Librairie Mollat — Attraction in Bordeaux

After communicating with Mollat management people, I got my refund finally. They clarify their refund policy, here I share to all. Whatever the reason, if you would like to return the product what you bought and accord with their return policy, you have to return book back first, then there are 2 ways to refund: 1) they print you a piece of paper -- "Avoir" , it records the amount which should return to you. You could use it for next shopping. 2) you send them your BANK RIB number and your post address by email ( i feel that is not safe for personal bank information), they will find a way to return money to your bank account in 10 days. Anyway, you do not have any possibility to have refund by your original payment way, and return process will be long, please be patient. It will be very difficult for foreigners who stay in France in short period and whose bank account in oversea. So whatever you want to go shopping in their shop or their site, please be very careful. Their shop is nice, but their after-sales service could be a problem.

Original post: J'ai acheté plusieurs livres dans librairie Mollat Bordeaux pour les cadeaux de Noël, Puis j'ai trouvé 3 livres que j'avais déjà offert auparavant. Je suis donc revenu en boutique pour les rendre. Mais la dame de la caisse m'a dit qu'elle ne pouvait pas faire de remboursement, elle pouvait seulement me donner un "avoir de bon achat" pour mes futurs achats. Je ne peux pas comprendre pourquoi Mollat refuse le remboursement ? Ce type de librairie, je n'irai plus jamais aller...

Je me suis trouvé exposé la semaine dernière à l'agressivité inadmissible de la responsable des caisses. L'histoire est la suivante : on m'a donné cet été un avoir de 45 euros (achat en double). La personne qui était à la caisse ce jour là m'explique aimablement que je pourrai présenter une photo de l' avoir pour payer mon prochain achat car "les avoirs se perdent on le sait bien". Elle m'explique très gentiment que le code barre de l'avoir, une fois scanné, rendra inutilisable sa version papier qui n'aura plus de valeur et ne pourra etre utilisé une seconde fois Je lui fais répéter pour être bien sûr que je pourrai revenir avec une photo. "Oui, oui, c'est bien ça". Mardi 3 décembre, je présente la photo de mon avoir en caisse comme on m'a dit de le faire. La cheffe de caisse s'approche vers moi et m'explique que je dois présenter l'avoir sous format papier. Je lui explique que ce n'est pas ce qu'on me l'on m'a indiqué cet été. Sa réponse à été : "Manifestement, vous n'avez pas compris ce que l'on vous a dit. C'était pourtant pas compliqué". Je lache alors mes trois livres sur le comptoir (une chute de 5 centimètres), une protestation mesurée. S'en est alors suivi, une suite ininterrompue de propos agressifs. "Vous détériorez le matériel de la librairie..." (je respecte les livres plus que la plupart des gens et nai jamaisvoulu endommager quoique ce soit cela va sans dire). Pire encore : alors que j'avais gardé un calme méritant, lorsque jai commencé a argumenter cette jeune femme est devenue odieuse en me repetant 10 fois : "Mais oui monsieur. Bien sûr monsieur", sur un ton provocateur, sans jamais prendre la peine de m'ecouter. Et... le meilleur pour la fin : elle m'a enjoint de quitter la librairie : "Il va falloir penser à sortir maintenant". Je n'avais pas élevé la voix, il n'y avait pas de queue en caisse et... je n'avais toujours pas pu expliquer ce que la caissière de l'été m'avait dit. J'ai donc dû revenir quelques jours plus tard, faire 2 fois 15 minutes de trajet, me garer, payer mon stationnement... pour revenir avec mon avoir en version papier et ainsi récupérer mes cadeaux de Noël. Nous sommes dans un lieu d'ouverture aux autres, de curiosité et de culture. Je ne comprends pas pourquoi je dois défendre le "bien vivre ensemble" dans une librairie. Mais, plus encore, l'une des différences majeures entre amazon et une librairie c'est précisément l'accueil. Le monde change et pour conserver emplois et commerces physiques, l'amour du metier et le dévouement sont d'importants remparts contre le tout electronique (et le tout mollat.com). Cette dame, dans son attitude hautaine semble étrangement immergée dans l'ignorance de cette réalité pourtant difficile à ne pas voir. 10 décembre, suite et fin de l'histoire : je reçois un courriel de la dame (sans que je donne l'autorisation au service communication de Mollat detre contacté par cette personne avec qui jai eu une altercation🫤) qui reconnait que la librairie accepte les photos des avoirs. Un bon debut😁 me dis-je. Mais... patatra !!! La dame...met en cause son équipe 🥳👏(qui nest jamais intervenue dans nos échanges) : "la communication avec mon equipe nest pas au point". Un concentré de courage et honnêteté : quelle élégance 😄 ! Je suis tres étonné que l'on puisse donner des responsabilités à quelqu'un de si peu qualifié et formé à l'accueil du public. Il y a certainement un poste sans dimension commerciale ni manageriale pour ce type de profil en attendant que ses aptitudes élémentaires se développent (approvisionnement, saisie des commandes...). Je veux bien être sympa mais à un moment il faut dire les choses. Qu'ajouter de plus ? Je ne retournerai plus chez Mollat dont les bonnes intentions affichées par la direction (message ci-dessous) ne viennent pas contenir l'agressivité et la malhonnêtete inoxydables de cette salarié 😝. L'emplacement, la surface, les boiseries qui rendent le lieu formidable ne donnent pas le droit de manquer de respect à la clientèle ! Ce n'est...

