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Le Rouf Brasserie — Restaurant in Sartène

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Le Rouf Brasserie
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Le Rouf Brasserie
FranceCorsicaSartèneLe Rouf Brasserie

Basic Info

Le Rouf Brasserie

3725 Strada di, Pinarello, 20144 Sainte-Lucie-de-Porto-Vecchio, France
4.3(342)$$$$
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spot

Ratings & Description

Info

attractions: Aquavision, restaurants: Le Vig Vog, Chez Fred, - Restaurant Le Golfe -, Stella Diana, La Casa, Le Ruscana, La Table du Pinarello, La Source, Le Patio-Pinarello Restaurant Pizzeria, Paillote Micanome n'esxiste plus changement de propriétaires
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Grégory FranchiniGrégory Franchini
Lundi 18 août 2025 , nous avions fait un rêve, savourer un chapon grillé au four, cette belle rascasse rouge, comme le faisait le Rouf quand c’était encore Paul Baggione aux commandes. Mais Le Rouf a bien changé. Nous avions pourtant pris soin de les appeler le matin même pour leur demander s’ils étaient en mesure de refaire cette recette que nous aimions tant. On nous avait assuré que oui. Une recette a priori simple mais qui demande un vrai savoir faire : où le poisson noble de la Corse est servi sur un lit de fines pommes de terre, tomates et citrons, généreusement arrosé d’huile d’olive du pays. Le matin même, nous avions réservé un poisson de 900 grammes. Arrivés au restaurant, nous avons déjà eu une première déconvenue en apprenant que la recette n’était pas tout à fait celle qu’on nous avait promis au téléphone et qui avait justifié notre venue. Et pour cause, celui qui nous en a assuré, n’a pas connu l’ancienne maison. Il nous l’a avoué plus tard… L’accueil sur place fut cordial mais après une longue attente et une entrée passable, le poisson est servi sur nos deux assiettes, deux modestes filets agrémentés de quelques légumes. Comme l’usage le veut, le poisson frais ne nous a pas été présenté. De même, une fois cuit, aucune présentation. Et enfin, les filets ont été levés et servis sur assiette sans que nous puissions voir cette préparation. La petite bouchée de dégustation révéla une chair complètement desséchée et trop salée. Une assiette bien triste démunie de jus et d’arômes ; et point de chair nacrée d’une cuisson parfaite. L’étiquette dans la gueule du poisson indiquait bien 970 grammes, mais le compte dans l’assiette n’y était pas. A l’œil, je n’estimais pas à plus de 150 grammes de poisson dans l’assiette. Nous appelons la serveuse pour faire constater le problème. Au terme de l’échange, elle nous propose d’apporter la balance pour vérifier. Chiche! Celle-ci débarque à notre table et le verdict tombe : chacune des 2 portions ne présente pas plus de 110 grammes chacune et la carcasse démunie de chair qu’on nous présente sur le plat pèse 220 grammes. Merci à la serveuse de s’être prêtée à l’exercice ce qui permit de conclure que notre évaluation n’était pas fausse. Arrive ensuite le maître d’hôtel puis le chef. On nous assure que nos assiettes correspondent au poisson commandé. Ni satisfait de la cuisine ni de la portion, nous décidons alors d’en rester là, de ne pas toucher à nos assiettes et de demander l’addition. On nous propose de payer la moitié du poisson, ce que nous acceptons et nous parait plus qu’honnête, eu égard aux manquements dûment