Das Hotel Schloss Hornberg liegt oberhalb des gleichnamigen Gemeinde im Schwarzwald. Eine absolute Toplage für ein Hotel. Fassade und Dach wurden 2013 (nachzuschlagen in einem kleinen Fotoband) erneuert und lassen das Hotel sehr prachtvoll von außen wirken - einem Schlosshotel entsprechend. Im Rezeptionsbereich erwartet einen dann überraschen ein 70er/80er-Jahre Stil, mit altem Mobiliar und viel Holz. Der Empfang selbst ist herzlich und freundlich man wird wie üblich kurz unterwiesen, erhält Schlüssel und Fahrkarte für den Regionalverkehr und fühlt sich in sehr familiärem Umfeld gut aufgehoben. Der Weg hoch zu den Zimmern erfolgt über eine alte, massive, mit Teppich versehene Holztreppe - sehr ausladend und knarrend. Beim Hochlaufen stellt man unweigerlich fest, dass das Hotel im Inneren das letzte mal vor Jahrzehnten renoviert worden sei muss. Auf jedem Stock führen je zwei Türen, eine zur Linken und eine zur Rechten, in die beiden Flügel des Hotelgebäudes. Rechts in modernem Weiß mit klaren Scheiben, links in Mehrfamilienhausstil mit dem obligatorisch in Alurahmen gefassten Strukturglas inklusive flieseähnlichem Türknauf. Der Zimmernunmer folgend biegt man links ab und tritt durch die Mehrfamilienhaustür in einen langen Korridor. Links und rechts sieht man weiße Türen mit Zimmernummern beschlagen - doch richtig gelaufen. Der Flur selbst ist durch den königblauen, mit Lilien versehenen Teppich und die karge Beleuchtung sehr dunkel. Ein unbenutztes Babybett und ein dunkles Massivholzbuffet komplettieren den unbehaglichen Eindruck. Das mit einem roten Vorhang notdürftig verdeckte WC in einer Nische fällt dabei dann kaum noch ins Gewicht. Während man weiter Richtung der eigenen Schlafräume läuft beschleicht einen der Verdacht, dass die teilweise schief im Rahmen hängenden Türen keine Ausnahme und der abgeriebene Lack an eben selber stelle ein billigend in Kauf gekommenes Übel sind. An der eigenen Zimmertür angekommen bestätigt sich dieser Verdacht. Im oberen Bereich der Tür lässt ein gut 1,5cm hoher Schlitz Licht in den sonst dunklen Flur scheinen. Ein neidischer Blick zur Seite beruhigt jedoch - der Nachbar hat das gleiche Problem. Also öffnet man die Tür und tritt ins Zimmer - die Deluxe Variante wie die Flyer aus dem Foyer verspricht. Wieder Königsblau auf dem Boden, ein orangener Baldachin über dem Bett, furnierte Möbel und Kunstdrucke ab der Wand. Das Zimmer ist gewöhnungsbedürftig. Der Ausblick gen Tal allerdings sehr schön. Befremdlich wirkt auch der Aufbau des Zimmers. Durch die Tür getreten steht man vor dem Bett, erst dahinter geht es Richtung Lounge mit Zweisitzersofa (Orange mit Herbstblattbezug), dem Schreibtisch und der "Minibar". Die Zimmerpflanze rettet auch das nicht. Wie unbehaglich dieser Aufbau ist wird einem allerdings erst Abends bewusst, wenn er sich liebevollerweise auf macht an der Hotelbar zwei, im übrigen sehr leckere, Hauscocktails zu holen und man beim Öffnen der Tür feststellt, dass der gesamte Flur nun freien Blick auf den wenig bekleideten Menschen im Bett hat. Flüchtet man sich dann ins Bad steht man in einem max. 2,5 qm großen weiß von Boden bis Kopfhöhe gefliesten Bad mit Neonbeleuchtung und kleinem Heizlüfter - für eine Heizung war zwischen Toilette und Dusche aber auch wirklich kein Platz mehr. Das hier vielfach angesprochene schlechte Preisleistungsverhältnis kann man somit bei 175€/ Nacht nur bestätigen. Zusätzlich zu der Übernachtung wurden uns zwei Abendessen (3- und 5-Gänge-Menü) und Frühstück geboten. Das Frühstück war, um es kurz zu fassen, gut. Brot, Brötchen, Tee, Kaffe, Säfte und einen Vielzahl an Wurst und Käsevarianten, Marmeladen und diverses Obst. Einzig seltsam war die Diskrepanz zwischen Frühstück am Samstag und Frühstück am Sonntag. Während es Samstags "nur" Wurst und Käse gab wurde Sonntags auch Lachs gereicht und das Rührei mit Speck, dass samstags noch 2,80€ Aufpreis kostete gab es sonntags gratis. Die Frühstücksdame ist im übrigen eine sehr reizende Frau die, wenn sie auch kaum deutsch spricht, stets gewillt ist...
