PAS ANNONCE SUR LE SITE: Les enfants ne sont pas la bienvenus dans des opéras ou spectacles, sauf si spécifiques pour les petits une ou deux fois par an. Même pour des enfants très correctes, il y a O tolérance, dans un esprit privilégiant le public traditionnel ou intransigeant ne pas appréciant l importance d'élever les enfants dans la music, la conciliation et le respect envers l autre, sans pretension. ‐------ The management gives priority to arrongant, pretentious people who have no sensitivity about music or about people and who are intolerant and not made for listening to opera in an Opera House. They do not indicate a minimum age for attendance on their site; then you show with a paid sit with your 3 year old who is in love with music and has been waiting for months to attend the show. You try to teach your child that music is a "place" for tolerance and sensitivity and those who manage it take the coward approach of sticking by a disgrace of human being. This is how the world runs and these are the ones who run it. And music, in the middle, cos some people feel they are the only ones entitled to it. A child who in 2 hours of opera said 4 times papa. Very calm and tender child who did not understand why we had to leave the music. A child who has been through so much already in his little existence and who forgets with things like music or ballet. And what you get as a reaction to an extravagant attack of arrogance and reproach is " madame, mettez vous à sa place" . The world is going down with intolerance, hate, entitlement and ignorance. And those who support it are just part of it. NO, NO, YOU WILL NOT BREAK US, THOSE WHO WANT A WORLD OF SENSITIVITY AND WHO PLAY AND LIVE MUSIC FROM...
Read moreI must confess I was deeply disappointed by Fanny and Alexander. Far from evoking the warmth and magic of a romantic Christmas tale, the production instead leaned heavily on dark themes, gratuitous violence, and language that I found unnecessarily coarse. The portrayal of violence, particularly involving children, felt excessive and unsettling.
While I understand the desire to explore complex and provocative themes in opera, this interpretation failed to captivate me. Hoping for an evening of enchantment, I ultimately decided to leave after the first act, as the tone and approach were not what I had anticipated or hoped for.
This choice is particularly baffling as it comes as yet another strange selection for the Christmas season by this opera house. Last year’s offering, The Tale of Tsar Saltan, was similarly unconventional and perplexing, leaving me to wonder about the artistic direction behind these holiday...
Read moreDepuis sa création, les Chœurs de la Monnaie ont développé, au fil de leurs trois cent ans d’existence, un esprit et une personnalité d’une grande richesse. Au cours des dernières décennies, les chœurs ont été placés sous la direction de Gunther Wagner, Johannes Mikkelsen, Catherine Alligon, Werner Nitzer, Renato Balsadonna, Piers Maxim, Martino Faggiani, et, depuis 2023, d’Emmanuel Trenque. Les chœurs occupent aujourd’hui une place vitale dans les productions lyriques de la maison. Si les choristes féminins et masculins se fondent dans une grande masse anonyme, ils forment également un réservoir d’interprètes individuels de talent. Les mises en scène contemporaines sont aussi exigeantes dans le domaine du chant que dans celui du jeu scénique. Les membres du chœur sont à même de répondre à cette double attente, comme l’ont prouvé les productions de Cendrillon, Don Quichotte (Massenet), Les Huguenots (Meyerbeer), Hamlet (Thomas), Lucrezia Borgia et L’Elisir d’amore (Donizetti), Aida (Verdi), Dialogues des Carmélites (Poulenc), Cavalleria rusticana / Pagliacci (Mascagni / Leoncavallo) ou encore La Gioconda (Ponchielli) ; un répertoire français et italien avec lequel ils ont de longue date une grande affinité. Toutefois, ils sont tout aussi performants dans les productions de Rusalka (Dvořák), Parsifal (Wagner), Daphne (Strauss), Jenůfa (Janáček), Lohengrin (Wagner), Le Château de Barbe-Bleue (Bartók) ou encore des créations mondiales telles que Frankenstein (Grey). Ils peuvent en effet aborder, avec le même succès, tous les styles du grand répertoire lyrique, mais également des œuvres moins connues comme Fierrabras (Schubert), La Vestale (Spontini), Béatrice et Bénédict (Berlioz), Demon (Rubinstein), les opéras de Rachmaninov (Troika), Le Coq d’or (Rimski-Korsakov) ou les partitions contemporaines comme Le Grand Macabre (Ligeti), Œdipe (Enescu), voire même Sweeney Todd (Sondheim / Wheeler). En plus de ces grandes productions scéniques, les chœurs de la Monnaie se consacrent également au répertoire choral et symphonique. Ils se produisent annuellement dans des versions concertantes d’opéras comme Roméo & Juliette (Gounod), Guillaume Tell (Rossini), Pénélope (Fauré) ou Robert le Diable (Meyerbeer), dans des requiem tels que la Messa da requiem de Verdi, le War Requiem de Britten, La Grande Messe des morts de Berlioz ou le Requiem de Dvořák et dans des concerts symphoniques aux programmes très variés. Les chœurs de la Monnaie sont le partenaire naturel de l’Orchestre symphonique de la Monnaie, mais ils se produisent également pour des concerts et des évènements musicaux avec d’autres collaborateurs. Ils ont ainsi participé, en 2012, à La Muette de Portici (Auber) à l’Opéra...
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