Quick de Poitiers Patinoire — Restaurant in Poitiers

En cette période des fêtes, permettait-moi de vous narrer un conte de Noël pas très féérique… Nous appellerons ce conte : Le froid passe Noël chez Quick !

Cette histoire se passe exactement le 21 décembre 2024. Un « jeune couple » Pictave venant de passer une magnifique soirée au cinéma devant le nouveau Disney, rentrent chez eux afin de finir la soirée devant la Star Académie en replay. En chemin, ils se disent avec plein d’enthousiasme : « Et si on allait se prendre un petit Quick pour manger devant la Star’Ac, ça fait longtemps qu’on n’a pas fait de Quick… ».

C’est avec un enthousiasme certain et l’appétit au ventre, que je jeune couple se rend dans le Quick se trouvant dans la direction de leur habitation. Le Quick Drive de Poitiers !

Agréablement surpris de voir l’intérieur du restaurant encore accessible à 23h01, ils rentrent et se rendent à la borne afin de passer commande. Ce sera donc pour monsieur : 1 menu Long Bacon avec Rustiques et Sprite avec un Quick’N Toast en plus. Pour madame le choix est plus compliqué, étant végétarienne, elle sait que tous les fast-food ne répondent pas à son régime alimentaire. Que cela ne tienne ! Elle prendra un menu XL Méga Giant (sans viandes) avec Frites Cheddar et Sprite ainsi qu’une boite de 10 Cheesy Winter. Vu qu’il est impossible chez Quick d’informer à partir de la borne de certaines modifications essentielles dans le sandwich (Giant en l’occurrence), ils décident payer au comptoir. Ils vont donc, toujours avec cet enthousiasme et se plaisir soudain de se restaurer chez le concurrent du BigMac, payer la somme de 37,55€ au jeune équipier préposé à l’encaissement et la préparation de commande pour les clients en salle.

Durant leur attente, ce jeune couple échange sur quelques détails les interpellant. En effet, le restaurant n’a que très peu de chaland (5/6 clients en salle et 2 voitures au Drive) et pourtant le « bean » est plein. De plus, l’homme garant de la qualité et des procédures chez Quick, communément appelé « Manager » ou « L’homme à la chemise bleu » pour les moins initié, rempli ce soir-là le rôle de cuisinier… Constatant que c’est le manager qui officie en cuisine, le jeune couple se dit naïvement que les burgers doivent être chaud et « codés » et bien sûr dans le respect de la charte qualité de nos fast-food préférés. C’est donc avec toute confiance et avec assurance qu’il récupère leur commande seulement quelques minutes après paiement.

Ils partent donc du restaurant en direction de chez eux avec l’envie certain de tout dévorer… Miam Miam !!! Mais en chemin, un premier signe les interpelle… Où est l’odeur habituelle d’une commande de fast-food qui enivre les nasaux et les papilles quand on conduit ? « Sûrement le froid qui nous a anesthésié » répondit l’homme à sa chérie.

Les voilà donc chez eux, et c’est là que cette belle histoire qui avait pourtant si bien commencée prend une tournure désastreuse…

Le couple se rend compte qu’en échange de ses 38€ payé ils ont reçu : Un Long Bacon dur et froid, Frite cheddar froide, Rustique Froide, mais ce n’est pas tout... Que ne fût pas la très mauvaise surprise de madame, quand elle croque dans un dips au poulet alors qu'elle avait commandé une boite de 10 Cheesy Winter... ça la fou mal pour une végé… Pas besoin de vous signaler que les Dips elles aussi étaient aussi froids que les températures actuelles. Une boite de 10 Cheesy Winter avec seulement 3 Cheesy et le reste de Dips au poulet (voir photo ci-jointe)… Une honte !

Morale de l’histoire : Près de 40€ dépensés pour un repas de "M...e". Avoir aussi peu de respect de la qualité à ce prix une première expérience pour ce jeune couple ! Et sûrement la dernière. Le Manager, garant de la qualité de service et des normes HACCP de vos restaurants, ne respecte pas lui-même les procédures. Revoir la formation de vos équipes et SURTOUT celles de vos managers. (Ils sont vos garants de la qualité de service et des normes HACCP de vos...

