Après tout le battage médiatique que nous avons eu pour l'ouverture de ce restaurant nous nous devions d'aller nous faire notre propre idée connaissant déjà la maison mère à Saulieu et Loiseau des ducs à Dijon.
Pour commencer, le lieu est très bruyant, j'ai fais le conservatoire donc je connais très bien cette salle avec les voutes, c'est très joli, mais un traitement acoustique aurait été de bon ton pour rendre la salle plus sourde.
Seconde surprise, les tables sont espacées de 20 cm, en cas de manque de pain on peut se servir sur la table du voisin. Autre détail qui a son importance, la maison Loiseau devrait contrôler le travail du plongeur, les couverts étant des 2 côtés de la table propres mais plein de traces de calcaire (voir photo jointe)
La formule entrée/plat/dessert à 38€ ne nous a franchement pas séduite donc nous sommes partis à la carte (allons-y !)
quelques 20 minutes après notre arrivée les 2 coupes de Champagne arrivent, au prix du resto gastronomique 15€ / coupe. C'est joli, c'est du Deutz, une valeur sure comme à Saulieu, par contre ici pas de mise en bouche, rien, que dalle, 2 coupes puis rapidement les entrées, les 2 coupes étant à peine commencées.... Pas grave nous continuerons donc avec nos coupes de Champagne et ne prendrons pas de vin.
L'entrée est sympa, minimaliste, le gravlax de truite est réussi, la portion est on en peut plus chiche, digne d'un gastro, de l'autre côté de la table une terrine maison, en haché gros, pas très bien taillée, avec quelques pickles, c'est assez réussi malgré un dressage sans grande prétention.
Arrive ensuite le très attendu "plat signature", le chou farci! On ne va pas vous faire attendre plus longtemps, ce plat est bon, on vous amène un joli petit chou bien monté d'un peu moins de 15 cm de diamètre, on le coupe en 2 devant vous et on vous dépose 1/2 chou dans chaque assiette pour bien vous montrer les jolies couches bien montées de Morteau, de carottes, et d'un appareil probablement constitué de crème et d'œuf légèrement moutardé, 50€ le chou (quand même) avec son jus pour le nappage (attention au 1er qui se sert, si vous avez la main lourde il n'y en restera pas pour votre partenaire de chou).
Accompagnement : néant, le chou semble se suffire à lui même. c'est un joli petit 1/2 chou qu'on vous posera dans une assiette blanche, très blanche, très vide... un écrasé de pomme de terre? une purée de carotte ? ou... je ne sais pas quoi, aurais pu meubler mais non, ici on joue la carte du vide, ou plutôt la carte du "produit".
Vient ensuite l'heure du dessert, nous nous sommes laissé tenter par le Paris-Besançon et un gâteau à la framboise et à la liqueur de sapin.je vous avoue ne plus trop me rappeler des noms exacts des desserts, je pensais trop à mon petit 1/2 chou déjà avalé... Alors pour le dressage des desserts on vous invite à voir la photo jointe, on applique ici la méthode Que pour le chou, c'est à dire qu'on laisse la place au produit... un petit dessert qu'on vous livre sur un charriot comme dans un restaurant gastronomique sauf que le charriot ne passe pas jusqu'aux tables (rappelez-vous on vous l'a dit plus haut, c'est serré).
Alors, notre constat aujourd'hui c'est qu'on est indulgent, à 134 € pour 2 un midi (dont 2 coupes de Champagne) le contraste entre l'attendu et le vécu n'est pas au rdv, le service n'est pas à la hauteur de ce que l'on a voulu nous vendre, et le concept se cherche encore entre brasserie? bistro chic? notre expérience nous laissant plutôt sur l'impression d'une brasserie au rapport qualité / prix assez déséquilibré et qui nous rappelle qu'à Besançon on a une autre brasserie du côté de Granvelle qui fait nettement mieux pour moins cher.
On nous l'a dit au moment de régler: "la maison se rôde depuis bientôt un mois", il est dommage que nous ayons fait les frais de ce rodage, ce sentiment ayant été partagé par nos voisins de table. Souhaitons que Blanche Loiseau corrige vite tout celà, nous sommes désolés de notre jugement un brin rude mais il est à la hauteur de...
