L'Hidalgo — Restaurant in Céret

A visit to L’Hidalgo was a truly disappointing experience that I would not wish upon anyone. (Except for the laughs we had as a family, that was priceless!)

The service was alarmingly fast—our entire meal arrived within five minutes of ordering, and the hamburger within two or so, a clear red flag that nothing was being prepared fresh. The hamburger, in particular, was a disaster; it was lukewarm and tasted as if it had been reheated. It was so unappetizing that I refused to pay for it, and the staff's lack of protest suggested they were well aware of the poor quality.

The other dishes were no better. The duck was served cold, and the gambas in the stir-fry were completely flavorless. The main course of gambas was equally underwhelming, a matter of personal taste perhaps, but certainly not a highlight.

My advice is to steer clear of this place. The quality of the food does not justify the price. You'd be far better off finding a tapas bar where, even if you don't love every dish, a €5 disappointment is much easier to swallow than a €25 one.

Save yourself the money and the bad meal and eat...

Arnaque ! Fuyez de toute urgence !

Je tiens avant toute chose à signaler que les serveurs sont très aimables et que mon commentaire n'a rien a voir avec le travail formidable qu'ils accomplissent.

J'ai commandé un menu a 27€ (Menu Hidalgo) car il y était mentionné en plat "Seiches Grillées et aïoli" (sinon j'aurais pris le menu en dessous).

L'entrée arrive, correct avec une jolie présentation, puis vient le plat.

Surprise je ne vois qu'une seule pauvre seiche toute petite au centre de mon assiette, accompagnée d'un médaillon de riz et d'un ramequin d'aïoli.

Je décide d'aller me rendre à la caisse afin de voir un membre du personnel pour signaler le problème qu'il manque (au moins) une seiche dans mon plat puisqu'en effet il était mentionné "SeichES GrillÉES" sur le menu.

On m'annonce qu'il s'agit d'une erreur de frappe (comme pour le "caramel beure salé" du dessert ?) et que pour un menu a 27€ je n'ai pas a me plaindre (ahah).

Aucun geste ne sera fait (alors que l'erreur est belle est bien présente !), ni remise commerciale, ni digestif, ni café, ni excuses !

Un signalement sera effectué au près de signal.conso.gouv.fr, le site de la DGCCRF, car j'ai payé pour un plat qui n'est pas conforme en ayant malgré tout demandé que l’on me serve le plat tel qu'il était désigné sur le menu.

Très très très déçue de cet établissement. Je ne recommande pas et ne reviendrait pas.

(Photo personnelle du menu et photo de Clémentine.F pour le plat qui ne comporte qu'une seule seiche comme ce que...

VERITABLE SANDALE EN CUISINE "Au tord boyaux, le patron s'appelle Hidalgo" chantait en son temps Monsieur Pierre Perret

Avec mon épouse nous avons choisi de déjeuner dans ce restaurant, sur conseil d’une serveuse fort sympathique. Une fois installés à table et avoir choisi le menu du jour, quelle n’a été notre très profonde déception en recevant nos entrées : menues, chétives et aucunement à la hauteur de ce que l’on attend en temps ordinaire. Cela ne fut qu’un début. Le pain avait un puissant gout d’eau de javel : immangeable. Vint ensuite, le plat principal. Nous choisîmes 2 couscous : 1 de la mer et 1 de la terre. Rien à voir avec un véritable couscous, ne fut-ce que d’entrée de gamme ! Voyez plutôt : La semoule servie dans un ramequin à moitié rempli. Puis, le poisson braisé baignant dans un bouillon dégu…. avec la peau et d’un goût immangeable. Bref j’ai tout laissé, écœuré et avec une somptueuse envie de vomir. Et en ce qui concerne le couscous de terre: une petite boulette de poulet et une petite merguez baignant dans un jus innommable avec 3 bouts de carottes, 2 rondelles de courgette et un seul pois chiche. Du couscous ça ? Un véritable scandale en cuisine. Quant au dessert, nous l’avons refusé. Finalement un café très très serré et une bouteille d’eau plate en plastique sans doute en provenance des supermarchés. Pour terminer, un prix à la hauteur du scandale. Conclusion Depuis l’époque Jacques Borel, j’ai l’impression que rien n’a évolué dans ce véritable...