While in Boulogne, we followed the advice of the proprietor of L’Aloze in Wimereux, who spoke with conviction of a new address worthy of attention. Trusting his judgment, we made our way there and entrusted ourselves to the house’s seven-wave menu.
From the first plate to the last, the experience unfolded with a rare coherence. Each dish bore the mark of thoughtful composition — cooking executed with restraint and exactitude, flavors balanced with quiet assurance, and seasonings applied not to dazzle but to reveal. Nothing felt forced, nothing was superfluous. There was, in every gesture, a respect for product and for the diner’s palate.
In the dining room, the presence of the maître — attentive, discreet, and unfailingly gracious — set the tone, reminding us that true hospitality is an art as delicate as the cuisine itself.
It is heartening to see such clarity of vision from restaurateurs still early in their journey, yet already carrying themselves with the confidence of a long tradition. For those of us coming from Belgium, the distance is hardly an obstacle when such sincerity awaits at the table.
To these courageous young artisans of taste, we offer our thanks — and the promise of a...
Read moreAprès avoir découvert leur publireportage publié dans le Figaro, on s’attendait un voyage culinaire, on a surtout fait escale… dans une déception. Dès l’entrée, le décor donne le ton : on se croirait projeté dans un restaurant américain du Kansas au début des années 2000. Ni charme, ni chaleur, ni vraie personnalité. On peine à comprendre la logique d’un tel agencement dans un établissement qui prétend au rang gastronomique.
Côté cuisine, le menu en trois services révèle une inconstance troublante. Les plats s’enchaînent sans fil conducteur : une entrée engageante, suivie d’un plat plus fade, puis d’un dessert correct, sans jamais atteindre le niveau d’un souvenir impérissable. C’est joli, bien dressé, mais cela manque de souffle, de cette étincelle qui distingue l’assiette polie de l’assiette habitée.
Le plus surprenant reste sans doute l’inégalité jusque dans les portions. Tandis que la personne qui m’accompagnait voyait arriver des assiettes relativement bien garnies, les miennes semblaient frappées d’un régime plus strict. Étonnant – et un brin agaçant – de constater, d’un convive à l’autre, une telle variation.
Mais le point d’orgue de la soirée restera l’assiette de fromages : 12 € pour deux morceaux isolés, perdus dans une vaisselle blanche, qui tiennent davantage de l’amuse-bouche distrait que du plateau généreux attendu. On sourit jaune devant tant de parcimonie.
Au total, rien n’est raté, mais rien ne séduit non plus. Les quantités, globalement, relèvent plus de la suggestion que du plaisir assumé. Le sentiment persistant est celui d’un repas sage, convenu, qui ne justifie ni le qualificatif « gastronomique », ni l’addition finale.
On quitte Orizon avec le sentiment d’un repas resté en surface, plus attaché à l’effet qu’à la substance. Décevant, et bien en dessous de...
Read moreWe visited with friends for dinner and were really impressed. Two set menus to choose from, both excellent value for money. The food was refined, beautifully presented and absolutely delicious. Reasonably priced wines and attentive and friendly service. Would definitely recommend and will...
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