Ahhh, enfin je peux écrire ce que j'en pense de ce "kebap". Ça va donner la vérité sur ce resto et la soit-disant "hype" qu'il y a autour.
Je m'y suis rendu le mardi 24 septembre à 13h10 pour y manger le fameux "döner" tant prisé dans le quartier. J'ai d'abord passé le Salam à notre cher Ali, le monsieur à la calvitie, qui ne m'a pas salué en retour, étonemment. Je mets ça sur le compte du fait qu'il ne m'a pas entendu, soyons bon jeu...
Il me demande ma commande et je lui dis que je veux un döner avec la demi-baguette que je lui ai fournis de la boulangerie situé à 200 m plus loin. Très bon accueil au passage dans cette boulangerie, je les remercie ! Contrairement à ce Ali. Il me demande ce que je veux avec, je lui demande si les frites sont faites maison et me répond non et se défend hâtivement qu'il n'y a pas la place et surtout pas le temps pour le faire avec le flux de clients, je lui dis que ce n'est pas grave, pas de soucis, pas la peine de se mettre sur la défensive comme ça... Pendant que le sandwich se prépare... je vois plusieurs clients passer dont quelques femmes et je vois Ali changer de visage à chaque fois qu'il s'adresse à une de ces femmes. Grand sourire, très bon conseiller pour les sandwichs, prend du temps pour elles... rien à voir avec moi quand je lui ai passé le "Salam". :) Ah! Le sandwich est prêt... je m'approche du comptoir et je vois que Ali, expert en séduction, me verse des frites sur le plateau alors que je n'en avais pas demandé. Je lui dis que je n'avais pas commandé de frites et là, que fait-il donc ? - "Ah, t'en veux pas, ok." Il jette les frites dans le bac et me tend le plateau baignant dans l'huile des frites... non mais je rêve ? Il se prend pour qui ce mec ? Je me rends en terrasse (si on peut appeler ça une terrasse) et mange mon sandwich. Oui, c'est bon. Mais toute cette hype en osant dire que c'est l'un des meilleurs kebaps/döner de Paris ? Faut arrêter de mythonner et recevoir du fric de untel ou intel. Les influ-voleurs mentent même sur la bouffe pour quelques poignées de dollars. Désolé Sergio Leone, je m'approprie ton titre... même ce resto, pété à l'huile d'olive, ne mérite pas d'avoir un de tes titres de film dans leurs avis. Payer 7,50, non mais encore... Et oui, vous allez me dire : "Mais Antho, le fait que tu ramènes la baguette, ça ne te fait pas économiser 50 cents sur le sandwich ?!!" Et bien non, Ali m'a bien taxé 7,50 euros. J'aurais pensé payer 7 euros mais visiblement, je n'étais pas une femme... et comme je ne suis pas quelqu'un de rabat-joie, je lui repasse le Salam et dire au revoir. 3 secondes de blanc, je le fixe du regard car je sais très bien qu'il m'a entendu et enfin, tout tremblotant comme une victime, cet impoli d'Ali me passe tout doucement le Salam comme si ça le saoulait. Et bien, ne t'inquiète pas mon pote, t'as bien baissé les yeux. Ne t'en fais pas que que la vérité éclate et cet avis en témoigne.
Bim, un joli 2/5 des familles, comme on les aime ! Car oui, j'arrive à dire quand c'est bon mais ton service, Ali, il est claqué au sol. Enjoy ton Kebap, ton père doit être fier d'avoir un fils qui ne sait pas traiter tous les clients de la même manière. Et arrête de draguer les femmes,...
Read moreLa saison du kebab battait son plein. Humant avec une joie simple la saine odeur de veau et d'agneau tandis que l'astre solaire percait de ses rayons clairs les feuillages languides de la torpeur de ce matin de printemps, je m'adonnais à mon amour de la gastronomie turque chez iBO, institution de Paris 10 depuis voilà 40 ans.
En arrivant, je suis tombé sur une broche de kebab gigantesque exhumant une odeur divine tout droit venu d'Antioche. De fines perles de sucs coulaient le long du kebab, le rendant luisant tel un puissant nageur venant de sortir de l'eau. C'était un kebab extraordinaire qui semblait aussi puissant que la jambe d'un cheval et aussi délicat qu'une rose enveloppé de soie. Quel grand et magnifique kebab, frémissant et chaud au toucher. Je m'imagina encerclé par une armée de kebabs, ils étaient la tout autour, frétillants, bondissants, venant enivrer mon odorat. C'était comme si j'étais perdu dans une forêt de kebabs, je pouvais les voir grands et puissants.
Instinctivement, je pousse un rugissement sauvage dans le restaurant, ce qui me vaut des regards inquiets et des messes basses de la part des clients. Le plat arrive devant moi : une assiette doner avec des lamelles de kebabs d'une taille peu banale. Mon estomac étant malléable et contractable à souhait grâce à des années de conditionnement, il s'adapte à la circonférence gargantuesque de mon repas ottoman avec aisance.
A la première bouchée, le temps s'est arrêté. Je me noie dans le kebab. Je fusionne avec le kebab. Je ne deviens qu'un avec le kebab. Chaque cellule de mon corps devient dépendant du kebab. Mon esprit est brisé, je ne peux désormais plus vivre sans le kebab.
iBO je t'aime. iBO tu es mon emblème. iBO je t'ai aimé un jour. iBO je t'aimerais toujours. iBO tu ne m'as jamais délaissé. iBO avec toi je me sens en sécurité. iBO tu as un délicat parfum. iBO tu me donnes faim. iBO tu es ma passion. iBO tu es doux...
Read moreBeing german like myself also means knowing turkish food very well. Living in Paris made me miss turkish food. So much that i went on the mission to find my fav turkish food… iskender. This has to be one of the best iskender i‘ve tried here in Paris and also in germany!! The Döner is selfmade and u can taste the texture being fatty and well seasoned. The staff is very nice and they will offer the warm-hearted treatment u know from turkish people. Even the price is very good for Paris. Overall a very...
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