont mélangés devant moi : charette, menthe qui semble avoir vécu 2 vies, citron (mais pas trop hein), eau pétillante et... c'est tout. Le tout aimablement servi dans magnifique verre en plastique de festival. "20 euros" me demande le barman. Etant habitué aux festoches je me dis : 9 + 9 = 18 + 2 euros de consigne (1 euros par verre), le compte y est. Je tend ma CB, paie sans contact et retourne sagement à ma place. Je m'assois, prends une gorgée du "précieux" breuvage, et me rends compte qu'il va falloir que je fasse un signalement "alerte enlèvement" pour le sucre. Le rhum lui, même si c'est pas du cubain, se sent bien. Les minutes passent, le monde se fait un peu plus dense, le vent se lève, la fumée de cigarette aussi et ça sonne le glas de mon apéro. Je me lève, vais rendre mes 2 consignes. "Ah ben non, ce sont des consignes non remboursables, c'est marqué là" Le doigts de la barmaid se tend vers un A4 gribouillé au feutre rouge, signalant ma méprise. "Ah, mais j'ai bien payé 2 euros de plus..." "Oui et ?" "Ben sur votre pancarte là, c'est marqué 9 balles le mojito, pas 10 balles avec la consigne..." "Oui, mais vous pouvez garder le verre" J'imagine à ce moment ce fabuleux verre "La Dodo lé Là" trônant sur mon étagère en verre et métal noir, comme un symbole d'un capitalisme forcené, et d'un cadeau consenti par la force. "Chouette comme concept, mais c'est un peu de la vente forcé votre affaire là non ?" " Ah ben nous on décide pas hein" Excuse facile, on se dédouane. Et puis je fait un calcul rapide, je pense qu'ils ont du faire coup à une centaine de clients ce soir là... Et puis je pose les verres sur le comptoir, les poussant vers les barmen. "Considérez ça comme un pourboire, juste lavez les avant de les revendre à d'autres, ça pourrait passer pour de l'arnaque."
Ce jour où Le Zat a inventé la consigne...
Read moreÀ FUIR ! Cela fait 15 ans que je viens régulièrement sur l'île Les prix augmentent partout ... c'est un fait.
Mais là, au Zat... non seulement les prix augmentent mais les portions diminuent à vue d'œil !
Il y a un an et demi, le zat était moins cher et mieux servi qu'aujourd'hui Cette phrase était déjà valable il y a un an et demi Puis encore un an et demi avant .....
Bref, Un tartare du jour minuscule, mal découpé, servi dans un mini bol (style apéro ou entrée) sans goût Un mini bol de frites (la moitié étant des petits bouts de frites cramées Et un mini bol de salade verte ...
PRIX : 26€ !!! Un record
Pour quasiment le même prix, poussez un peu plus loin pour aller manger au "Château de Sable" ou la "Cantine du Château" ou bien encore un peu plus loin le "DCP" à Saint Gilles Les portions sont largement suffisantes, vos papilles s'en souviennent longtemps et l'accueil est irréprochable
Là, on sort d'un restau, sans saveur et on s'achète un sandwich un peu plus loin pour finir son repas.
On nous prend pour des vaches à lait, de plus en plus ... sous prétexte qu'on mange les pieds dans le sable Une honte.
Donc restaurant à éviter, sauf si vous n'avez pas faim et envie de dépenser votre l'argent.
Dommage, il y a quelques temps c'était l'une de mes adresses favorites
Cordialement
Mika (qui vous a dit la même chose...
Read moreÀ la Réunion, il y a deux choses qui s'appellent le vivre ensemble et le respect (qui se perdent de plus en plus sur la côte ouest, et qui sont quasi inexistantes dans la majorité des grandes villes de l'hexagone). Nous avons osé venir au bar nous renseigner (car c'était notre première fois ici). Et hop, on se fait recadrer par le gérant (??), qui, soit dit en passant, ne répond pas à notre bonsoir et rajoute : "allez vous asseoir, on viendra vous voir". Ben non merci en fait . Au revoir, on va aux Rondavelles de l'autre côté du petit pont où on se fait recevoir par un bonsoir et un sourire (prends des notes). Que ça soit clair, vous pouvez faire les meilleurs cocktails de la terre, des plats excquis. Tant pis. Je ne vous aurai même pas permis de me faire un avis sur votre cuisine et vos boissons vu l'accueil réservé. Clients, vous méritez du respect et pas seulement de la bonne bouffe ou à boire. Si tu es épuisé de ton métier au point de ne pas dire bonjour et d'être froid, tu n'as plus rien à faire dans la restauration et dans l'intégralité des métiers du commerce et du service en général. Pour finir sur une démarche bienveillante, même si vous avez vu que j'étais déçu, je vous encourage à travailler les points cités plus haut. Tout le monde peut reconnaître ses erreurs et...
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