Garden Ice Café — Restaurant in Clermont-Ferrand

Bonjour, Mercredi 26 mai 2021, alors que nous nous installions à une table libre non débarrassée mon compagnon, notre enfant et moi, je vois un client arriver et demander à une de vos serveuses si une table pour 6 personnes est disponible. Celle ci répond que non, regarde autour d elle, et voit que nous venons de nous installer. Elle nous demande alors de partir en prétextant que la place est réservée, et demande à une personne âgée venue seule, de partir également. Nous partons sous les regards interrogateurs des autres clients, tels des voyous que l'on vire au moment où ils saccagent tout. Nous l'avons vécu comme une véritable humiliation. Mon enfant en très bas age, 2 ans, pleure, sa première expérience au bar se transforme en acte segregarioniste. Nous sommes moins nombreux, donc moins rentables que les 6 jeunes qui viennent d arriver. Quant à la personne âgée qui s'est faite virer au même titre que nous, je n ose pas imaginer comment l'acte a pu être perçu comme violent, d'autant plus qu'on lui a arraché la table à laquelle il était accoudé pour la decaller à celle dont nous venions. Aujourd'hui, j'ai appelé le restaurant d'abord pour demander si les consommations se faisaient sur réservation, et après qu'elle m ait dit que non, j'ai expliqué de manière courtoise ce qu'il s'était passé. Ayant fait l hôtellerie lorsque j'avais 16 ans, je sais à quel point il est désagréable d'entendre une histoire dans les cris. La personne a répondu à mon récit (beaucoup plus synthétique que celui que je vous détaille) "ha c'est pas cool" même à 16 ans, j'avais compris qu'on ne s'adressait pas à un client comme à un copain qui raconte son dernier ragot. Seconde humiliation. La personne ne s'est pas excusée, elle a été dedaigneuse et enfin, pour éviter les excuses, elle m'a parlé du temps dehors. Je conçois que ce ne soit pas facile de gérer autant de monde, mais après l hôtellerie, j'ai fais une filière général et je suis actuellement diplômée de psychologie, j'ai travaillé en tant qu'equipier, serveuse, caissière pendant mes études, et je suis en en préparation de concours et réserviste à l'armée de terre. Je sais ce qu est le travail, et je sais aussi ce qu est l'éducation. En tant que serveuse je ne me serais jamais permise de virer un client et encore moins une personne âgée ayant travaillé toute sa vie pour se permettre des petits plaisirs comme aller dans un bar. Par ailleurs, ce monsieur était venu seul ce jour là, et c'est sûrement pour briser cette solitude qu'il s'était rendu à votre restaurant, à moins que cela ne soit la chaleur ? Quel qu en soit la raison, un tel comportement fait honte à votre restaurant. J'écris également au nom de ce monsieur qui n'osera certainement pas venir se plaindre pour le mauvais traitement infligé par votre employé. En aucun cas, on ne traite une personne âgée de cette manière. C'est tout à fait scandaleux. En espérant qu'une mise au point avec vos employés soit faite, autant dans leurs manières que dans leurs...

Une qualité en chute libre pour des prix costauds ... restaurant à fuir !!!

Quelle déception pour un restaurant si sympa il y a encore quelques années ! Etre un des seuls restaurants sur la Place de Jaude assurant un service jusqu'à minuit ne vous donne pas le droit de négliger autant votre clientèle une fois les 23h00 passées ! Nous nous sommes présentés à 23h30 en demandant poliment s'il était encore possible de manger (il est bien spécifié que le service s'arrête à minuit). Le serveur nous a répondu par l'affirmative en nous invitant à monter à l'étage. La quasi-totalité des tables était sale, tout comme l'endroit lui-même ! Un serveur, pressé et sans sourire, nous demande de commander en même temps le plat et le dessert au motif que les cuisines vont fermer sous peu. Soit ! Nous nous montrons compréhensifs, c'est normal vu l'heure. Néanmoins, dans un burger, seul le steack haché doit être saignant (vous voulez finir la journée, ok ! Mais merci de faire cuire le lard, sous peine de frôler l'intoxication alimentaire). Le repas s'est à peu prêt bien passé, malgré une sono à fonds et le vacarme de l'équipe du rez-de-chaussée qui rangeait la terrasse. En réponse à une demande de carafe d'eau, on nous rappelle que le restaurant va bientôt fermé (oui oui on a compris !! En même temps nous disposons encore d'une heure si l'on se fie aux horaires d'ouverture). Les plats à peine terminés ont été retirés, les desserts sont arrivés fondus et les couverts ont été "jetés" au milieu des assiettes. Le coup de grâce a été donné au moment de payer l'addition. Pour simplifier le paiement, nous décidons de diviser la note par 3 et nous arrondissons par excès (21.77 au lieu de 21.7666666). Réaction du serveur: "Je ne peux pas vous faire confiance, je n'ai pas vérifié !" sur un ton des plus déplacé, nous prenant pour des malhonnêtes. Certes ! Je refais la soustraction devant lui (qui ne prend pas la peine de la faire lui-même, c'est à dire faire son travail), lequel concède à nous faire payer ce montant en soufflant et en tentant de se justifier que cela fait depuis midi qu'il assure son service et qu'il est fatigué. Un dernier passage dans des toilettes immondes de crasse pour quitter les lieux sans aucune forme de politesse du personnel encore présent. Conclusion: on aurait du prendre un kebab ! Ce que nous ferons lors de notre prochaine...

attention au mode de paiement par chéque refusé quelque soit l'âge et le statut du client par crainte d'impayés

Client ponctuel de cet établissement depuis de nombreuses années, nous avons eu, aprés avoir consommé en terrasse un repas de qualité moyenne, la désagréable surprise de nous voir refuser un paiement par chéque de nos trois repas par crainte d'impayé et ce, même avec présentation de nos cartes d'identité respectives. Le plaisir d'offrir ces trois repas à ainsi été refusé à ma belle mére âgée de quatre vingt huit ans qui ne disposait pas assez de liquidités sur elle ni de carte bancaire. Probablement le fait de travailler dans un bar, siége du club de rugby de l'A.S.M. Clermont faisant aussi brasserie, à t'il permis au responsable du comptoir de se dispenser de ce fair play pourtant cher aux sportifs et de nous opposer, sans discernement, ce refus de ce mode de paiement sur un ton suspicieux et goguenard témoignant là d'un mépris certains de ces clients qui, une fois pris dans la nasse sans avis préalable et quelques soient leurs âges ou bien leurs apparences respectives ne peuvent qu'avoir une pensée détestable à l'égard de la politque commerciale de la direction.Celle-ci exigerait soit un paiement en espéces soit avec CB peut être aussi de préférence avec une "GOLD' comme la mienne. En tout cas le choix de recrutement de ce personnel continuera à rejaillir négativement sur la confiance que l'on pourra accorder à l'ensemble formé par la direction et les autres salariés qui nous avaient semblé pourtant désireux de bien faire pendant le service dont la durée fût aussi...