I am very surprised by all the positive reviews this restaurant has received. I went there with a friend for dinner, and we were immediately uncomfortable due to the lack of air conditioning. The service was practically non-existent, as we had to repeatedly ask for water from a server who seemed more interested in socializing with friends. The water we did receive was room temperature, and it took a long time for me to get my cocktail, which was just average. We wanted to order griot with riz collé (a staple in Haitian cuisine), but they only had riz djondjon available. The griot was OK but riz djondjon was not good and had a weird taste. We also took pâté kode as an appetizer, which was disappointing. Also, the side sauce that came with the meal looked like generic BBQ sauce, not authentic Haitian cuisine. Overall, this was one of the worst Haitian restaurants I have been to. To finish, he made a mistake on the interact machine which we signalled him. He then corrected it and entered the correct price then left while we were waiting for our receipt. After waiting for long enough we just left with no receipt. I unfortunately do not recommend and will never go back...
Read moreNoël est à nos portes et, pour l’occasion, Décembre s’est revêtu de son plus noble habit blanc. Qu’elle soit pour vous synonyme de célébrations, de festins, de temps en famille, de cadeaux ou de stress organisationnel, cette festivité n’a pas son égal dans le calendrier québécois. Noël rassemble, berce, éclaire et réjouit des âmes de tous les arrière-plans culturels et religieux. La tradition chrétienne, quant à elle, l’a fait correspondre à la Nativité, qui, bien plus que la naissance du « p’tit Jésus », annonce à l’Humanité la venue de son Sauveur. En ce jour où le ciel déposait sur nos tuques ses doux flocons, mon église a sorti quelques-uns des plus beaux morceaux du temps des fêtes, et, alors que le chœur de l’assemblée retentissait encore dans mon esprit, le fait que les cantiques se poursuivent au sein même du restaurant Shandmas a suscité mon ébaubissement.
« Ce sont des chants de louange, ça ! »
A. me fit signe que oui, son visage se parant de liesse. À nous mettre pareillement de bonne humeur, la décoration de cette maison fière de son âme haïtienne, diaprée de courage, de résilience, de générosité, de solidarité et de tendresse, d’oiseaux et de fruits de couleur, de lumières, de portraits d’illustres. De tous les établissements servant des mets caraïbéens que j’ai connus, le Shandmas est assurément le plus mignon. Et le plus délicieux ! Avec l’employée la plus gentille ! Alors là, notre joie était parfaite.
PAKLANK ! Oh ! La porte, par contre ! PAKLANNNK ! Eh ! La pauvre, elle a besoin d’un peu plus de soins ! Mais revenons à la nourriture…
Deux plats m’ont particulièrement plu : un pâté kode qui enchantait le palais avec un feuilleté croquant et des saveurs enveloppantes, à prendre dans sa version au poulet, oignons, poivrons et œuf. Un fritay (acras, plantains, marinades) bourré de saveurs avec une friture à point, légèrement croustillante, et une farce moelleuse qui embaumait le palais, qui provoquait l’envie de s’en empiffrer…
Chez la cuisine antillaise, pour ce qui est de la viande, on préfère, et corrigez-moi si je me trompe, une cuisson à point et une chair plus ferme. Ainsi, sans faire exception à la règle, les morceaux du griot offraient une résistance sous la dent, mais n’en perdaient pas pour autant leur attrait, au contraire ! Enduits d’une sauce relevée et de pikliz, on sentait le réconfort de la cuisine maison, comme si on avait été conviés à célébrer Noël chez nos hôtes haïtiens. Un peu plus et ils étaient assis avec nous à la table. Justement, notre gentille serveuse s’acheminait vers nous.
« Est-ce que ça vous a plu ? »
Je me lance alors dans une tirade sur la beauté du décor, la richesse des plats, la chaleur du service…
Et la gracieuse demoiselle - avec qui je m’étais entretenue auparavant dans sa langue maternelle - de rétorquer :
« D’accord. Est-ce que tu peux le dire en créole, maintenant ? »
Je prends une grande inspiration.
« Sa m vle di, se manje isit la bon gou, dekorasyon bèl anpil epi sèvis ou trè janti. M kontan, li (A.) kontan, tout moun kontan. Mèsi anpil ».
J’ai droit à une brève ovation. « Bravo ! » En réalité, c’est le Shandmas et ses ouvriers qui en méritent une longue.
Chapo ba pou nou ! Epi... jwaye Nwèl davans !...
Read morethe food was rotten... how can you serve customers rotten food?!?!?!? After eating this meal i felt sick and had to go to bed. Not only was the food horribly seasoned, but it also made me sick and had me feeling nauseous all night. 45 mins after not finishing my plat the house smelled like food that had gone sour, after looking through my kitchen and garbage to find the smell it came to my attention that it was the food we had ordered less than an hour ago. i try to avoid leaving bad reviews because business is business and we sometimes have days, but i cannot respect or even protect a business that doesnt take the time to care about customer health and safety. if i could give this place negative...
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