One of my favorite restaurants in Montreal, Restaurant les Belles-Soeurs has it all. Located on sleepy and quaint rue Marie-Anne, this cute, unpretentious spot serves a delicious mix of North American diner food and French classics. My friend and I started with the escargot gratin, then each got a burger trio (burger, fries, salad, and a beer for around $20) and finished off with a pudding chômeur.
Everything was fresh and delicious - perfect comfort food to nourish the soul. The ambience is perfect since it was warm, we sat at a table outside, while a speaker played some relaxing jazz piano music. However, I have also visited with my girlfriend in winter, where we enjoyed the cozy interior. A bonus is the aquatic themed bathroom, which is totally unexpected, but fun nonetheless.
The staff is incredibly kind as well, and they were able to accommodate my friend's sesame allergy by letting him bring his own burger bun. This place really is the definition of a hidden gem. Whether you live in Montreal year-round or are visiting, I would highly recommend paying a trip to Restaurant les...
Read moreQuand nous sommes arrivés hier soir (samedi), le restaurant était vide à part pour un grand groupe. Personne ne nous a accueillis mais nous avons trouvé une table propre parmi plusieurs tables sales non débarrassées. Deux employés étaient derrière le comptoir, mais ils ne semblaient pas nous avoir vus. Ils étaient en train de parler ensemble. Après plusieurs minutes d'attente, un troisième employé est arrivé et est allé derrière le comptoir lui aussi. Je suis allée le voir pour lui demander (c'était la première fois que j'allais dans ce restaurant) s'il fallait commander au comptoir ou attendre à la table pour commander. Il m'a dit à la table, donc je suis retournée m'assoir. Quelques minutes plus tard, une des deux employés qui parlaient derrière le comptoir est arrivée avec deux menus. Elle ne nous as pas salués ni accueillis, elle a juste déposé les menus devant nous en disant un seul mot : "Excusez". Puis, elle est revenue avec deux verres d'eau et une bouteille d'eau qu'elle a déposés sans nous dire un mot. Pendant ce temps, le grand groupe a commencé à se lever pour s'en aller. Chacun semblait payer individuellement au comptoir. Une quatrième employée est arrivée et est venue nous voir pour dire qu'elle serait avec nous dans un instant, qu'elle devait d'abord faire payer le groupe. J'ai demandé si on ne pouvait pas plutôt commander d'abord (nous n'étions que deux) afin que notre commande commence à être préparée tout de suite. Elle a marmonné quelque chose qu'on n'a pas compris, puis elle est partie et a commencé à faire payer chaque personne du grand groupe individuellement. Les deux autres employés étaient toujours derrière le comptoir, l'autre avait disparu dans la cuisine. Après plusieurs minutes, voyant qu'elle avait choisi de faire payer tout le groupe d'abord et que les autres employés ne venaient pas nous voir, nous nous sommes levés et nous sommes sortis. Personne ne nous a jeté un seul regard. Comment 4 employés n'arrivent pas à s'organiser suffisamment pour servir 2 tables dont une qui vient d'arriver me stupéfie. De plus, il me semble que dire bonjour, sourire aux clients, leur parler de manière intelligible et courtoise ne devrait pas être trop demandé. Nous sommes allés manger ailleurs, où nous avons été servis avec professionnalisme et gentillesse. Dommage qu'on ait perdu notre temps aux Belles Soeurs, mais c'est une erreur que je...
Read moreMa première prise de conscience de la réalité du « restaurant de quartier » qu’est Les Belles Sœurs m’est parvenue après avoir tourné en rond pendant 15 minutes pour trouver un stationnement qui n’était pas réservé aux élus de la zone 90. La deuxième prise de conscience fut au contact mon palais avec le délectable Burger d’agneau Belles Sœurs. J’ai vraiment eu l’impression de déguster un bon hambourgeois « maison ». Avec leur « incontournable » (dixit la serveuse) gâteau au chocolat, j’ai également été frappé par la similarité avec ceux que l’on retrouvait dans le livre de recette de ma grand-mère.
L’attrait du lieu ne s’arrêtait pas là. Il y avait quelque chose de serein dans la cadence des cuisiniers et la musique qui imprégnait l’air. Il semble clair que le restaurant se donne comme raison d’être de demeurer un repaire pour les résidents du quartier, ce qui implique une forme de stabilité : la décoration, le mobilier, dit-on, n’a pas changé depuis des lustres (pour moi il en était presque mélancolique ou nostalgique). Le menu comporte des plats qui contenteront les estomacs de chacun sans égard à l’heure de la journée, mais cela n’empêche pas quelques assiettes du moment de faire leurs apparitions de temps en temps.
La première mauvaise surprise, c’est mon derrière et mon dos qui l’ont eue en m’assoyant un peu trop vivement sur le banc au comptoir que je croyais moelleux. Erreur. Il est dur et pas des plus confortables, mais d’aucuns diront que cela en fait son charme. La deuxième mauvaise surprise a été captée par mes yeux alors que le chef se léchait les doigts avant de manipuler à nouveau des aliments. Ça fait très « maison » aussi, mais un peu de retenue serait appropriée. Je souligne au passage que tout le monde était de bonne foi et de bonne compagnie. Donc, si je le mentionne, ce n’est pas pour me venger, mais plutôt pour vous aider à vous améliorer.
Je n’aborde qu’à la toute fin leur hambourgeois du moment, le Philly Steak. Il possède des qualités évidentes, mais il n’est pas aussi remarquable, selon moi, que le chaleureux Burger d’agneau...
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