Burger King — Restaurant in Clermont-Ferrand

Bon pour commencer à part se garer à auchan à côté bon courage pour trouver une place à côté du restaurant. Ensuite c'est blindé de chez blindé, très difficile de trouver une table, obligés d'attendre que quelqu'un parte pour pouvoir s'asseoir.

La nourriture en elle même, le steak house était un semellehouse, le steak plus dur que de travailler au bagne. (vu la tête des employés c'est peut être un bagne ici enfaîte). Le bacon lover c'est pas mauvais mais presque pas de sauce c'est dommage, je pense que ton taux de cholestérol se multiplie par le nombre de bacon lover mangé, est très salé, un grand merci à la tomate et la boisson qui m'auront grandement aidé à ne pas me changer en mer morte. En parlant de mère, les gens, pourquoi ramener tous vos enfant de 2ans, on a l'impression de manger dans un centre aéré c'est super agréable. Les sauces excellentes, les frites basiques comme des frites décongelées quoi rien de plus à dire.

Le service, pendant l'attente, les équipiers passent pour servir les autres plateaux en vous devisageant pour la plus part, le sourire n'est visiblement pas compris dans les 34 euros pour deux personnes. On dirai qu'ils ont envie de caner tellement ils font la tronche. Points positif on a été servis assez rapidement. Bon le temps de trouver une place nous à bien occupé dans un sens.

C'est un fast food niveau ambiance, c'est bruyant, pas confortable, et on est tous entassés les Uns sur les autres. T'es entrain de manger y'a Gisèle et Martin qui viennent à côté de ta table et qui te fixent pendant 5 min comme un chien devant un steak en espérant que tu te dépêche de finir alors que tu viens de commencer à manger ton...

"Ils réinventent le concept du fast-food en inaugurant le slow-food" "Il est pas cuit ton Burger !" Voici un échantillon de phrases qui vous feraient fuir ce Burger King. Commençons avec le service. Un personnel très rapide, aussi rapide qu'un trajet Cherbourg/New-York au début du 19ème siècle, ce qui fait que, à cette allure, votre commande arrivera sans doute le 31 février 2040. Et pas très futé en plus, je pense qu'il serait difficile pour eux d'enlever l'eau d'une botte, même si la notice se trouverait sous le talon. Pourtant, le travail en salle n'est pas bien difficile, il consiste à prendre les commandes prêtes dans l'ordre afin de les distribuer, mais bon, c'est peut être plus compliqué pour un personnel auquel il manque 2 minutes de cuisson, un peu comme leur steak d'ailleurs... Pour vous dédommager de l'attente, ils vous proposeront sûrement des cookies un peu douteux, dont la date de péremption remonte au temps où la France était encore une monarchie (c'est à dire un bout de temps). Mais au moins, point positif, les toilettes sont propres, ce qui fait que même si par erreur vous n'avez pas vu ce message de dissuasion, votre repas pourra être immédiatement expédié dans un endroit plus ou moins propre.

Comme le disait un vieux sage: "Fuyez,...

À notre arrivée, toutes les tables sont libres, mais sales. Nous demandons à un équipier de bien vouloir nous prêter une lavette afin de passer un coup sur une table : celui-ci nous souffle dessus et finit par venir laver une table. Après une très longue attente (alors que le restaurant est vide) notre commande arrive : elle est froide (et pour cause, elle était depuis 10 minutes sur le comptoir). Nous allons indiquer aux équipiers que nos Burgers sont froids : on nous propose dans un premier temps de…. Réchauffer notre commande dans le micro onde du restaurant. Après plusieurs demandes (à 3 équipiers différents) on finit par nous indiquer que l’on va nous refaire nos hamburgers. Après encore de l’attente, on nous rend notre plateau, et les accompagnements ont disparu : obligés de redemander nos onions rings, ce qui nous vaudra à nouveau de nous faire souffler dessus. Pendant le repas, une équipière s’attaque au lavage des tables, le pshit du produit lavant s’envolant dans la nourriture des tables voisines… sympa les frites à la javel. Bref, on se sent en trop, on a l’impression de déranger. Nous ne mangerons plus...