Read moreUne déception de l’entrée au dessert Je travail en restauration, j’aime me faire plaisir dans des jolies restaurant brasserie ect... Ayant déjà passé un week end à saulieu au relais qui étais exceptionnel, quand j’ai su que l’entreprise loiseau allais s’installer dans ce magnifique lieu j’en étais très heureux, étant franc comtois. Une fois l’entré servis j’ai commencé à être déçu, si le lieu ne s’appelerais bistro chic loiseau et serais moins chère je n’en aurais pas été autant déçu mais là en venant avec un tél nom je suis désolé mais malgré une ouverture récente il y a des choses INEXCUSABLES. Entrée servis dans des assiettes chaudes. Une tranche de pâté bonne mais rien de plus, et pourquoi couper la tranches en 2 et en servir 1 seul morceau. Truite gravlax quantité minime, pour un bistro chic où on attend bien manger, en quantité. Le plat. Quenelle de sandre, aucun goût de sandre, 4 petites quenelles, une chips de riz en déco?! La Volaille, le filet coupé, bistro on s’attend à avoir le filet entier ou presque, du moins bien taillé, 2 petite tranches de ballottine de volaille, sur cuisson sur la viandes et sèche sur la tranche de ballottines Les légumes glacés ce n’est pas ça, glaçage à blanc ou à brun aucun des 2, la cuisson stoppée trop tôt les légumes sont cuit et bon mais en aucun cas GLACÉE. Les dessert 12€ au chariot okay c’est chère mais peut être il y a un peux de cinéma ou quelque chose au moment de servir qui justifie, petite pâtisserie jolie sobre rien d’exceptionnel, tartelette fraise kirsch, aucun goût de kirsch, quantité de crème minimal donc beaucoup de pâte sablé en mâche, une tuile, un sorbet,un petite truc en plus sa serais le minimum pour un bistro chic. Petite taille pour un dessert encore une fois, reparti pas sur la faim non plus mais pas avec le sentiment d’avoir suffisamment mangé, ayant déjà mangé dans plusieurs étoilés en Rhône Alpes et brasserie, toujours sorti rassasié.Tout ce que je cite ici je vous l’ai dit en partant au moment de payer j’ai été honnête avec vous même si j’ai le sentiment de pas avoir été totalement écouté. Votre réponse c’est «une ouverture c’est difficile on en apprend tout les jours vous savez» oui c’est difficile à tout les niveaux mais quand on ouvre un restaurant avec écrit Loiseau sur la porte, des choses sont inexcusables je suis désolé. La salle jolie mais sans grande âme et pourtant quel chance vous avez d’être installé ici. Plein d’autres chose à redire mais ça c’est «excusable, dû sûrement au problème de personnel et à l’ouverture» Amuse bouche des gougères, coupez en morceaux ?! des jolies petit choux serais plus logique et meilleurs. Commande de vin non prise au moment du plat malgré avoir annoncé au début du repas vouloir reprendre la carte du vin à la prochaine assiette. attente très longue et je suis très patient au restaurant en général. Le prix de certains vin au verre…. Voilà c’est bien la première fois que je met un avis négatif sur internet je suis pas du tout adepte de ce genre de choses préférant le dire au restaurant mes compliments en partant en règle général, encore une fois tout ce que j’écris je vous l’ai cité au moment de payer.énervé car en tant que franc comtois je vois la venu de la brasserie loiseau à Besançon comme un business là pour faire des sous (très petites quantités donc trop chère ,très peux de produit de grande qualités pour un bistro chic) en ressortant mon sentiment et que le maître mot de votre ouverture de ce bistro chic c’est gagner de l’argent en attirant la bourgeoisie local plutôt que de s’implanter dans une région et mettre à l’honneur du produit local mêlée à des classiques de Mr loiseau revisité « bistro chic » ainsi que la touche de la cheffe.Avec tristesse que je laisse ce commentaire. mais que les gens doivent savoir avant de venir chez vous, en tant que grand nom de la gastronomie française. épicurien et amateur de bonne cuisine autant dans l’aspect visuel que au goût bien sûr passez...
Read moreThe day we chose to have lunch at the Loiseau du Temps was one of the hottest on record so we were slightly concerned that the restaurant would be stifling and that our appetite would be spoiled. We needn't have worried. The interior was perfectly cool thanks to the addition of a large fan, and the menu was carefully chosen so that it was appropriate for such a day. The gaspacho de tomates, which also contained strawberries and a red port sorbet, was a highlight. The main course, ling with gnocchi formed into a kind of tart and accompanied by a pesto sauce, was precisely cooked so the fish remained firm, tender and moist. While I'm not a great fan of desserts, the raspberry 'Dôme' with a gelatinised melon was a testament to the patisserie chef's expertise. I doubt if many amateur chefs could make it at home. Service, despite the heat, was friendly, well-timed and professional. At 38€, this was outstanding value, given the quality of the cooking and the...
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