constatés. La mésaventure aurait pu en rester là. Mais après avoir quitté l’établissement, nous regagnons notre véhicule et nous nous apprêtons à partir. C’est à ce moment que le responsable d’établissement nous accoste et s’apprête à nous faire la leçon. Pourquoi ne s’était-il pas présenté lorsque nous étions à la table ? C’est la première remarque que je lui adressa. Pour protéger ses employés répond-il! Je songeais alors à Philippe Etchebest qui dans son émission fameuse explique que le gérant ne doit pas se cacher derrière ses employés… Au triste sieur de nous expliquer que nous étions odieux et qu’il était propriétaire de la moitié de Pinarello, qu’il avait toutes les récompenses imaginables, qu’il connaissait tout le monde et même, que les gendarmes nous attendaient à la sortie du village. Il n’en était rien bien sûr. A la vexation liée à notre insatisfaction pourtant amplement justifiée, ce monsieur a décidé de répondre par l’intimidation. Morale de l’histoire : ne jamais revenir sur les gloires du passé. Le poisson grillé est une affaire noble et l’exercice est à réserver aux maisons qui connaissent leur affaire : la Caravelle à Bonifacio, le Grill du Casadelmar, le Tamaricciu ou le Cabanon Bleu pour ne citer qu’eux. En 30 ans d’été corse, nous n’avions jamais connu une telle déconvenue. Ce que je rapporte a été dûment enregistré (photo à l’appui) et des professionnels d’autorité m’ont confirmé « le problème », ne serait-ce que pour les portions.
Sita SteenkampSita Steenkamp
We were not welcome it seems. Staff very unfriendly. We were not allowed to sit outside only for hotel guests who were treated like favorites. Food is very expensive and our pasta at home is more nice. Nothing special and very salty . My wine was 12€ a glas. Never again. A lesson in client fruendlyness would be good.
L LL L
Hors de prix pour des mets pas du tout d'exception et encore moins haut de gamme! Ce n'est pas un restaurant étoilé! Personnel hypocrite au possible souriant de façade mais n'hésitant pas à ricaner et critiquer lorsqu'ils se rassemblent même s'ils se pensent discrets ils ne le sont pas du tout. Une pompe à fric qui ne mérite même pas que l'on s'y arrête. À fuir à part si vous faites partie de la clientèle de vieux, bourgeois et pédants qui dévisage les autres! Et pour couronner le tout une soirée et une nuit à être malade! Qu'en est-il de la fraîcheur des produits ? ! Sans compter une table soi disant super bien placée ah non pardon ça c'est ce qu'on vous dit mais ce n'est que pour les gens de la ''Haute'', friqués ou les habitués. Pour vos comportements j'aimerais vous retourner la monnaie de votre pièce ( mais mince je n'en ai plus vous m'avez tout pris 😱!)
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Lundi 18 août 2025 , nous avions fait un rêve, savourer un chapon grillé au four, cette belle rascasse rouge, comme le faisait le Rouf quand c’était encore Paul Baggione aux commandes. Mais Le Rouf a bien changé. Nous avions pourtant pris soin de les appeler le matin même pour leur demander s’ils étaient en mesure de refaire cette recette que nous aimions tant. On nous avait assuré que oui. Une recette a priori simple mais qui demande un vrai savoir faire : où le poisson noble de la Corse est servi sur un lit de fines pommes de terre, tomates et citrons, généreusement arrosé d’huile d’olive du pays. Le matin même, nous avions réservé un poisson de 900 grammes. Arrivés