La partie commerciale du Centre Bourse, ça va. Mais les toilettes installées au fond du hall du rez-de-chaussée, il y a de la remise à niveau à faire : je rentre dans la cabine du fond (l'isoloir, comme au bureau de vote), côté homme, pas de crochet au mur pour suspendre un effet personnel. Le couvercle de la cuvette est baissé. Je le prends pour le soulever, patatras ! Il se décroche de son pivot et tombe sur le carrelage dans un vacarme exempt de discrétion ! Et là, je constate que la lunette, est pourvue d'une mobilité latérale capable d'envoyer par terre l'utilisateur imprudent. Quant au verrou de la porte, il ferme mal : pour que le pêne rentre dans la gache, il ne faut pas tirer complètement la porte à soi. Il faut laisser un peu de mou, comme quand on promène son chien en laisse. Le jeu est l'âme de la mécanique ! (Comme pour le couplage de la fourchette sur la bague des diaphragmes des anciens objectifs Nikon, mais ça marchait super bien). Enfin, c'est mieux qu'aux Terrasses du Port où là, oulah la, je ne pouvais plus sortir ! J'avais dû appeler au secours. Ensuite, l'étape du lavabo : ben...faut choisir son robinet, de mémoire, y'en a que 2 qui délivrent de l'eau, pareil pour le souffleur d'air froid ! Ça jette un froid. Hep ! La Direction ! Y'a du boulot pour un plombier et pour un serrurier. Autrement, tout baigne, surtout le lecteur de carte bancaire...pour payer.