J’étais parmi les meilleurs élèves de LEA mineure commerce international, et j’ai dû insister auprès de la personne qui validait les stages de me laisser faire un stage en communication, car elle le jugeait incompatible au secteur du commerce international. À l’époque, je pensais m’orienter vers la communication, et c'est cet argument qui a fini par la convaincre. Elle m'a cependant annoncé par mail qu'avec un tel stage, je ne serais JAMAIS acceptée dans un master en commerce international.
Ce stage a pourtant été décisif : il m’a permis de réaliser que la communication ne me correspondait pas. Un an plus tard, j’ai donc choisi de revenir à mon projet initial et de postuler à des masters en commerce international.
J'ai effectivement été refusée au master Langues et Commerce International de Cergy comme l'avait prédit la personne en charge des stages, sans même avoir eu l’opportunité d’un entretien. En revanche, j’ai été admise dans deux formations bien plus reconnues et prestigieuses : le master GPLA d'Assas et le master Management et Commerce International de l’Inalco. Lors des entretiens, j’ai pu expliquer mon changement d’orientation, motivée par une expérience concrète et une réflexion personnelle. Ces établissements ont su entendre mon parcours et ma démarche.
Le refus de Cergy illustre une rigidité regrettable. Selon eux, un choix de stage semble visiblement irréversible, comme si l’on ne pouvait jamais évoluer. Les stages sont censés nous aider à construire notre projet, pas nous enfermer dans une voie.
Pour finir, le manque de reseau professionnel de la fac rend difficile la recherche de stages en rapport avec les mineures proposées. Aucun accompagnement pour les stages ou l’alternance, juste quelques annonces envoyées de temps en temps. Dans d’autres facs, les entreprises viennent directement recruter grâce à un vrai réseau. Ici, on est livrés...
Read moreL'administration est formée à moitié. C'est pas de leur faute mais c'est ridicule dans une université.
Ils ne savent pas que les cartes multiservices sont des cartes RFID donc qu'elles fonctionnent sur une puce type CB sans contact et non sur le code barre utilisée par la bibliothèque. Ils ne savent pas non plus que dès lors qu'une ligne horizontale est intacte, le code barre est fonctionnel. Quand on l'explique à la scolarité lors d'un problème, les drônes n'ont pas au moins la curiosité de verifier la véracité de ce qu'on leur dit et donc vous font payer les vilains 15e. On vous traite comme ci vous argumentez seulement pour esquiver une facture qu'on merite de vous coller. À croire qu'elles reçoivent une commission de ces transactions. À croire qu'on a rien d'autre à faire à la fac.
Enfin quand l'une des drônes reconnait plus tard qu'on aurait pas dû payer et qu'elle vous remboursera... Elle n'aurait pas la carte autorisant le remboursement... Et le TPE, sans fil, sans contact, ne permet seulement l'annulation de la derniere transaction. On s'attend à ce genre de discours chez l'epicerie du coin classiquement de mauvaise foi qui exigent un montant minimal de 15e pour un paiement en CB mais dans une fac ?
À un moment donné on ne s'étonne plus et on regrette juste l'ignorance totale de ces dames. Formez-les. Expliquez leur le système évolis. Expliquez leur comment utiliser un TPE. Comment sont elles censées aider les étudiants quand elles n'ont pas une connaissance rudimentaire de leurs outils ?? Une petite presentation powerpoint de une demi heure sur chaque sujet ça ne vous coûte rien et ça évite des étudiants qui se sentent arnaqués et qui en veulent à ces dames qui ne...
Read moreInscription faite au mois de juillet puis annulée au mois de septembre sans prévenir, et à cause d’une erreur qu’ils ont commis
J'ai reçu un avis favorable au mois de juillet pour le master droit international option droit anglo-américain, et je me suis déplacée sur place pour faire l'inscription administrative car je ne pouvais pas le faire en ligne (j'ai d'ailleurs payé plus de 100 euros en billet de train pour me déplacer et poser un jour de congé au travail).
Après avoir finalisé mon inscription, j'ai reçu mon certificat de scolarité et ma carte étudiante (toujours au mois de juillet), puis j'ai déménagé au mois de septembre en région parisienne. La veille de la rentrée, j'apprends que mon inscription a été annulée, et quand j'essaye d'avoir des explications de la part de l'administration, ils m'expliquent simplement qu'il y a eu une erreur et que je n'aurais pas dû recevoir l'avis favorable au mois de juillet et qu'ils ne peuvent pas me prendre.
Donc je me suis retrouvée au mois de septembre sans master dans une ville que je connaissais pas, et sans aucune aide de la part de l'administration alors qu'ils étaient fautifs. A cause de cette erreur, je me suis désistée d'une autre formation qui était mon plan B et ma bourse a été suspendue.
J'ai essayé de faire plusieurs recours gracieux, mais ils ont clairement essayer de me décourager: ils m'ont même demander une preuve des sacrifices financiers que j'ai fait pour emménager ici.
Je vous décourage fortement...
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