au restaurant, nous avons déjà eu une première déconvenue en apprenant que la recette n’était pas tout à fait celle qu’on nous avait promis au téléphone et qui avait justifié notre venue. Et pour cause, celui qui nous en a assuré, n’a pas connu l’ancienne maison. Il nous l’a avoué plus tard… L’accueil sur place fut cordial mais après une longue attente et une entrée passable, le poisson est servi sur nos deux assiettes, deux modestes filets agrémentés de quelques légumes. Comme l’usage le veut, le poisson frais ne nous a pas été présenté. De même, une fois cuit, aucune présentation. Et enfin, les filets ont été levés et servis sur assiette sans que nous puissions voir cette préparation. La petite bouchée de dégustation révéla une chair complètement desséchée et trop salée. Une assiette bien triste démunie de jus et d’arômes ; et point de chair nacrée d’une cuisson parfaite. L’étiquette dans la gueule du poisson indiquait bien 970 grammes, mais le compte dans l’assiette n’y était pas. A l’œil, je n’estimais pas à plus de 150 grammes de poisson dans l’assiette. Nous appelons la serveuse pour faire constater le problème. Au terme de l’échange, elle nous propose d’apporter la balance pour vérifier. Chiche! Celle-ci débarque à notre table et le verdict tombe : chacune des 2 portions ne présente pas plus de 110 grammes chacune et la carcasse démunie de chair qu’on nous présente sur le plat pèse 220 grammes. Merci à la serveuse de s’être prêtée à l’exercice ce qui permit de conclure que notre évaluation n’était pas fausse. Arrive ensuite le maître d’hôtel puis le chef. On nous assure que nos assiettes correspondent au poisson commandé. Ni satisfait de la cuisine ni de la portion, nous décidons alors d’en rester là, de ne pas toucher à nos assiettes et de demander l’addition. On nous propose de payer la moitié du poisson, ce que nous acceptons et nous parait plus qu’honnête, eu égard aux manquements dûment constatés. La mésaventure aurait pu en rester là. Mais après avoir quitté l’établissement, nous regagnons notre véhicule et nous nous apprêtons à partir. C’est à ce moment que le responsable d’établissement nous accoste et s’apprête à nous faire la leçon. Pourquoi ne s’était-il pas présenté lorsque nous étions à la table ? C’est la première remarque que je lui adressa. Pour protéger ses employés répond-il! Je songeais alors à Philippe Etchebest qui dans son émission fameuse explique que le gérant ne doit pas se cacher derrière ses employés… Au triste sieur de nous expliquer que nous étions odieux et qu’il était propriétaire de la moitié de Pinarello, qu’il avait toutes les récompenses imaginables, qu’il connaissait tout le monde et même, que les gendarmes nous attendaient à la sortie du village. Il n’en était rien bien sûr. A la vexation liée à notre insatisfaction pourtant amplement justifiée, ce monsieur a décidé de répondre par l’intimidation. Morale de l’histoire : ne jamais revenir sur les gloires du passé. Le poisson grillé est une affaire noble et l’exercice est à réserver aux maisons qui connaissent leur affaire : la Caravelle à Bonifacio, le Grill du Casadelmar, le Tamaricciu ou le Cabanon Bleu pour ne citer qu’eux. En 30 ans d’été corse, nous n’avions jamais connu une telle déconvenue. Ce que je rapporte a été dûment enregistré (photo à l’appui) et des professionnels d’autorité m’ont confirmé « le problème », ne serait-ce que pour les portions.
Grégory Franchini

