Le Comptoir du 3ème — Restaurant in Lyon

La honte de la restauration française. Venus en groupe de 6, on nous place. L'attente est interminable, le service vraiment exécrable, on les emmerdes vraiment à la moindre demande, aucun sourir ni quoi que ce soit. On prend un plat du jour et... On nous sert quelque chose de complètement hors sujet, qui ressemble d'avantage à de la pâtée pour chat que de la nourriture pour être humain. Quelques pommes paillassons surgelées comme il faut. A la fin ou nous demande de payer quand même. Le ton monte vite (sous la pression ?), et on nous explique qu'ils ont été dépassés. Alors pourquoi nous avoir laissé entrer et osé nous "servir", les restes animals du laboratoire P4 de l'agglomération ? Changez de métier et de salariés. Au final, le patron nous accuse carrément de ne pas avoir aimé tout ce que l'on dénonce. La bière était bonne... Fuyez, fuyez, il y a tellement de bons établissements dans cette ville, que cette pompe à fric qui insulte ce que la...

J'y ai mangé deux fois en l'espace d'un an et je suis tombé malade deux fois, donc NON ce n'est pas un hasard!

Première fois : Je suis tombé malade..

Je donne toujours une deuxième chance, j'y retourne un an après, je mange entre autre des frites immangeable... N'ayant pas un palais de cuisinier, je distingue clairement que l'huile des frites est dégueulasse et n'ai certainement pas changé.. Le patron semble se demander ce qu'il fait ici, il est non chalant et pas souriant du tout.

J'en ai parler à certains collègues, étonnamment je n'étais pas le seul à être malade après avoir manger...

Sans doute pas la cuisine la plus raffinée du monde, mais ici on ne vient pas (que) pour ça. On vient pour Didier, le taulier, pour les frites fraîches, les patates sautées, le charolais, le Fish and chips, les tartares, la salade lyonnaise et la sauce St Marcelin. On est à Lyon, un peu dans le beaujolais aussi, on rêve mâchon, entre cervelas ou terrine et museau. Un break salvateur entre deux réunions, à prix raisonnable. La ventilation est à améliorer mais quand l’assiette est bonne et copieuse, on oublie. Et il y a...