Read moreL'hôtel a dû connaître une époque faste mais elle est clairement derrière lui.||Le site est assez beau même si le fond de la vallée est très urbanisé, ce qui||n'apparaît pas du tout sur les photos. Le Schlosse surplombe de haut la ville de||Hornberg et n'est en aucun cas en pleine forêt. Les perspectives lointaines restent||très belles malgré tout. Un petit parc intégrant les ruines d'une ancienne place-forte||entoure l'hôtel, les enfants peuvent y courir et s'y amuser sur des jeux en bois.||Parking à l'ancienne devant l'hôtel. L'accueil, correct, sans plus, est assuré par un||couple assez jeune qui semblent être les propriétaires et un peu lassés par le job.||Pas de wifi dans les chambres contrairement à ce qui est annoncé, ce qui est hélas||fréquent dans ce voyage et très désagréable. Il faut descendre dans le hall de l'hôtel pour se connecter et éventuellement être invité à consommer une boisson.||Les parties communes sont usées mais présentent un certain charme un peu désuet.||On peut penser à Shining, le film de S.Kubrick, même si il n'y a pas de chambre 317.||Les salons du bas sont fatigués, pas de télévision correcte, pas d'ordinateur non plus.||Tout est un peu fatigué, hors d'âge. Par contre jolie terrasse en extérieur pour boire un||verre ou deux avant le dîner en profitant du paysage.||Les chambres sont très spacieuses, au moins 30 m2, les salles de bains aussi, mais le mobilier est des plus standards, années 80, tendance RDA.||La literie est propre et de qualité.||||La salle de restaurant a une certaine allure, beau linge de table. Clientèle variée, touristes et couples d'amoureux, mais de bon aloi. Personnel actif et souriant.||Carte assez variée même si on aurait envie d'y trouver plus de spécialités vraiment régionales.||Carte des vins bien fournie en vins de la région, beau choix de Riesling, bios et non bios,||quasi rien en vins français.||Les raviolis souabes, spécialité locale très roborative, sont très bons et servis généreusement.||Les Schnitzels des enfants sont corrects et bien servis accompagnés d'une salade.||La poitrine de dinde est servie avec des épinards frais en beignets. Correct.||Je me suis laissé tenter par une truite de la Shwartz-wald après que la patronne m'eut assuré||que c'était les meilleures imaginables et j'ai reçu deux maigres petits filets d'un poisson totalement insipide et inintéressant, de toute évidence congelé, et ne ressemblant à une truite que de très loin. Très grosse déception. Ou cette dame n'a jamais vu une vraie truite de sa vie, ou elle m'a abusé. Garniture laborieuse et sans intérêt, bref un désastre. Belle assiette de fromages affinés et desserts sans histoires.||||Conclusion:||Le Schlosse aurait besoin d'investissements pour retrouver un peu de son faste d'antan. Il faudrait remeubler les parties communes et les chambres avec du mobilier plus glamour, en rapport avec la bâtisse. Le lieu est encore habité d'un charme désuet et attachant mais il faut lui rendre de l'âme et du chic. Au restaurant, on aimerait déguster une cuisine moins générique, plus raffinée et simple, élaborée avec de vrais produits de la campagne environnante. Et si il n'y a plus de truites en Shwartzwald, n'en...
Read moreL'hôtel a dû connaître une époque faste mais elle est clairement derrière lui.||Le site est assez beau même si le fond de la vallée est très urbanisé, ce qui||n'apparaît pas du tout sur les photos. Le Schlosse surplombe de haut la ville de||Hornberg et n'est en aucun cas en pleine forêt. Les perspectives lointaines restent||très belles malgré tout. Un petit parc intégrant les ruines d'une ancienne place-forte||entoure l'hôtel, les enfants peuvent y courir et s'y amuser sur des jeux en bois.||Parking à l'ancienne devant l'hôtel. L'accueil, correct, sans plus, est assuré par un||couple assez jeune qui semblent être les propriétaires et un peu lassés par le job.||Pas de wifi dans les chambres contrairement à ce qui est annoncé, ce qui est hélas||fréquent dans ce voyage et très désagréable. Il faut descendre dans le hall de l'hôtel pour se connecter et éventuellement être invité à consommer une boisson.||Les parties communes sont usées mais présentent un certain charme un peu désuet.||On peut penser à Shining, le film de S.Kubrick, même si il n'y a pas de chambre 317.||Les salons du bas sont fatigués, pas de télévision correcte, pas d'ordinateur non plus.||Tout est un peu fatigué, hors d'âge. Par contre jolie terrasse en extérieur pour boire un||verre ou deux avant le dîner en profitant du paysage.||Les chambres sont très spacieuses, au moins 30 m2, les salles de bains aussi, mais le mobilier est des plus standards, années 80, tendance RDA.||La literie est propre et de qualité.||||La salle de restaurant a une certaine allure, beau linge de table. Clientèle variée, touristes et couples d'amoureux, mais de bon aloi. Personnel actif et souriant.||Carte assez variée même si on aurait envie d'y trouver plus de spécialités vraiment régionales.||Carte des vins bien fournie en vins de la région, beau choix de Riesling, bios et non bios,||quasi rien en vins français.||Les raviolis souabes, spécialité locale très roborative, sont très bons et servis généreusement.||Les Schnitzels des enfants sont corrects et bien servis accompagnés d'une salade.||La poitrine de dinde est servie avec des épinards frais en beignets. Correct.||Je me suis laissé tenter par une truite de la Shwartz-wald après que la patronne m'eut assuré||que c'était les meilleures imaginables et j'ai reçu deux maigres petits filets d'un poisson totalement insipide et inintéressant, de toute évidence congelé, et ne ressemblant à une truite que de très loin. Très grosse déception. Ou cette dame n'a jamais vu une vraie truite de sa vie, ou elle m'a abusé. Garniture laborieuse et sans intérêt, bref un désastre. Belle assiette de fromages affinés et desserts sans histoires.||||Conclusion:||Le Schlosse aurait besoin d'investissements pour retrouver un peu de son faste d'antan. Il faudrait remeubler les parties communes et les chambres avec du mobilier plus glamour, en rapport avec la bâtisse. Le lieu est encore habité d'un charme désuet et attachant mais il faut lui rendre de l'âme et du chic. Au restaurant, on aimerait déguster une cuisine moins générique, plus raffinée et simple, élaborée avec de vrais produits de la campagne environnante. Et si il n'y a plus de truites en Shwartzwald, n'en...
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