Je n’ai jamais été complètement satisfaite de ce Quick. Le service y est lent : il faut souvent attendre 25 minutes pour être servi, et les commandes arrivent fréquemment incomplètes ou froides. Malgré cela, les employés polyvalents sont généralement agréables et gardent le sourire, ce qui est à saluer compte tenu de la difficulté de leur travail et des clients parfois compliqués.

Jusqu’à aujourd’hui, je n’avais jamais pris le temps de laisser un avis. Mais ce midi (29/04/2025), le comportement du manager présent a été tellement inacceptable que je me dois de le faire.

Cet homme est tout sauf agréable. Si vous voulez savoir ce que ça fait d’être prise de haut ou traitée comme une imbécile, je vous invite à venir manger ici quand il est de service. Il a empêché un employé de m’encaisser, sans même vérifier mon numéro de commande — chose que l’employé, lui, avait bien faite — et a fini par me faire payer une commande qui n’était pas la mienne. Ensuite, avec une condescendance insupportable, il m’a accusée d’avoir sciemment payé la mauvaise commande et a insinué que j’étais venue alors que « soi-disant », il avait appelé un autre numéro.

Le plus consternant, c’est que le plateau que j’ai finalement reçu était rempli d’erreurs :

Des sauces tomate-basilic au lieu de la mayonnaise demandée,

Des frites rustiques au cheddar alors que j’avais choisi nature,

Un Giant plein d’oignons alors que j’avais clairement demandé qu’il n’y en ait pas (et il avait acquiescé),

Et un milkshake, pourtant payé, complètement absent du plateau.

Quand j’ai fait remarquer l’oubli du milkshake, sa réponse a été de dire qu’il m’aurait posé la question : « Vous le voulez maintenant ? » et que j’aurais répondu « non ». Non seulement c’est totalement faux — cette question ne m’a jamais été posée — mais en plus il a tenté de me faire croire que la borne ne proposait pas l’option de décaler la préparation du milkshake, alors que j’avais coché « oui » pour le recevoir tout de suite.

Plutôt que de remettre la faute sur moi, il aurait mieux fait de connaître son matériel et ses procédures. Je ne suis ni son employée, ni sa fille, ni sa femme. Je suis une cliente, et il y a une manière de s’adresser aux clients, surtout lorsqu’on est en tort.

Je n’ai même pas pu exprimer mon mécontentement : il m’a coupée à chaque tentative, refusant d’admettre la moindre erreur. À l’écouter, tout était de ma faute.

Ce manager ne devrait tout simplement pas être en contact avec le public. Il manque cruellement de professionnalisme, de respect envers les femmes, de considération pour ses employés, de sens de l’organisation et de gestion du stress. Pour toutes ces raisons — et sûrement bien d’autres encore — il serait temps que la direction s’interroge sur sa place...

Habitant la Corrèze, fidèle cliente de votre établissement, chaque fois que je peux venir à Poitiers, je vous jure que suis plus sûre d'un jour encore venir dans votre établissement, alors que suis venue deux fois la semaine dernière. Je suis une personne munie de la carte prioritaire handicapée. Comme je vous l'ai dit, j'habite en Corrèze, à au moins quatre heures de route de Poitiers. Après être venue le vendredi 2 mai, je suis revenue mardi dernier avant de rentrer chez moi.

1. Chose, la seule table à banquette avec une prise électrique pour recharger son portable était occupée par un membre du personnel de Quick. J'explique mon problème à cette dame. Mon téléphone était complètement déchargé. J'ai jamais eu la table alors que votre personnel peut charger leur téléphone où il veule !
2. Chose, frites froides, ai dû me relever pour en demander des chaudes, en laissant ma table et mes affaires sans surveillance puisque je suis seule.
3. Chose, au moment du dessert, payé à la commande et demandé à être remis plus tard puisque c'était une glace, j'ai dû attendre au moins dix minutes avant d'avoir ma glace car que deux membres de personnel au comptoir, en plein rush de midi ! Et la même dame qui m'avait dit non pour la table avec la prise, m'a redit non, préférant faire ses plateaux, pourtant j'avais ma carte handicapée en mains et mon ticket. Inadmissible ! Elle m'a dit de m'adresser à ses collègues qui étant que deux, ne savaient où donner de la tête...