Restaurant Chez Bruno — Restaurant in Rochefort

Vue splendide face au phare de Corduan, coucher de soleil sur la Grande Côte et La Palmyre au fond, Restaurant de front de mer : mouclade à recommander, une restauration, et une décoration au très bon goût du jour ! Situé sur une esplanade où animations foraines ( le manège, et le saut à l'élastique), ont enchanté des générations d'enfants ! ....Mais : La Municipalité de St Palais/Mer -17 en a décidé autrement : Casser ce front de mer trop accessible à tous : Elle ne veut plus de ces parkings sur le Front de Mer, de ce tourisme, j'ose le mot, populaire. Ce qui a été aménagé précédemment, avec l'argent des Palois, de toutes les CSP, ces belles promenades, ses stands à fruits de mer. NINE. A l'heure actuelle, St Palais se dore le blason, se vend aux plus offrants, se sécurise, se "cheffe" d'entreprise ... C'est pas le patrimoine historique, architectural de St Malo, et de son intra-muros ! Il y a un gouffre !!! = Le Bord de Mer = à ceux qui possèdent, l'arrière front de mer = à la populace ! Non mais, vous n'allez pas prétendre à notre Dû, nôtre position financière, nos w- e à l'Océan, notre silence.🔕 !!! 23h Max : on vous chasse, le serveur ne connait plus ou pas / modification horaire, le patron ne trouve pas de serveur... On ne lui a pas expliqué que des métiers travaillent 23h : secteur Ouvrier, Hospitalier, métier éducation nationale, les métiers invisibles ...entre autres. Car, lui est ,soit fatigué (normal, comme nous !), soit veut faire la fête, Rancho, Casino, La Palmyre 🥳 !.. Si vous avez envie de passer de Vraies vacances, sans stress, sans contrainte, et une vie au-delà de 23h, sans "chut", alors que vous louez sur le Front de Mer, à tarif prohibitif pour le niveau de prestations de la...

Les plats étaient corrects mais une organisation en cuisine qui laisse plus qu'à désirer... Nous y étions avec mon père ♿ lui a demandé des moules et mon mari et moi deux menus... Mon père a eu le temps de manger ses moules que nous n'avions toujours pas notre plat principal. Cela faisait 1h20 que nous avions mangé notre entrée quand j'ai vu que les serveurs avaient beau aller demander nos plats sans succès... Je suis allée voir le patron qui tranquillement essuyait ses verres... Quand je lui ai expliqué ce qui se passait il m'a dit que sa fille qui devait travailler avait fait la fiesta et n'était pas venu... Le sang m'est monté à la tête et lui ai dis qu'il devait se rendre compte que même si sa fille etait absente pour le service ces derniers faisaient le maxi pour être aimable avec les clients et que c'était grave si lui patron qui était tranquillement a son comptoir juste sur le passage que les serveurs empruntaient pour chercher les plats... Ne se rendait pas qu'en cuisine il n'y avait aucun suivi... Qu'il fallait qu'il change de métier... Ayant été moi même longtemps restauratrice je sais très bien comment cela fonctionne... Dommage la vue sur la mer est magnifique... Je n'y retournerais pas parce que payer aussi cher pour manger à tour de rôle... Elle est où la convivialité d'une bonne sortie au resto en famille ?... J'avais déjà lu beaucoup de choses à sa façon de réagir (au patron), ou bien devrais je dire '' au tiroir caisse'' qu'il représente... C'est tout ce qui l'intéresse LUI... Je sais apprécier les lieux à leur juste valeur... Et ne met pas que des commentaires négatifs comme certaines...

Chez Bruno – Saint-Palais-sur-Mer – Une immense déception dans un décor de rêve... L’emplacement est remarquable : une vue splendide sur l’océan, à deux pas de la plage… un vrai petit coin de paradis. L’accueil est à la hauteur du cadre : chaleureux, souriant, simple, et on s’installe en famille avec l’envie de passer un bon moment. Tout semble réuni pour une belle parenthèse. Mais très vite, la stupeur. Car ce qui arrive dans l’assiette laisse pantois… Une carte pourtant classique, pensée pour une clientèle familiale — moules-frites, poissons, plats simples — mais exécutée sans soin, sans goût, sans amour. Une moule marinière, pourtant élémentaire de toute bonne brasserie de bord de mer, arrive trop cuite, molle, au goût douteux. Le vin blanc censé l’accompagner laisse une grimace durable. Et on se dit que ce n’est pas juste une erreur de cuisson, mais bien un désintérêt général pour ce qu’on sert. Et c’est là que ça coince vraiment : lorsqu’on bénéficie d’un tel lieu, d’un tel cadre, on a une responsabilité. Celle de faire les choses correctement. Et si on ne sait pas — ou plus — le faire, alors il faut laisser la place à ceux qui ont encore le feu sacré, l’amour des bons produits, et l’envie sincère de faire plaisir. Cet avis est écrit avec regret. On ne prend jamais plaisir à pointer du doigt un restaurant. Mais ici, l’écart entre ce qui pourrait être un havre et ce qui est réellement proposé est trop grand. Il faut faire...