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Lundi 18 août 2025 , nous avions fait un rêve, savourer un chapon grillé au four, cette belle rascasse rouge, comme le faisait le Rouf quand c’était encore Paul Baggione aux commandes. Mais Le Rouf a bien changé. Nous avions pourtant pris soin de les appeler le matin même pour leur demander s’ils étaient en mesure de refaire cette recette que nous aimions tant. On nous avait assuré que oui. Une recette a priori simple mais qui demande un vrai savoir faire : où le poisson noble de la Corse est servi sur un lit de fines pommes de terre, tomates et citrons, généreusement arrosé d’huile d’olive du pays. Le matin même, nous avions réservé un poisson de 900 grammes. Arrivés au restaurant, nous avons déjà eu une première déconvenue en apprenant que la recette n’était pas tout à fait celle qu’on nous avait promis au téléphone et qui avait justifié notre venue. Et pour cause, celui qui nous en a assuré, n’a pas connu l’ancienne maison. Il nous l’a avoué plus tard… L’accueil sur place fut cordial mais après une longue attente et une entrée passable, le poisson est servi sur nos deux assiettes, deux modestes filets agrémentés de quelques légumes. Comme l’usage le veut, le poisson frais ne nous a pas été présenté. De même, une fois cuit, aucune présentation. Et enfin, les filets ont été levés et servis sur assiette sans que nous puissions voir cette préparation. La petite bouchée de dégustation révéla une chair complètement desséchée et trop salée. Une assiette bien triste démunie de jus et d’arômes ; et point de chair nacrée d’une cuisson parfaite. L’étiquette dans la gueule du poisson indiquait bien 970 grammes, mais le compte dans l’assiette n’y était pas. A l’œil, je n’estimais pas à plus de 150 grammes de poisson dans l’assiette. Nous appelons la serveuse pour faire constater le problème. Au terme de l’échange, elle nous propose d’apporter la balance pour vérifier. Chiche! Celle-ci débarque à notre table et le verdict tombe : chacune des 2 portions ne présente pas plus de 110 grammes chacune et la carcasse démunie de chair qu’on nous présente sur le plat pèse 220 grammes. Merci à la serveuse de s’être prêtée à l’exercice ce qui permit de conclure que notre évaluation n’était pas fausse. Arrive ensuite le maître d’hôtel puis le chef. On nous assure que nos assiettes correspondent au poisson commandé. Ni satisfait de la cuisine ni de la portion, nous décidons alors d’en rester là, de ne pas toucher à nos assiettes et de demander l’addition. On nous propose de payer la moitié du poisson, ce que nous acceptons et nous parait plus qu’honnête, eu égard aux manquements dûment constatés. La mésaventure aurait pu en rester là. Mais après avoir quitté l’établissement, nous regagnons notre véhicule et nous nous apprêtons à partir. C’est à ce moment que le responsable d’établissement nous accoste et s’apprête à nous faire la leçon. Pourquoi ne s’était-il pas présenté lorsque nous étions à la table ? C’est la première remarque que je lui adressa. Pour protéger ses employés répond-il! Je songeais alors à Philippe Etchebest qui dans son émission fameuse explique que le gérant ne doit pas se cacher derrière ses employés… Au triste sieur de nous expliquer que nous étions odieux et qu’il était propriétaire de la moitié de Pinarello, qu’il avait toutes les récompenses imaginables, qu’il connaissait tout le monde et même, que les gendarmes nous attendaient à la sortie du village. Il n’en était rien bien sûr. A la vexation liée à notre insatisfaction pourtant amplement justifiée, ce monsieur a décidé de répondre par l’intimidation. Morale de l’histoire : ne jamais revenir sur les gloires du passé. Le poisson grillé est une affaire noble et l’exercice est à réserver aux maisons qui connaissent leur affaire : la Caravelle à Bonifacio, le Grill du Casadelmar, le Tamaricciu ou le Cabanon Bleu pour ne citer qu’eux. En 30 ans d’été corse, nous n’avions jamais connu une telle déconvenue. Ce que je rapporte a été dûment enregistré (photo à l’appui) et des professionnels d’autorité m’ont confirmé « le problème », ne serait-ce que pour...

