GALERIE PHOTOS DU MUSÉE NATIONAL DES ARTS ET TRADITIONS POPULAIRES
PRESENTATION  La photothèque du musée national des arts et traditions populaires conserve une documentation photographique qui nous renseigne sur les métiers et les ateliers qui, de nos jours, ont disparu. Les travaux photographiques entrepris entre 1949 et 1962, ont souvent faits objets de publication notamment l’ouvrage de Golvin Lucien « les arts populaires algériens ».
Ils restent une source fidèle sur la condition des artisans de l’époque coloniale avec des méthodes de travail précaire. A travers cette documentation, toute une histoire de l’art traditionnel et sa composante humaine qui a fait sa fierté, sont à jamais inscrits. Le rôle de la photothèque est important dans la recherche historique, sociale décrivant la condition féminine et masculine, économique de l’Algérie depuis 1949.Les chercheurs de tous bords trouveront une matière précieuse, sûre.
Si ces archives datent pour la plupart des années 1946, certains clichés sont antérieurs : à titre d’exemple nous citerons des planches qui ont été publiées en 1913 dans l’ouvrage « le travail de la laine à Tlemcen » d’Alfred Bel.
La photothèque ne renferme pas seulement des documents d’artisans, mais des photographies des objets au moment de leurs acquisitions. Elle nous permet de tracer la vie de l’œuvre, son évolution du point de vue de la conservation.
Le service de la photothèque conserve un riche fond documentaire archivistique ancien datant du début du 20ème siècle et ce sur différents types de supports, regroupant : - Les ouvres de collections du musée. Les enquêtes effectuées depuis les années 50 sur les Arts Populaires. Les Publications, les missions menées dans différentes régions à nos jours et les activités du musée. (exposition temporaires).
La Photothèque a pour mission, de manière générale la conservation des photographies des œuvres de musées ainsi que des fonds photographiques d’archives composés de tirages noir et blanc et couleur, leur gestion, leur numérisation pour avoir de nouvelles perspectives de recherches et d’exploitation. A travers la politique de conservation, le service photothèque s’est équipé d’un matériel permettant le classement et surtout la conservation des photographies des négatifs, constitué de boites de conservation qui sont faites de papier neutre limitant au maximum l’acidité du papier, de même pour les feuilles d’album en polyester utilisées toujours pour la conservation et aussi pour le rangement de ce fond qui sont de différents modèles. Le service est doté également d’un scanner à diapo qui offre de nouvelles formes d’archivages sur CDROM.
A cet effet, la photothèque est un outil de recherche d’inventaire et de conservation. Elle a en charge la diffusion et la reproduction des œuvres destinées à des expositions ; catalogues, travaux de recherche ou pour toute diffusion commerciale. Con contenu est à la disposition des chercheurs dans le domaine des Arts et Traditions...
Read moreThe National Museum of Popular Arts and Traditions, occupies a Palace probably built around 1570 by Ramdane Pasha. It is located in the lower part of the medina of EL-Djazair in Souk El-Djemâa street. This souk is delivered in this place every Friday hence the name of “Friday market” it was specialized in the sale of pigeons. Due to its location near the administrative center, the djenina, made it a rich, commercial and lively district. In 1783, the Palace was leased to the wealthy merchant Michel Cohen Bacri. Around 1789, it became the property of Hassan Kheznadji, treasurer of the Dey Mohamed Ben Osman, who bought it to donate to his daughter Khdaouedj. After her death, her niece and nephew, N'fissaet Omar, inherited the palace. In 1830, the French state took possession of it, and after having compensated the heirs and made it the first Town Hall of Algiers. In 1860, the sculptor Latour enriched the western part with stuccoes and placed the various chimneys on the occasion of the visit of the Empress Eugénie, to whom Aziza Bacri served as interpreter. It was probably at this time that the entire western part was enlarged. The Palace underwent several transformations and occupations until 1939, when it was assigned to the Crafts department. In 1961, it became the Museum of Popular Arts. In 1987, it was erected as the National Museum of Popular Arts and Traditions.
Le Musée National des Arts et Traditions Populaires, occupe un Palais bâti vraisemblablement vers 1570 par Ramdane Pacha. Il se situe dans la partie basse de la médina d’EL- Djazair dans la rue Souk El-Djemâa. Ce souk se tenait en ce lieu chaque vendredi d’où le nom de » marché du Vendredi » il était spécialisé dans la vente des pigeons. De part sa situation à proximité du centre administratif, la djenina, en fit un quartier riche, commerçant et animé. En 1783, le Palais fut loué au riche négociant Michel Cohen Bacri . Vers 1789, il devint la propriété de Hassan Kheznadji, trésorier du Dey Mohamed Ben Osman, qui l’acheta pour en faire don à sa fille Khdaouedj . Après la mort de celle-ci, sa nièce et son neveu, N’fissaet Omar, héritèrent du palais. En 1830, l’état Français en prit possession, et après avoir indemnisé les héritiers et en fait la première Mairie d’Alger. En 1860, le sculpteur Latourenrichit la partie ouest de stucs et plaça les différentes cheminées à l’occasion de la visite de l’impératrice Eugénie , à laquelle Aziza Bacri servit d’interprète. C’est sans doute à cette époque, que toute la partie ouest fut agrandie. Le Palais a connut plusieurs transformations et occupations jusqu’en 1939, date à laquelle il fut affecté au service de l’Artisanat. En 1961, il devint Musée des Arts Populaires. En 1987, il est érigé en Musée National des Arts et...
Read moreAn Ottoman Palace (home, residence). -Built in 1570 by Yahya Rais, an Algerian naval officer, on a site called Souk El Jamea in the lower Casbah, on the ruins of the Zawiya “corner” and the mausoleum. -Bought in 1792 by Hassan Al-Khaznaji, Minister of Finance of the Bey Muhammad bin Othman, then gave it to his daughter Khadwaj. -Sold to a Jewish merchant “Jacob al-Bakri”, and therefore one of the names of this house in the Kasbah is the name of Dar al-Bakri. -The seat of the first French municipality in the Algerian capital in 1830. -Napoleon III resided there from 1860, every time he came to Algeria. -Since 1987, National Museum of Popular Arts And Traditions. In addition to the architecture itself, the museum contain Rural and traditional Algerian artisanship.
*Khadija/Khadwaj Al-Amiya “the blind”, sister of...
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