Jeannine à La Mer — Restaurant in Perpignan

“Chez Jeannine à la mer” : une soirée marquée par l’humiliation et des menaces inacceptables

Ce soir, j’ai été confrontée à une scène profondément choquante et indigne d’un établissement recevant du public.

Arrivés en famille, comme nous le faisons depuis des années, nous nous sommes vu refuser l’entrée sans justification légale. Le premier vigile me demande : “Quel âge ont les filles avec vous ?”. Je lui réponds que ce sont mes filles, âgées de 18 et 20 ans, donc majeures et parfaitement en droit de rentrer. Il me rétorque alors froidement : “Ce soir je ne laisse pas entrer les 18 ans.” Une décision discriminatoire et totalement arbitraire. Pour rappel, l’article 225-1 du Code pénal interdit toute discrimination à l’entrée d’un lieu public fondée sur l’âge, dès lors que les personnes sont majeures.

Je tente de lui expliquer que nous sommes des habitués, résidents de la région. À ce moment-là, un deuxième vigile arrive, visiblement couvert de sang au niveau du cou, des mains et de ses vêtements, tenant une bombe lacrymogène de grande taille.

Son attitude est agressive, brutale et menaçante. Il me coupe la parole, hausse le ton et crie devant tout le monde, y compris les autres clients :

“Vous n’avez pas compris quoi ? Ce soir, vous ne rentrerez pas, POINT.”

Puis, dans un accès de colère, il se met à me pointer du doigt, se tourne vers tout le monde — clients, passants, personnel — et hurle à plusieurs reprises :

“REGARDEZ-LA BIEN, CETTE FEMME ! ELLE NE REMETTRA PLUS JAMAIS LES PIEDS ICI ! VOUS M’ENTENDEZ ? PLUS JAMAIS !!!”

Ces paroles sont humiliantes, intimidantes et ouvertement menaçantes, dans un espace public. Ce comportement constitue une menace publique envers une cliente, ce qui est puni par la loi. 👉 Selon l’article 222-17 du Code pénal, toute menace verbale de nature à porter atteinte à la tranquillité d’autrui peut être sanctionnée, a fortiori lorsqu’elle est proférée devant témoins.

Je suis restée calme face à cette violence verbale, mais je suis ressortie choquée et bouleversée. Ce type d’attitude est indéfendable. Il ne s’agit plus de sécurité, mais d’un abus d’autorité et d’un dérapage grave.

Je le dis clairement : les clients ne sont pas les responsables des tensions qui peuvent exister dans un établissement, et encore moins ceux qu’il faut pointer du doigt et menacer publiquement. Un vigile incapable de maîtriser ses nerfs et de respecter la loi n’a rien à faire dans un établissement accueillant du public.

J’ai longtemps aimé venir chez Jeannine. Ce temps est révolu. Je refuse de mettre un pied dans un endroit où la sécurité rime avec humiliation, menace et abus de pouvoir.

À l’avenir, je privilégierai des lieux où l’on sait respecter la clientèle, où la loi est respectée, et où l’humain est encore une valeur essentielle, qu’il soit résident...

Ce lieu pourrait être magique s'il n'y avait la présence de la sœur du patron dans la fonction de responsable du service. Peut-être ne supporte-t-elle pas le contact avec la clientèle et son statut de sœur du patron l'autorise-t-elle à être désagréable avec les clients (et apparemment avec le reste du personnel de service qui est très sympathique en revanche). Ce comportement déplaisant ou l'on a l'impression de déranger lorsque l'on passe une commande. L'établissement gagnerait beaucoup en orientant cette personne à un poste éloigné de la clientèle. Le résultat de notre soirée c'est terminée par une paire de gifles ce n'est pas le but de nos sorties en soirée surtout après avoir dépensé plus de 400 € dans la soirée. Nous ne pensons pas être particulièrement exigeants quand nous sortons avec des amis nous souhaitons juste passer une bonne soirée en étant bien accueillis pour nous distraire et bien manger. Nous irons désormais dépenser notre argent ailleurs dans des établissements ou le service client à encore un sens. Après le commerçant s'étonne que la fréquentation de son établissement régresse petit à petit... quel dommage de placer à des postes importants des personnes qui ne sont pas compétentes ou qui sont usées par une saison trop intense peut-être. La clientèle n'est pas là pour supporter les états d'âme d'une responsable même fatiguée par sa saison. Les perpignanais ne sont pas des gens de passage que l'on peut exploiter sans aucun égard et comme une mine qu'on exploite mais plutôt comme une clientèle que...

La bonne blague Si vous n’êtes jamais rentré dans ce bar vous ne pourrez jamais y rentrer. Le « videur » qui au vu de son apparence avait plus l’air de sortir d’une séance basic fit qu’à un vrai vigile, nous a dit avec NÉGLIGENCE ,je cite « il faut être habitué pour y rentrer » Sans possibilité de négocier. Bon alors déjà 2 choses: Comment devient t-on habitué si on ne peut pas y entrer On y était déjà allé plusieurs fois auparavant (ce qui me permettra par la suite de vous parler de l’intérieur)

Nous étions un nombre équilibré de garçon fille, bien habillé, (le videur aurait pu en faire autant), et quand je dis j’ai l’impression que c’était pour entrer en boîte de nuiy Alors qu’on parle bien d’un petit bar de plage Ce bar paraît sélect alors qu’il n’est destiné qu’à des quaternaires en pleine crises existentielles

Passons à l’intérieur Déjà si notre choix s’est dirigé vers cet établissement c’est car nous étions dimanche soir et il y a plus grand chose d’ouvert ailleurs Le but était de discuter autour de verre avec une musique en fond (dixit une playlist YouTube) Bref. Outre des cocktails bien trop cher et débordant de glaçon Des tapas au prix d’un plat au restaurant qui n’auront que pour seul but de vous ouvrir l’appétit (au vu des doses anémiques vous n’en aurez pas pour votre argent) L’ambiance y est agréable (si vous avez 35 ans minimum)

On est pas prêt d’y...