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Learn more« Affamé, il ouvre les portes d’un restaurant et se retrouve au paradis ».
Appétissant ... voilà comment nous pouvons décrire l’histoire de ce jeune homme de 30 ans (ndlr : célibataire mesdemoiselles), parti vivre à Nancy mais ayant découvert les saveurs délicates d’un pays pourtant lointain.
Après une journée éprouvante à sauver des chatons errants, le jeune homme, voulant se restaurer, pousse alors les portes d’un restaurant encore inconnu pour lui : « Osaka Street Food ». Aimant particulièrement la cuisine asiatique, le jeune homme fonde alors de grands espoirs dans ce nouvel établissement mais reste sur ses gardes, il témoigne : « Ayant déjà testé plusieurs restaurants asiatiques décevants, notamment sur Metz, j’avais peur de goûter à nouveau à cette même déception, mais il n’en fût rien ! ».
En effet, peu après avoir passé les portes et ayant été chaleureusement accueilli, le jeune homme, plutôt vorace (ndlr : et soi-disant en prise de masse musculaire), commande une entrée, deux plats ainsi qu’un dessert, c’est alors que sa vision des choses fût transformée.
« Lorsqu’on m’as apporté les karaages, mes craintes se sont immédiatement dissipées, le subtil parfum du poulet emplissant délicatement ma bouche m’a permis de comprendre l’essence de ce restaurant ainsi que l’essence de mon être tout entier ». Déclare le jeune homme visiblement en état de félicité. Il poursuit : « Ma seconde illumination fût au moment des plats, les ramens ainsi que l’okonomiyaki. Ce dernier plat m’a époustouflé tant par ses qualités culinaires que visuelles ! ».
En effet, la bonite séchée, sous l’effet de la chaleur du plat, prend l’apparence d’une nuée de papillons qui n’ont qu’une destination : votre palais, afin de vous transporter dans les délices de l’art culinaire japonais.
« Quant aux ramens, leur merveilleuse senteur a éveillé mes sens et outre le sentiment de bonheur inondant mon cœur après chaque gorgée de bouillon, ils m’ont permis de totalement me connecter à la culture japonaise ». Indique notre héros (ndlr : ce dernier a insisté pour être dénommé comme cela), salivant abondamment devant nous jusqu’à en mouiller sa chemise.
Fait intriguant en effet, le jeune homme se mets alors naturellement à parler japonais durant les deux jours suivants, suscitant l’incompréhension de la part de ses proches et l’admiration de ses amis otaku.
« Après avoir commandé des mochis, tout ça dans un japonais impeccable (ndlr : le patron du restaurant nous a indiqué avoir vérifié les propos du jeune homme via un site de traduction en ligne, qui les a jugés très approximatifs), mon voyage culinaire et spirituel a continué, le mochi Sakura me transportant au milieu des cerisiers japonais ».
Interrogé sur son nombre de visites dans l'établissement, l’homme répondit simplement en nous montrant ses 14 cartes de fidélités remplies......
Read moreA la recherche d'un petit resto où manger le soir, nous sommes tombé de façon fortuite sur cette adresse. Quelle DÉCEPTION !
Le seul point positif : le service. Serveur agréable, souriant et à l'écoute.
Et maintenant, entrons dans le négatif : la cuisine. J'ai choisi du poulet teriyaki. Il n'était sans aucun intérêt en + d'être mal découpé. C'était mal dressé, mal assaisonné et pas assez "en sauce". Le riz est à revoir en + de manquer de goût et d'assaisonnement. Et franchement, même si ça n'était pas non plus excessivement cher, je n'en ai pas eu pour mon argent.
Bref, ce resto ne mérite pas le titre de "cuisine japonaise traditionnelle" (et conseil : évitez de laisser des sacs Basic Fit au milieu de votre salle)
Edit : Tout d'abord, merci de votre réponse constructive, cela fait plaisir de voir que vous tenez en considération les remarques, qu'elles soient négatives comme positives, et ceci de façon calme et tempéré.
En premier lieu, je tiens à m'excuser dans mon choix de termes. En effet, le mot assaisonnement n'est pas valable dans ce contexte car, comme vous l'avez très justement souligné, le riz n'est traditionnellement pas assaisonné. Je faisais référence au manque de sauce teriyaki en utilisant ce mot.
D'ailleurs, ça serait bien de préciser qu'on peut redemander de la sauce teriyaki s'il n'y en a pas assez car je dois avouer ne pas en avoir redemandé par habitude de me prendre des "désolé nous ne pouvons pas vous en rajouter" (j'adore cette sauce en même temps, je suis du style à en vouloir beaucoup, pour bien assaisonner mon riz, ce qui, comme vous l'avez compris, n'était pas le cas ici). Et je peux comprendre que vous n'en mettez pas ""beaucoup"" dès le départ car ça peut écœurer certains de vos clients.
Si nous n'avions pas parlé de notre satisfaction dès le début, c'est que nous n'étions pas dans l'optique de nous prendre la tête avec quelqu'un au restaurant, et nous n'avions également pas le temps de vous apporter immédiatement un retour sur expérience constructif et à froid.
Et pour conclure, je suis désolé, mais pour souvent côtoyer et manger avec de véritables japonais, je n'arrive pas à comprendre comment vous pouvez appeler ça de la "cuisine traditionnelle japonaise" (ce qui, pour votre défense, est le cas de beaucoup de restaurants japonais en France).
P.S. : Nous n'avions pas laissé de riz car malgré les défauts, le plat restait comestible, nous avions faim et nous ne voulions pas gâcher le moindre...
Read moreNotre petite famille a littéralement élu domicile au 18 rue Gustave Simon, où se tient la petite mais vénérable enseigne d'Osaka Street Food. C'est en effet devenu l'un de nos lieux de prédilection à Nancy pour manger une nourriture honnête et savoureuse, aussi légère pour le portefeuille qu'elle est copieuse pour le palais.
Okonomiyaki, karaage, harumaki, nikuman, ramen à composer, etc. : nous avons affaire ici à une sélection de quelques-unes des spécialités culinaires les plus renommées du Japon et plus particulièrement d'Osaka, que d'aucuns considèrent comme la véritable capitale gastronomique de l'archipel. (Parce que les sushis ça va un moment, et que ça représente autant la cuisine japonaise que quelqu'un qui vous dirait : la cuisine française c'est les escargots...)
Les recettes sont maîtrisées et, nous semble-t-il, de plus en plus goûtues, pour qui est amené à retourner régulièrement expérimenter les plats.
Aux fourneaux on retrouve une petite équipe franco-japonaise ; c'est un détail, mais on peut y voir un côté à la fois authentique et accessible vis-à-vis de clients enthousiastes qui, comme nous, aiment en savoir plus sur ce qu'ils ont dans leur assiette, sans qu'on leur raconte d'histoires à dormir debout.
Le patron est un féru de pop culture japonaise, mangas, films, jeux vidéo... S'est-il déjà rendu lui-même au pays de Takeshi Kitano, Hayao Miyazaki, Shigeru Miyamoto ou des Samouraï Pizza Cats, nous l'ignorons, mais son restaurant nous y emmène déjà à travers l'imagination, à la faveur d'un Poulet Teriyaki, d'un Oyakodon, d'une rasade de boisson sucrée au goulot anti-sismique (!) ou encore d'un délicieux mochi glacé au sésame. Miam !
どうもありがとうございます ! Domo...
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