Moi : Bonjour auriez-vous le livre "les pleurs" de Desbordes-Valmore ?

Un instant s'il vous plaît, je regarde cela... Oui c'est bon, nous l'avons, il est rayon poésie sur votre droite par là bas.

Moi : Super, merci, dis-je d'un air joyeux. Je m'avance donc dans la section de la librairie qui m'a été indiqué, je regarde un peu à droite et à gauche et pour combattre ma timidité, je décide d'aller demander à la jeune et charmante libraire au lieu de simplement le chercher par moi-même. Ce qui fut une erreure interréssante vous allez le voir :

Moi : Bonjour, auriez vous ce livre (je lui montre une photographie du livre)

La libraire : Laissez moi cela sur l'ordi... Hum non désolé, on ne l'a plus.

Je n'ose pas dire qu'un homme vient de me dire qu'il l'avait trouvé dans les références informatique¿ [trouver le terme exacte pour la version définitive de la nouvelle]

Moi : D'accord, pas de soucis. On est bien d'accord vous et moi qu'il y avait bien un soucis, mais je ne voulais pas risquer de rentrer en conflit avec elle. Je retourne donc près de l'entrée, j'allais ressortir, mais je recroise le libraire alors par acquis de conscience, je lui fait part du fait divers.

Il me répond qu'il est certain qu'il y a des exemplaires de mon livre et il s'apprêtait à aller dans la section où il devait se trouver.

Moi : N'allez pas la voir s'il vous plaît, cela lui manquerez de respect, si elle dit qu'elle ne l'a pas trouvé (le livre : ), c'est qu'il n'y ai Véritablement pas.

Le bouquiniste : Elle s'est peut-être trompé, mal regardé, me dit-il en y allant tout de même.

Je m'inquiètie [rendons plus jolie le passé simple de ce Verbe] du fait qu'elle puisse se dire que je suis encore un homme qui ne considère pas les femmes comme compétente / Les considères moins compétentes que les hommes.

Quelques courtes minutes plus tard, il revint avec le livre en main.

Moi : L'erreur est Humaine apparemment, dis-je avec un rire jaune.

Il me répondit je ne sais plus quoi, je ne m'écoutait pas attentivement (je m'excuse infiniment), j'étais entre le soulagement entre avoir le livre que je cherchais et l'inquiétude de ce que pouvait penser la libraire.

Moi : Comment la libraire la pris¿ [est-ce la bonne forme verbale] ?

Le libraire, je le paraphrase, comme la plupart des dialogues écrit de souvenir¿/mémoire¿ :

Elle l'a bien pris, elle s'est juste trompé.

Moi : D'accord, me voilà rassurée, dis-je en réalité qu'à moitié soulagé.

Je me baladie dans la librairie, prenant quelques autres références qui me plaisait bien dans la poésie, l'antique et la vulgarisation scientifique.

J'ai hésité plusieurs fois d'aborder la libraire.

Mais quand j'eu 5-6 livres sous coude, il fallait bien soit aller à la caisse, soit aller l'aborder. J'ai initialement choisi lâchement d'aller vers la caisse, et en tournant, je l'aperçois rangé des livres près de ce que croyais être la caisse tellement j'étais pas aware de mon environnement mais dans mes inquiétudes. Alors je décidie de prendre mon courage de personnage de nouvelle et je l'abordie :

Moi : Excusez-moi, c'est juste pour vous dire que quand je suis retournée vers l'entrée j'ai recroisé le libraire envers qui j'avais initialement demandé s'il y avait le livre dans la librairie.

La libraire : Ce n'est pas grave, je n'avais juste pas assez descendu dans le logiciel de référencement.

Moi : D'accord, et il faut que vous sachiez que ce n'est pas moi qu'il lui ai demandé de venir vérifier. Je voulais qu'il vous fasse confiance.

La libraire : C'est gentille de votre part.

Moi : Et moi je suis content d'avoir pu vous rassurer.

Je me rend compte qu'en réalité, c'est moi que j'ai rassuré...

[[Extrait de ma future nouvelle autobiographique de mon périple vers et...