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2y

Non ho mai fatto recensioni negative in tutta la mia vita perché penso che possa sempre capitare la volta in cui trovi la cucina un pò più indaffarata, il cameriere meno simpatico o magari sbagli la scelta del piatto ma oggi sono andata via dal ristorante affamata, arrabbiata e mi sono sentita anche un pò presa in giro. Nel momento in cui ci servono i drink uno viene completamente rovesciato sulla tavola, quindi anche sopra le cose che avevamo appoggiato sopra come telefono e portafoglio, tutto ciò può succedere e non è un problema. A mala pena ci viene chiesto scusa, viene liberata la tavola per essere pulita e mi viene preso quindi anche il drink (quello non rovesciato). Terminata la pulizia, 5 minuti almeno perché la lentezza del servizio purtroppo è un altro tasto dolente, mi viene riportato il drink che ovviamente era tutto annacquato visto che il ghiaccio si era sciolto nel frattempo e il bicchiere ormai era bagnato dal drink rovesciato, ciò significa che tutte le volte che bevevo gocciolava sul mio vestito l’alcol del drink rovesciato. Non pretendevo di farmi rifare il drink ma almeno di cambiare o asciugare il bicchiere per non sporcarmi. Dopo 40 minuti da quando ci siamo seduti finalmente riusciamo a mangiare delle tapas che abbiamo preso da condividere, gusto normale peccato che ci siano rimaste indigeste e ci abbiano dato fastidio allo stomaco. Molto carino il gesto di togliere le briciole dal tavolo con una sorta di spazzolina tra una portata e l’altra ma se nel mentre il cameriere deve strusciare 4 volte il braccio sudato sulla parte del bicchiere in cui uno appoggia la bocca per bere … ecco eviterei volentieri. Ordino una pasta al pesto che arriva totalmente senza sale, piena d’acqua, quindi non si sentiva assolutamente il sapore del pesto e troppo cotta, l’unico aspetto che potrei accettare visto che so che è cosi il gusto francese. Il mio ragazzo ordina dell’agnello molto asciutto che non si può manco buttare giù con un pò d’acqua visto che i camerieri se ne dimenticano completamente di riportarci, sebbene siano stati loro a chiederci se volessimo ancora acqua. Mangio nemmeno la metà della pasta visto che era veramente terribile ed è la prima volta nella mia vita che mi succede di lasciare il cibo nel piatto per questa ragione. Chiediamo “velocemente” (altri 10 minuti d’attesa) il conto per scappare via dopo un pranzo di due ore per un’antipasto e un piatto… Prendo sempre il dolce al ristorante ma non volevo ne essere delusa ne buttare via altri soldi quindi ho voluto evitare. Un cameriere chiede come è andata e a mala pena riesco a dirgli di non aver apprezzato la pasta, come se non fosse ovvio un piatto lasciato praticamente pieno, che già va via senza nemmeno ascoltarmi, dopotutto stavo rispondendo ad una domanda che mi aveva fatto lui. Al momento del conto quella che immagino fosse la responsabile della sala mi chiede della pasta, finalmente riesco a parlare con qualcuno che mi “ascolta” (non commentiamo la sua espressione che è meglio) e la risposta è stata: Anche io lavoro con il pubblico e faccio un lavoro stagionale qua in Corsica come voi, so quanto possa essere stancante e duro ma se un cliente vi parla di un problema, cosa che già di norma non dovrebbe succedere, il vostro lavoro è trovare anche delle soluzioni; che poteva essere rifarmi il piatto di pasta o almeno togliermelo dal conto. E’ questa la ragione che mi ha spinto a scrivere questa recensione perché come ho detto all’inizio uno può trovare la giornata più impegnativa per il servizio o qualche distrazione, può capitare a tutti; ma fregarsene del cliente, non ascoltarlo quando ti parla di un problema e non pensare nemmeno un secondo ad una soluzione no, lo trovo inammissibile. Questo è totale menefreghismo, maleducazione, mancanza di professionalità e anche furbizia perché bastava un sorriso e anche solo ascoltarmi e tutta questa cattiva pubblicità ve la sareste evitata ma evidentemente allo staff non interessa. Ho buttato via i miei soldi ed il mio tempo, mi avete rovinato...

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12y

When we walked past the Hotel Du Rouf Pizzeria looked quite good: The pizzas were expensive but so was everything else in Corsica. The beachside restaurant looked inviting and was almost empty. We spotted an empty table by the beachside and headed for it. Of the 40+ tables, only 3 were occupied, so we didn't anticipate any problems. No sooner had we entered and headed for the table, however, a jumped up waiter headed us off claiming 'ze table is reserved'. With no indication that that table (or any other table in the empty restaurant) was actually reserved, we came to the conclusion that it was us that were not welcome instead. Granted, we’d been 10 days on the gruelling GR20 hiking trail and were looking a bit ‘ragged’ but we’re all three impeccably behaved professionals and two of us went to a posh public school, don’t you know! How much more posh and cultured do you need? Needless to say, we weren’t welcome and were ushered in to a corner, well out of public view. French waiters really are appalling with their displaced sense of status at the root of their problems. We would have been model customers: a little demanding maybe but well-behaved, polite and respectful. Thank goodness the restaurant at Camping U Pinarellu campsite came to our rescue. It was a lot nicer and...

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