MEZZANINE — Restaurant in Bonneville

Nous sommes venus en famille, histoire de se retrouver après un long moment (confinement et distance). Nous avons décidé d'aller chez Mezzanine afin de goûter leur septi-miche (fondue dans un pain de campagne). 1- Accueil peu agréable, nous avons été accueillis par une serveuse en terrasse (nous avions réservé la table) 2- Le cadre est super agréable, la terrasse est sympa, petite, très conviviale, situé dans une petite rue peu fréquentée, le restaurant est très bien situé, à 1min de la place du gros tilleul. 3- La carte est sympa, de bons choix, ca donne envie. Nous avons testé la fondue dans un pain de campagne. Nous voulions une fondue classique et une fondue aux morilles. Nous avions demandé à la serveuse en terrasse de nous expliquer un peu le concept. Nous avions l'impression qu'elle n'avait pas envie de discuter plus longtemps. Nous avions répété la commande deux fois, étant donné qu'à un moment, on avait l'impression qu'il y avait eu confusion dans les fondue. La serveuse nous a dit de façon nonchalante "pourtant c'est vraiment simple, c'est vous qui compliquez les choses". Vraiment pas agréable du tout. On ne s'attend pas à ce genre de remarque. 4- Lors de la présentation des fondues, il y a bien eu erreur, nous avons reçu 2 fondues aux morilles alors que nous avions commandé une morille et une classique. N'étant pas compliqué, nous avons accepté les deux fondues aux morilles (cela aurait pris trop de temps pour préparer la fondue classique, et la 2eme fondue aux morilles allait être gâchée). Cela aurait cependant pu poser problème pour des personnes n'aimant pas les morilles. 5- En revanche le concept est vraiment sympa. Nous nous sommes régalés malgré un problème de réchaud mais qui s'est vite arrangé. 6- Lors de notre départ, afin d'éviter le gaspillage nous avions demandé un "doggy bag" pour emporter la salade et la charcuterie. Résidant à côté nous voulions emporter et mettre au frais ce qui restait pour ne pas que cela finisse à la poubelle. A nouveau, réponse froide de la serveuse "on ne fait pas ca ici, je vais voir ce que je peux faire". Il nous semblait que cela était obligatoire pour les restaurateurs depuis le 1er juillet. Elle a réussi à nous trouver un grand tupperware qu'elle a déposé froidement sur la table. 7- Nous ne voulions pas de dessert après ce moment même si la carte donnée envie. C'était assez gênant et nous étions assez mal à l'aise. 8- Au moment de payer, malgré tout, un des serveurs / responsable a probablement senti le malaise et nous a offert le café. Merci pour ce geste. Peut-être que la serveuse ne se sentait pas bien le jour où nous sommes venus mais cela a gâché légèrement nos retrouvailles en famille. En revanche les deux étoiles vont au concept, au cadre, aux fondues, crémeuses et au bon...

Les vacances commencent à peine et nous avons déjà notre restaurant champion pour plusieurs décennies 😅 Si je ne vous recommande pas ce restaurant, Samoëns en revanche reste toujours aussi charmant (normal on habite la Haute-Savoie 😉). Ce restaurant (bobo branchouille) a un intérieur chaleureux dans un esprit chalet. Nous avons été installés directement à l'étage (bof), dans un coin un peu à l'écart. Le serveur nous a apporté le vin sans nous présenter l'étiquette, ni avant, ni après l'ouverture 🤔 Bien qu'il fût souriant et efficace, sa posture pas la suite (tête baissée) rendait impossible toute interaction ; il n'est d'ailleurs jamais venu s'enquérir de notre satisfaction durant le repas. La fondue est servie dans des miches de pain posées sur un poêle chauffé par un réchaud (bobo…). La version "classique" c'est à base d'Abondance et de Tomme (bienvenue chez les Branchouilles, dont la mode est aussi la moitié-moitié Suisse. C'est plus léger, plus digeste, mais a nettement moins de caractère qu'une fondue avec du Beaufort). Les propositions de magret de canard et de bœuf façon tataki (cuisine froide d'origine japonaise) sont également éloignées des classiques donc en cohérence avec l'ensemble 😅. Je me suis donc rabattu sur un faux-filet. La cuisson demandée (saignante) était respectée, la viande était épaisse, mais elle était froide 😨 et sans saveur particulière. Le dessert, une Pavlova, s'est avéré décevant. Traditionnellement composée de meringue, chantilly et fruits frais, elle était ici servie avec des coulis de fruits dans des petits verres. L'ensemble n'était pas convaincant. Au moment de régler l'addition, la jeune patronne m'a demandé si tout s'était bien passé. Flûte, je savais d'avance qu'aucune remarque négative ne serait tolérée chez ces gens-là, mais face à son insistance après mon silence initial, j'ai évoqué poliment ma viande froide. Sa réaction prévisible fut celle de la défense plutôt que de l'écoute (?). Elle a encaissé sans broncher les 97 € pour deux plats, deux desserts et une demi-bouteille (sic). Bienvenu en 2025 😂😂 Allez, je repars dès le lendemain dans des restaurants-chalets classiques : bonne cuisine, service impeccable, patrons et patronnes conviviaux, bref, du bon...

Les vacances commencent à peine et nous avons déjà notre restaurant champion pour plusieurs décennies 😅 Si je ne vous recommande pas ce restaurant, Samoëns en revanche reste toujours aussi charmant (normal on habite la Haute-Savoie 😉). Ce restaurant (bobo branchouille) a un intérieur chaleureux dans un esprit chalet. Nous avons été installés directement à l'étage (bof), dans un coin un peu à l'écart. Le serveur nous a apporté le vin sans nous présenter l'étiquette, ni avant, ni après l'ouverture 🤔 Bien qu'il fût souriant et efficace, sa posture pas la suite (tête baissée) rendait impossible toute interaction ; il n'est d'ailleurs jamais venu s'enquérir de notre satisfaction durant le repas. La fondue est servie dans des miches de pain posées sur un poêle chauffé par un réchaud (bobo…). La version "classique" c'est à base d'Abondance et de Tomme (bienvenue chez les Branchouilles, dont la mode est aussi la moitié-moitié Suisse. C'est plus léger, plus digeste, mais a nettement moins de caractère qu'une fondue avec du Beaufort). Les propositions de magret de canard et de bœuf façon tataki (cuisine froide d'origine japonaise) sont également éloignées des classiques donc en cohérence avec l'ensemble 😅. Je me suis donc rabattu sur un faux-filet. La cuisson demandée (saignante) était respectée, la viande était épaisse, mais elle était froide 😨 et sans saveur particulière. Le dessert, une Pavlova, s'est avéré décevant. Traditionnellement composée de meringue, chantilly et fruits frais, elle était ici servie avec des coulis de fruits dans des petits verres. L'ensemble n'était pas convaincant. Au moment de régler l'addition, la jeune patronne m'a demandé si tout s'était bien passé. Flûte, je savais d'avance qu'aucune remarque négative ne serait tolérée chez ces gens-là, mais face à son insistance après mon silence initial, j'ai évoqué poliment ma viande froide. Sa réaction prévisible fut celle de la défense plutôt que de l'écoute (?). Elle a encaissé sans broncher les 97 € pour deux plats, deux desserts et une demi-bouteille (sic). Bienvenu en 2025 😂😂 Allez, je repars dès le lendemain dans des restaurants-chalets classiques : bonne cuisine, service impeccable, patrons et patronnes conviviaux, bref, du bon...