Cosmos, a quaint breakfast place in Montreal, is a hidden gem that offers great value prices, amazing tasting breakfast, good portions, and a rich history that they embrace. From the moment you walk in, you feel a warm and welcoming atmosphere that instantly sets the tone for a cozy breakfast experience.
The menu at Cosmos is diverse and offers a wide range of options for every taste bud. The good morning burger is a must-try, and the fluffy omelettes are simply divine. The portions are generous, leaving you feeling satisfied and energized for the day ahead. The prices are also very reasonable, making it a great spot for a budget-friendly breakfast.
What sets Cosmos apart from other breakfast places in Montreal is its rich history and tradition. The restaurant has been around for years and has remained a family-owned business even after changing owners due to tragedy throughout that time. They have embraced their heritage and the history of Montreal, making it a place where locals and tourists alike can experience a taste of the city's past.
The decor at Cosmos is also a nod to their history, with posters and photographs adorning the walls. It's a charming and nostalgic touch that adds to the overall ambiance of the restaurant.
The service at Cosmos is friendly and attentive, making you feel like part of the family. Will talk to you in French or English so great for tourists. The staff is knowledgeable about the menu and can offer recommendations if you're unsure what to order.
Overall, Cosmos is a fantastic breakfast spot that should be on every foodie's list when visiting Montreal. With its great value prices, amazing tasting breakfast, good portions, and rich history, it's a must-visit for anyone looking for a truly authentic...
Read moreUse to be a great spot before the 2 girls left... Now...not so much... Just went there and left due to the terrible service.... I stood there about 15 minutes didnt get greeted, wasnt acknowledged the whole time.... I seen the counter lady/ waitress- Outside smoking a cigarette when i arrived... She came in didnt wash her hands.... Handles someones money, wiped the counter with a crusty rag, handles someone elses money WENT TO THE TOASTER AND TOUCHED THE BREADS AND BAGELS...MADE THE SANDWICHES.... Wiped down another spot on the counter with that same crusty rag... TOOK A FULL COFFEE PITCHER OUT THE FRIDGE AND PUT IT ON THE COFFEE WARMER... 🤢🤮....so coffees not fresh.... Handle another set of toasts and bagels... Sneezed.... Wiped her hands with the crusty rag... Make another sandwich.... I was not only disgusted but insulted that i never got greeted, the service was terrible the eggs on the stove were brown and oily... They were super busy i can understand being short staffed and rush hour..... But being rude and not acknowledging paying customers.... Not even greeting them.... Wow... While i waited to nit be served... i seen a older couple beside me paying the bill right down to the last cent to avoid tipping the waitress... I would get another counter girl because her rudeness are going to cost u alot of customers... You cost me and my family.... I go there with my 4 kids and husband often.... And i wont be going back until you hire someone who knows how to... at the bare minimum greet customers, AND WASH HER HANDS BEFORE...
Read moreQuel bonheur !
L’inspiration pour ce titre, je l’ai reçue de ma mère qui se tenait debout devant la fenêtre, contemplant son jardin. Celui-ci est l’implantation de sa vision où chaque fleur et feuillage occupe la place qui lui convient, créant un champ visuel harmonieux et apaisant. Voyant que son nouvel hosta se développait et bouchait un trou vacant laissé par des marguerites restées sous terre, elle soupira : « Quel bonheur ».
Moi aussi, au Cosmo, j’ai ressenti du bonheur. L’absence de préoccupation, l’agréable compagnie de mon amie K. — cet être attachant au joli minois —, la sensation thermique parfaite sur la terrasse, la tranquillité de ce coin de la rue Sherbrooke, la modestie et l’authenticité du local et, il va sans dire, le déjeuner 100 % goûteux et 0 % dispendieux : un tableau gracieux créant un moment idyllique dans lequel je me suis mis à flotter comme un nuage.
La nidation du Cosmo dans le village Monkland ne date pas d’hier. Vous le constaterez en avisant son enseigne, rustique et défraîchie, ses tabourets crevassés, son mur des souvenirs, rappelant aux visiteurs l’ère où Tony Koulakis puis Nikos Koulakis s’affairaient à sustenter leurs clients. Depuis, les propriétaires ont changé, mais le menu, lui, non, par bonheur. Ainsi, en y mettant les pieds et en optant pour l’omelette Mish Mash et le « Sandwich Création », deux de leurs mets les plus populaires, vous plongez la tête première dans le passé ; ce que plusieurs cafés-restaurants modernes tentent de recréer comme ambiance rétro, vous l’avez ici, en viande et en os.
Poc ! Poc ! On cogne dans la fenêtre avec un bâton, c’est le signal que notre repas est prêt à être ramassé au comptoir. À moins de 15 $ par personne, nous avons à notre disposition deux assiettes copieuses, chacune avec du café illimité (que j’ai pris volontiers avec un peu de sucre et de lait pour réduire l’amertume) et leurs patates en galette. Ces dernières, jouissant de la réputation de croquantes et savoureuses, avaient fait la gloire de Tony, surnommé affectueusement par certains « le dieu des patates ». Malencontreusement, sans savoir s’il s’agissait d’une question de perception ou de lot, les nôtres ne semblaient pas correspondre à la description de « craquantes ». Toutefois, leur manque de caractère a été sauvé par la délicieuse omelette Mish Mash, bien en chair et rehaussée par l’inimitable fromage en tranche, et le croustillant Sandwich Création, abritant un œuf sur le plat parfaitement cuit, bacon, laitue, tomate et, cela va de soi, fromage. Mon cholestérol n’a qu’à bien se tenir !
Alors que je finissais, tranquillement pas vite, les patates esseulées, j’écoutais K. passer du sujet de l’impôt à celui de l’enfance, en passant par les défis de l’immigration et la difficulté à rencontrer des gens serviables. J’ai alors brièvement aperçu une aventureuse petite fourmi de pavé se glisser dans la poche de sa chemise, en quête d’aliments… et moi de rester sans dire mot ! Cela constitue, a posteriori, l’élément le plus perturbant de cette anecdote. On ne dit pas souvent : « Eh ! tu as une fourmi sur ta chemise », mais on peut facilement conclure que ça aurait été la bonne chose à faire. Serait-ce mon manque de sommeil qui a eu le dessus sur ma chevalerie ? On discutait justement d’apprentissage de la vie, d’expériences qui nous rendent plus matures et sages, et je compte bien faire mention honorable en ne laissant plus jamais de bibittes envahir librement l’espace privé de quiconque ! Il faut faire aux autres ce qu’on aimerait qu’on nous fasse !
Et moi, j’aime bien qu’on me recommande de bons restaurants, alors je vous recommande de tout cœur celui-ci, car, bien que l’abord en anglais seulement lors de ma visite ait la capacité de déplaire, j’ai trouvé le Cosmo délicieux, très attachant et pas cher du...
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