As mentioned in other reviews, this is an extremely overrated university. Stay far, far away if you want to do an English program.
ALL communication is in French: information on administration, enrollment, activities, etc. There is a very limited amount of English-speaking teachers and this will strongly limit your specialization choices. In my first week, I was forced to move to different courses than the ones I chose because they were not taught in English any more. As a result, I am stuck with unwanted courses.
Books are outdated (I have a course where we HAVE to use the 2006 version of a textbook, while four newer versions have come out) or even in French (for English-taught classes).
The teaching style is very similar to elementary or middle school. During some lectures (which are 2x1,5 hours with a 15 min break), it is not allowed to have ANY drinks or food visible. Keeping a closed bottle of water on your table? Not allowed: class will not continue until you remove the bottle.
The classrooms are even more outdated than the books used in class. The “amphis” have no ventilation whatsoever and thus smell like mold and sweat (especially after 3 hours with 100 people in one room). This is crazy to me especially considering the health risks of Covid.
Other disadvantages of Dauphine vs state-of-the-art schools: Unstructured classes and schedules: you will have no idea what your planning in 1-2 months will be. The English version of the website is bad: there is less information and very often outdated information (i.e. only the French version gets updates) Other digital resources are extremely sloppy and feel cobbled together Bureaucracy: maybe general to France, but expect to fill in ALL your details at least 5 times, to then get an extremely delayed negative response and request to redo it all
Whatever you do, do not go here. It is a complete waste of...
Read moreAs someone applying through the Exile procedure, my experience with this university was unfortunately disappointing.
I submitted my application to the Peace Studies master’s program after receiving confirmation that I could still apply. I provided all required documents, including proof of my administrative situation, and followed the instructions. However, my application was later rejected for being “late,” even though I acted based on the university’s written guidance.
It was also very difficult to get updates. I did not receive any confirmation that my application was received, despite several attempts to follow up. I eventually had to visit the university in person just to check the status.
Although the university promotes support for students in exile, I felt there was a lack of concrete follow-up and no support or redirection after the refusal, even though this is something the institution publicly commits to.
I’m currently on the waiting list in the regular admission process, which shows my profile was strong enough. It’s unfortunate that the specific support system designed for students like me did not seem to function...
Read moreJ'y ai obtenu un certificat de statistiques avec mention bien alors que cette discipline était sélective et faisait des dégâts au passage en 3e année.
Cette université a copié la Harvard Business School en optant pour un enseignement par études de cas en petits groupes alors que les cours en amphithéâtre étaient la règle dans les universités françaises.
L'enseignement par petits groupes ne développait aucune compétence pour agir à plusieurs, c'était simplement plus confortable de retrouver les mêmes têtes tout au long de l'année et de se sentir moins perdus que dans un amphi.
Elle a ensuite été copiée en France par le fait qu’un syndicat étudiant de Dauphine s’est battu, avec succès, pour donner une "reconnaissance nationale" à son diplôme, ce à quoi je m’étais opposé, puisque cela impliquait que les programmes pourraient être dupliqués. C'est ainsi que l'on a formé en France plus de gestionnaires que le tissu productif n’en nécessitait, dévalorisé les diplômes en gestion et offert une prime aux relations familiales des étudiants qui les obtenaient.
L'enseignement par études de cas en petits groupes ne jouait valablement qu'en premier cycle. En 2e cycle, beaucoup d'étudiants ne se dévoilaient plus, ne participaient plus activement. Ils jouaient le rôle de membres de ces conseils d'administration où l'on peut survivre en ne disant rien,. Certains étaient d'ailleurs déjà membres de conseils d'administration par piston, à l'âge de 26 ans, bien que n'ayant aucune compétence gestionnaire ; ils venaient à Dauphine pour acquérir un vernis et un diplôme, souvent grâce à des équivalences. Ils n'avaient pas plus intérêt à manifester leur ignorance à la fac que dans leur vie "active". Ils constituaient une concurrence décourageante, hostile aux "mérites".
Le corps enseignant se déconsidérait en préférant enseigner à des X débarquant en 3e cycle et ignorants en gestion plutôt qu'en développant des gestionnaires issus des 2 premiers cycles.
L'orientation en cours de formation faisait défaut. Trés peu d'étudiants visaient un métier particulier ; on pouvait passer quatre ans là sans avoir idée de ce que l'on ferait ensuite, sans que cela gêne l'université. De même pour le développement personnel, cette faculté se moquait des compétences et goûts personnels autres que de faire un devoir et un exposé.
Contrairement aux apparences qui voulaient que cette fac fournissait des formations "professionnalisantes" on pouvait en sortir avec un diplôme en poche après 4 ans d'études sans la moindre garantie d'emploi, sans la moindre possibilité sérieuse de s'installer en indépendant, si l'on n'avait...
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