Courtepaille — Restaurant in Bayonne

Scandaleux ! On vous fait payer des plats qui n'ont pas été servis durant le repas et la manager est audieuse avec son équipe et les clients. Première expérience dans la franchise. Nous avions rdv pour notre bébé à côté du restaurant donc nous nous somme dit que c'était l'occasion d'essayer. Accueuil par une jeune femme assez froid en arrivant. Restaurant vide. Nous sommes placés à table, et le serveur, très aimable et souriant, prend notre commande. Nous commandons la même chose avec ma femme. Le serveur, en nous apportant les 2 assiettes de carpaccio nous dit qu'il apportera les suivantes après. Nous pensions qu'il parlait des frites l'accompagnant. La portion est très chiche et la qualité de la viande plus que discutable (Mais nous nous doutions bien que dans un restaurant/chaîne ce n'est pas ce qu'il était recherché). Une fois notre plat terminé, ma femme amatrice de profiterole en commande une en dessert. C'est la où le serveur nous demande si ne nous voulons pas la 2nde assiette de carpaccio. Je n'ai toujours pas compris à ce jour pourquoi en commandant 2 carpaccio on aurait dû avoir 4 assiettes. Pressé par le temps, nous lui demandons d'annuler le second carpaccio mais elle va prendre quand même les profiteroles. La serveuse qui nous a (mal) accueilli apporte 2 desserts mais nous n' en avions demandé qu'un,donc je lui mentionne. Elle jette un regard agressif à son collègue et lui fait une réflexion devant nous. Ce qui nous rend assez mal à l'aise car le serveur avait était très gentil durant le repas. Pendant que ma femme terminé son dessert je vais régler. La manager me demande 48,80€ sans me faire le détail. Je règle mais je demande la facture car pour un plat et un dessert d'une qualité telle cela me paraît exorbitant. C'est la où je m'apprecoit qu'elle m'a fait régler les 2 plats et les 2 desserts donc je lui demande de me rembourse la moitié de la note. Elle souffle et me dit qu'elle veut bien me rembourser le dessert mais pas le plat car il a été commandé. Apart que ni sur la carte ni à l'oral il a été clairement exprimé qu'un seul carpaccio était servi en 2 assiettes. Le second plat n'a pas été servi mais nous devons quand même le réglé. Cette blague ! Ça fait 15 ans que je travaille dans la restauration au pays basque et c'est la première fois que je vois ça... Le pire dans tout ça, c'est que la manager n'a rien assumé et à tout mis sur le dos du pauvre serveur et hautaine avec noud. Si c'est vous qui faites régler mademoiselle c'est à vous de vérifier la note avec le client.. C'est dommage car nous allons nous rendre dans le quartier régulièrement mais jamais plus nous nous arrêterons dans...

Deux étoiles pour la "franchise" Courtepaille. Deux étoiles pour l’accueil, quoique...? Un restaurant vide, hors saison, nous sommes deux et nous demandons gentiment une table de quatre pour le confort. On me répond d'une façon péremptoire : "Que c'est impossible car si on commence comme ça tout le monde voudra en faire de même ?! Et de plus c'est le début des vacances scolaires et il va y avoir du monde, alors...Non !" Dixit. Donc, aimable et bienveillant de nature, j'accepte une table étroite pour deux couverts. Nous sommes heureux d'apprendre que notre très jeune serveur vient d’entamer sa première journée... pas moins de cinq aller-retours pour expliquer une carte des plus simplistes et établie par la chaîne (sans commentaires..., nous gardons notre bonne humeur) Un repas égal à l'annonce de la "franchise", sans surprise ni âme, alors qu'a l'ouverture de l'établissement la gérante nous avait fait miroiter des produits locaux adaptés à son restaurant et à son ambition de se démarquer des autres franchisés.Nous avons pu constater qu'à ce jour , c'est un Courtepaille que l'on pourrait trouver dans la plus insipide banlieue parisienne. Au fait, à notre départ il y avait eu, je pense une vingtaine de couverts pour le service de ce midi. J'ai l'impression que le gérant s'est trompé ; sur son manque de compréhension à ma demande pour une table confortable (qu'il aurait eu raison de me refuser en pleine saison..., mais il faut savoir que dans son restaurant il n'y a pas de pleine saison, et j'en suis triste pour lui...), sur la surévaluation de fréquentation de son établissement qui semble péricliter pour des raisons qu'il devrait bien analyser, et puis il vient de mécontenter un client que l'on peut qualifier d'autochtone (Eh oui ! je suis Luzien) et qui maintient à l'année le chiffre d'affaire des restaurateurs qui ne sont pas aux premières lignes pendant la saison estivale (qui devient de plus en plus courte hélas). Enfin pour finir, il me semble que la direction est satisfaite de son travail, bien évidemment je ne suis pas leur comptable, mais je gage que dans peu de temps ils vont devoir faire des sacrifices, ou se remettre en question et apprendre le métier d’hôtelier, ou changer d'orientation professionnelle, mais cela ne nous regarde pas...

PS ; c'est la première fois depuis longtemps que je n'ai pas laissé de pourboire. C'est dire mon...

Pour commencer, suite à mon appel téléphonique, mon correspondant est désagréable, la politesse visiblement il ne connaît pas ! Lors de notre arrivée le préposé derrière le comptoir nous ignore je me doute que c'est lui qui m'a répondu, 15 minutes auparavant. Nous commandons des verres de vin pour accompagner nos plats , il faut les réclamer car ils nous auraient été servis à la place du café. La serveuse s'excuse le préposé du comptoir nous avait oublié, décidément nous n'avons pas de chance avec ce dernier. Le repas terminé et acquitté nous demandons à une employée si nous pouvons aller sur la terrasse couverte, afin de libérer notre table, car les conditions météorologique (pluie) ne nous permettent pas de revenir à notre hôtel à pied. Elle nous y autorise, très aimablement, d’autant plus que des clients y sont déjà. Je propose à mes amis de prendre un digestif et me dirige vers le bar pour passer la commande. Le « bulldog du comptoir » m’incendie : la terrasse est fermée et donc interdite, de quel droit je l’ai ouverte, pourquoi je viens passer la commande seul le personnel est habilité, donc punition pas de digeo ! En retournant vers la fameuse terrasse je crois une serveuse et je lui explique elle est sidérée, mais pas étonnée du comportement nauséabond, du guignol. Je lui passe la commande. Mais pire elle m’apprend que c’est le responsable-gérant-manager du restaurant. Oh ! surprise. Bref retour en terrasse, 5 minutes après, le bulldog nous apporte nos consommations et nous allons devenir ses os à ronger. Effectivement nous vivons un grand moment d’empathie, de relation clientèle, de fidélisation...à la grande stupéfaction de tous les clients présents. Inoubliable et surtout scandaleux !!! De plus lors de mon passage en caisse il « emmerde » des clients (2 couples) qui lui demande de diviser leur note en 2 afin de payer séparément, je passe sur son comportement lors qu’arrive mon tour (il est devenu muet), ni merci, ni rien…. Je retiens donc que le restaurant est propre, le personnel sympa et disponible, le rapport qualité-prix correct. Le responsable est un tocard. Mais je pose une question a la direction de Courtepaille : quels sont vos critères de sélection lors de la nomination d’un responsable de vos...