Non mais c’est quoi ce délire ? Je suis venue acheter un déjeuner il y a 2 jours. Je demande un sandwich au poulet, l’étiquette indiquait « poulet, tomates, salade, mayonnaise ». Je paye et je sors en croquant dans mon sandwich. Je m’aperçois qu’il n’y a qu’un peu de poulet et beaucoup de mayonnaise… pas une trace de crudités. Pensant à une erreur je retourne voir l’employée, qui va voir la responsable pour se renseigner. Cette dernière met une éternité à venir (j’étais pressée…), et sans un bonjour ni un sourire me colle un papier sous le nez en disant « voilà la fiche recette, il n’y a pas de crudités ! ». Je lui fais gentiment remarquer que la pancarte indique tomates et salade, que c’est ce pour quoi j’ai payé. Elle me balance très agressivement que c’est une erreur et qu’elle n’y est pour rien, que ça ne la regarde pas. Interloquée je lui fais remarquer que c’est illégal, qu’elle est la responsable de ce commerce et qu’elle doit remédier au problème. Elle me dit alors, toujours sur un ton très agressif « je vous offre un produit et on en parle plus, il suffisait de le dire avant ! ». Elle commence à prendre un sandwich au fromage dans du pain viennois (j’ai horreur du pain viennois mais apparemment mon avis ne comptait pas), je lui fais remarquer que ce que je demande c’est des crudités, elle me met un bout de salade et de tomate dedans en me hurlant dessus que la politesse ça s’apprend ! J’ai complètement halluciné de la réaction de cette femme, aucun respect ! Il aurait suffit de me proposer de mettre des crudités dans mon sandwich en s’excusant pour l’erreur, la base quoi…
Marie Blachère vous devriez revoir à qui vous confiez la gestion de vos points de vente (et au passage, refaire la recette pour qu’elle corresponde à l’étiquette ou rectifier vos étiquettes pour qu’elles correspondent à ce...
Read moreOn voulait manger sur place, c’était midi et quart mais rien d’exposé, ni pizza ni sandwich, la vendeuse nous a dit en pizza, on a tout et elle m’a montré les rolls derrière elle donc on a pris 2 croque monsieur qui eux été exposé et 2 pizza On lui a dit de les faire réchauffer car on mangeait sur place. On s’assoit pour manger par contre on voit 2 croques brûlés, elle a dû les oublier au four Une fois tout mangé, je retourne voir ils avait mis des bretzels, donc je me suis adressé à la même vendeuse pour en avoir 2, elle m’a dit de faire la queue qui était jusque dehors alors que je lui ait dit qu’on mangeait sur place , ce qu’elle savait et qu’on voulait rajouter 2 bretzel.C’est inadmissible, le patron devrait revoir cela avec ses vendeuses car c’est du n’importe quoi. En plus une demi heure après, rien de réapprovisionné dans les vitrines, à quoi servent elle? Puisque la marchandise reste sur les rolls derrière. Un client qui ne voyait rien aussi dans vitrine demandait à la vendeuse qui une demi heure après disait toujours la même chose on a tout c’est sûr les rôles derrière. Je crois que le patron ou le responsable devrait bouger un peu son personnel. Je ne sais pas si ça a changé de patron mais avant ce n’était pas comme cela, vitrine bien remplie , réapprovisionnée au fur et à...
Read moreQuelle tristesse, de voir des jeunes gens blasés par leur quotidien… je me suis présentée ce jour à 13h30 (ignorant les horaires adaptés en raison du jour férié)… en me basant sur la lumière et les quelques âmes qui s’agitaient dans ces lieux. Trouvant portes closes, j’ai d’abord recherché les horaires. Comme il n’y avait aucune précision quant au jour férié, je me suis permise de frapper à la porte vitrée… rhoooo et quelle réponse. Une jeune femme affairée (mais qui avait bien vu que j’étais un peu perdue) s’est contentée d’un signe des bras formant un X… visage fermé, gesticulations tout aussi fermes… pour me signifier un « c’est fermé » glacial. Après quoi, fort surprise mais sans désemparée, j’ai toqué à nouveau… en mimant un sourire… pour lui signifier à mon tour, qu’on peut dire la même chose en souriant ! C’est alors, que dents serrés, sourire narquois… elle me fit le même geste avec un peu plus de mépris… Pauvre enseigne… pauvre de nous, gens bien élevés et polis… qui patientons qu’on nous traite comme...
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