I dined here with my family, we came for lunch at 12 oclock. The restaurant looks nice and has a good atmosphere. My father ordered raw tuna steak salad, which he said was average. My mother, girlfriend and myself ordered a set menu (menu de marché) for €19 which includes a starter, main and desert. The set main was pork ribs, but what arrived was pork belly with the bone. It was very very tough and was just boiled with no salt or seasoning. I have had pork belly many times before and it is supposed to melt in your mouth if cooked correctly. But this was just a pale grey piece with no flavor and almost impossible to chew. The vegetables that accompanied it were also extremely bland and mushy. We told the waiter we would not eat this and that we wanted to order something else. He was not pleased but showed us the menu again, we ordered the duck breast which my sister had already ordered and finished eating by the time the waiter delt with our ordeal. The duck was very well seasoned and cooked. The restaurant made us pay for the full set menu as well as the duck breast we ate but they did not even give us our desert from the set menu. The restaurant could have good food but they need to have standards and the waiters need to be more pleasant when dealing with situations like this. We also seen a couple a table across order the same pork ribs which was actually pork belly and also not eat it. Not very pleased with our...
Read moreLa salle de restaurant était vide à l'exception d'une seule table autre que celle que j'occupe avec mon invité et d'une autre table en terrasse. Je commande un magret de canard, la serveuse me demande quelle cuisson et je réponds, rosée. Sans rien m'opposer, et qu’aurait-elle pu m’opposer puisqu’il est commun de demander ce type de cuisson pour ce type de viande, dans la région et ailleurs, elle envoie ma commande en cuisine. A l’arrivée du plat, force est de constater que le magret est très cuit, trop cuit, ni rosé ni saignant, trop cuit. J’en fais donc part à la serveuse calmement. Elle repart avec l’assiette en cuisine et en revient quelques minutes plus tard, alors que mon invité a été obligé de commencer son repas pour ne pas laisser refroidir son plat, avec le magret en m’indiquant que le chef a dit « c’est comme ça qu’on mange le magret ». Devant tant d’aplomb, ma patience s’émoussant, je réponds que je ne pourrai pas manger une viande trop cuite. La serveuse me demande alors si elle ramène le plat en cuisine, je lui confirme que je ne pourrai le manger. Elle fait donc disparaitre l’assiette sans un mot supplémentaire, l’air particulièrement gênée. Mon ami termine son assiette alors que je reste devant une table vide. Ceci est déjà contraire à toutes les règles de savoir-vivre mais aussi professionnelles car il est hors de question de laisser un client sans assiette dans un restaurant, c’est le B-A BA de la restauration. Voyant que rien ne se passait, je demande à la serveuse ce qu’il en est, certainement l’air agacé, on le serait à moins. Elle me répond que le chef a gardé l’assiette puisque je ne veux pas manger son contenu, c’est alors que je demande à voir le responsable du restaurant, ce à quoi il m’est répondu qu’il n’est pas là. Je demande alors à voir le chef. La scène que nous avons vécue est particulièrement ignoble : Monsieur Saint Marc (j’ai appris son nom par votre courrier) est sorti de sa cuisine comme un furibond et est arrivé à notre table quasiment en courant. Sans prendre le temps ni la politesse de nous saluer, il a lancé un « C’est vous qui ne voulez pas manger le magret ? ». Je lui ai répondu pas l’affirmative en ajoutant qu’il était trop cuit pour la cuisson que j’avais demandée. A cet instant, nous sommes entrés dans une phase que je qualifierai de « cosmique » : « Un magret ne se cuit pas rosé, il fallait dire saignant ». Je laissais alors éclater ma colère et ma stupéfaction : « Monsieur, je mange du magret depuis 60 ans, je l’ai toujours demandé rosé ». « Il s’agit ici d’un magret de canard gras, pas d’un canard classique, on ne cuit pas rosé » « Mais, Monsieur, j’ai diné chez vous à plusieurs reprises, ai demandé mon magret rosé et l’ai trouvé ainsi dans mon assiette ». Pour couper court à ce qui le mettait alors en défaut, il m’a répondu : « D’où venez-vous ? » « De Paris » Dans un grand éclat de rire à faire vibrer les vitres de la salle et sans prendre garde aux deux personnes encore attablées, « Ah, Ah, Ah, un Parisien ça ne m’étonne pas alors ». Et il allait tourner les talons sans plus de procès lorsque je relançais : « Les Parisiens ne sont pas plus bêtes que les autres » « Mais vous ne savez rien, vous ne connaissez pas la viande ni la façon de la manger. » Et il ajouta : « Et c’est pas parce que vous ne voulez pas la manger que je ne vous la facturerai pas ». Et il tourna les talons. L’affaire s’est terminée par mon paiement de l’ensemble du repas, le chef avait fait préparer une boite en plastique contenant le magret trop cuit. Je ne l’ai évidemment pas emmené puisqu’il n’aurait pas été plus rosé à mon arrivée. Le chef était ressorti pour l’occasion, pour s’assurer que je paierais bien la somme réclamée, il en a profité pour vociférer encore un peu sur les parisiens qui ne « connaissent rien » et qui « veulent montrer ». A éviter DEFINITIVEMENT ce malotrus, mal embouché et tout sauf...
Read moreMarmande en janvier semble tristounet, pourtant en poussant la porte du restaurant l’ô à la bouche vous serez conquis par une ambiance familiale, chaleureuse. La salle est digne des grandes brasseries avec une verrière qui permet de partager un déjeuner avec une belle lumière et si le temps le permet un rayon de soleil. Le personnel est aux petits soins et a le don de vous mettre à l’aise avec une connaissance parfaite de la carte. Une serveuse est plus aguerrie en œnologie et sait vous conseiller des vins locaux. Même au verre, elle vous les fait goûter. La cuisine est savoureuse. Les frites sont maison. La purée à la truffe un ravissement pour les papilles. La côte de veau à la cuisson parfaite m'a régalé avec ses petits légumes anciens (rutabaga, pdt vitelotte). L’ambiance bonne enfant est joyeuse et l’échange de quelques mots ou plaisanteries avec nos voisins de table est agréable, le personnel n’est pas en reste pour ajouter son grain de sel à quelques galéjades. Un moment de pur bonheur conclu par la rencontre avec le chef en fin de service. Vous repartirez repus et heureux. Je vous conseille une promenade dans le centre à la recherche des pépites architecturales...
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