Accueil déplorable ! Très mauvaise expérience le mercredi 24 juillet, premier jour des Jeux Olympiques, avec les épreuves de rugby à 7 au Stade de France.

• On se présente à l'entrée, on est accueilli très sèchement par une femme qui semble totalement paniquée et perdue sur sa terrasse. Il est 12h30, elle nous annonce que la cuisine ouvre... 15 minutes plus tard. Nous sommes donc le premier jour des JO, 80 000 personnes sont attendues sur zone, et le restaurant n'est même pas structuré pour faire manger les clients avant 12h45. Incroyable d'amateurisme.

• 12h50. Nos boissons arrivent. Le serveur crie au milieu de la terasse : "c'est pour qui le coca et la bière" ? C'est la même chose pour toutes les commandes qui arriveront. Les serveurs et serveuses crient au milieu des clients pour savoir à qui sont les plats et les boissons. Du jamais vu, les tables n'ont manifestement pas de numéro et tout le monde est paumé.

• Les plats sont très chers et pas bons du tout. 20 euros pour un tartare de saumon insipide, 18.50 pour un poké bowl tout aussi insignifiant.

• Et alors le pompom... On va pour payer, et là un gentil monsieur, extrêmement poli, courtois et souriant, demande à la patronne s'il y a beaucoup d'attente pour être servi, afin qu'il s'organise. Réponse incroyablement incorrecte de la dame : "Mais vous êtes tous pressés, qu'est-ce qui se passe aujourd'hui ? Si vous voulez manger vite Monsieur, y'a Mc Do !"

Alors, chère Madame : ça fait 7 ans que vous savez que Paris accueille les JO, et que votre restaurant est à côté d'un de nos plus grands sites de compétiton. Si vous ne savez pas vous structurer en interne, sourire, accueillir les gens, faire de la cuisine convenable, et surtout parler correctement à votre clientèle, mieux vaut fermer tout de suite. C'est à cause de gens comme vous que les restaurateurs parisiens passent pour des râleurs impolis dans le monde entier. Cette mauvaise réputation, c'est avec ce comportement que vous la diffusez.

Et par pitié, mettez des numéros à vos tables, ça vous évitera de nous demander où on était assis, et qu'on soit obligé de vous lister ce qu'on a commandé pour que vous puissiez nous encaisser...