We dined here on a beautiful evening in August. After enjoying a number of Michelin starred restaurants recently we were eager to try Villa Archange, a 2 star venue with high reputation.
The service was excellent throughout, with a tremendous sommelier who paired beautifully matched wines to our 9 course tasting menu. The ambience of the outdoor area also improved as darkness fell after seeming somewhat sterile on first impressions in day light.
When it came to what we came for however, the food, it faltered to our palate after a strong start. The opening amuse bouche’s were excellent, light and delicate with amazing flavours. This was followed by veloute with almonds and a carpaccio with tomato and liquorice was fabulous. From here on though, we did not enjoy the dishes as much, with the chef bringing strong, bold flavours that clashed for us. A beautiful Turbot was served with a very strong celery sauce that over powered the delicate fish. Then lobster with a rich honey sauce that neither of us enjoyed. Far too large a portion, and a sauce that did not work at all and did not complement the lobster in any way. A veal dish followed, that again did not work. The veal was large and was difficult to cut. Smaller, sliced portions to us would be more refined. This was followed by a goats cheese dish, with very strong flavour. I personally enjoyed it, with the complementing fruit, but my wife did not enjoy the strong goats cheese taste at all. Again the portion size was large. Half the size for this dish would have been an improvement to us. Then onto dessert and for both of us very disappointing. Probably the weakest dessert I’ve ever had at a Michelin starred restaurant. Literally raspberry with a Chantilly style cream. Very simplistic to us and most surprised this simple easy dish closed out a 2 star meal.
So a disappointment for us we are sad to say. We both rated it as 3 out of 10 and a low light on our recent tour of high end Michelin restaurants in...
Read moreHands down the best restaurant meal I have ever eaten. Mind you, I rarely get the opportunity to dine in a Michelin starred restaurant and have only been to half a dozen. Everything about the experience was superb. Minor quibble- the steep walk uphill and down on the driveway from the restaurant was difficult for my wife, who had on leather sole flats which slipped. She would have fallen if I had not been holding her hand. Upon arrival at the Villa, from the moment we were greeted by the Maitre d’Hotel we were comfortably. There were only 11 tables on the terrace, well spaced and a wait staff of 5. They were very attentive but not intrusive. The patron stopped at our table to welcome us and then before being offered a menu, we received complimentary hors d’oeuvres which set the tone for the rest of the evening. The presentation, texture and flavors of this painstakingly prepared small morsels were superb. We chose the 9 course “surprise” menu, each course perfectly prepared and plated and with bursting flavors. The only food disappointments were the voilaille (chicken) course which seemed undercooked. Definitely not in the same league as the other 8 courses. Our favorites were the langoustine and bar (Mediterranean sea bass) courses. All of the courses were imaginative with delicate flavors and textures. We cannot comment on wine pairings since we don’t drink. The end to a perfect evening- mint tea and a gift box from le patron. This is the type of meal I can only dream about all year until we return to the Côte d’Azur. One you have appreciated a meal such as this, everything else pales in comparison....
Read moreÉcrire ses émotions juste après… c’est dire avec son cœur le ressenti de son corps Ce n’est pas la 1ere fois que je déjeune à la villa archange chez mr Oger… et ce ne sera pas la dernière. Un temps chaud (33 degrés) et un soleil voilé pour des assiettes exhalantes, envoûtantes de simplicité sophistiquée. Déjeuner en terrasse pour la 3ème atmosphère Oger après la salle intérieure et en cuisine. On se sent bien, détendu, le service est fluide, efficace, un peu rapide sur l’annoncé des plats tant il y a de choses dans toutes ces petites bouchées. Les prémices débutent par des bouchées végétales allant crescendo… les plus marquantes pour mon palais? La courgette et la pomme soufflée à l’harissa. Tout passe sur un mode léger, savoureux qui s’accompagne merveilleusement d’un champagne blanc de blanc. Prémices avec un gaspacho dont la glace vous explose en bouche, vous fait oublier la chaleur et vous prépare pour le repas Entrée composée de marinière d’ormeaux à la persillade et artichauts… pour avoir goûtée la version « hivernale « , les 2 sont si différentes et si proches… l’ormeau est d’une tendreté extraordinaire et la petite persillade le met en valeur comme jamais aidée par le choix très judicieux d’un cassis domaine de Bagnol. Le plat suivant pour moi était une épaule d’agneau, pamplemousse brûlé, pastilla de carotte des sables. Dire que le joli couteau était superflu tant la viande était confite. Une chose rare et oh combien appréciable… outre le jus servi , la saucière est laissée sur table… chacun complète sa gourmandise comme il l’entend… un bonheur pour moi qui s’accompagne d’une appellation qui monte.. les terrasses du Larzac clos Maia .Le bar de ligne tombe lui en pleine figure tant le talent du plat, sa saveur, ses mélanges d’ingrédients (pignons Sicile, chayottes..) signe un uppercut en pleine face… et émeuvent des viandarts. Suit la distraction que nous avons partagé de fromage corse en blanc manger avec glace roquette… une autre façon de manger du fromage et de faire la comparaison d’un produit brut et cuisiné… pour les amateurs et pour apprendre que tout produit se cuisine. Un pré dessert à la figue pour rester dans la saison et se rafraîchir et on passe au dessert. Je les ai trouvé d’un niveau au dessus de mon dernier passage. Craquant viennois à la vanille de Tahiti…. Certainement la plus goûteuse du monde… surtout quand on a pas lésiné sur la quantité… explosivité aromatique de douceur et de voyage en bouche . Les petites douceurs pour accompagner le café sont du même acabit: jolie madeleine (même si elle ne vaut pas l’ancienne de quelques années), mini tartelettes mirabelles qui nous transporte en Lorraine, truffe citron noir.
Ce que j’adore chez Mr Oger, c’est qu’il ne reste pas figé à la nouvelle mode locavore où tout doit venir d’un rayon de 50 kms. Avoir des produits d’ici oui bien sûr… mais pourquoi se priver des merveilles d’ailleurs ? C’est souvent de l’association ici ailleurs qu’on peut produire des plats d’exception. À mon niveau je reste persuadé qu’il vaut mieux faire quelques restaurants dans l’année avec un ressenti d’émotions, avec une évidence de plats non réalisables par soi même. Un déjeuner qui reste ensuite dans la mémoire olfactive, visuelle, sensorielle et dans la mémoire tout court. Merci aux gens que l’on voit et à tous ceux qu’on ne voit pas mais qui nous permettent d’avoir ces moments...
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