Very underwhelmed. The food was a 6/10, the service from our waiter was subpar and it felt like we were forgotten on multiple occasions. The bus and other staff were very friendly though.
Our wagyu was served blue (below rare) which would be ok if it wasn’t extremely chewy and somewhat of a chore to get down. Same goes for the beef tatak, which was also surprisingly bland for how beautiful the presentation was. Both sauces and accompaniments were totally misplaced for the type of meat served. As someone who is well versed in both Korean and French cooking I feel that the fusion element didn’t add anything to these dishes. It actually subtracted. It was really forgettable, which was such a disappointment.
The waiter more or less disappeared after our mains were served. I ordered another glass of wine to go with my cheese course, and the wine never arrived. The waiter never came back outside until after dessert was served. Luckily the busboy came by and asked why I wasn’t eating my cheese.
The food was ok. I wonder if it stands out in Deauville because practically every other restaurant serves more or less the same menu. As an outsider I feel this left a lot to be desired and tbh I wouldn’t recommend this restaurant.
There were other issues but I don’t want to keep writing about this. Stick to the other repetitive restaurants in Deauville and don’t expect a sensational meal during...
Read moreVisite qui est juste antérieure à l’obtention de l’étoile Michelin. Mais ne vous leurrez pas, je n’en ai pas changé une ligne !
Etant la dernière étape de notre séjour à Deauville, normal que je soigne la sélection. Pas de grande originalité puisque L’Essentiel est l’un des restaurants très côtés à Deauville.
Décor classique aux teintes grises (hélas), lustres en plumes French-Cancan et sapin de Noël squelettique. Ce dernier aura probablement disparu à votre visite. Mais globalement un bel espace lumineux grâce à une grande verrière et un mur de baie vitrée donnant sur la large terrasse.
Belle entrée un peu atypique puisque le veau est plus rarement présenté en tartare. Mais la mode envahit les assiettes des belles tables. L’alternative se situe entre privilégier une bête de qualité française, élevée au lait, mais qui aura donc un goût assez faible qui devra être balancé par un assaisonnement vigoureux; ou prendre, comme les Thuillant, un veau de Galice, à peu près tout aussi tendre mais au goût plus marqué. On est plus proche de ce qu’on appelle un “broutard“.
Cela leur permet de laisser libre cours à leur mélange classique/exotique pour agrémenter l’assiette, entre pousses d’herbes, câpres à queue et liquides goutûs.
Même principe pour les gambas que l’on trouve en version Carabineros (ou Moruno, surnom espagnol) avec un accompagnement de jus de passion et calamansi, citron asiatique avec une teinte gustative de clémentine.
C’est un citron plus classique que l’on retrouve avec la mousseline de panais, afin de casser son goût douceâtre. Elle recueille les noix de Saint-Jacques parfaitement cuites. Vous remarquerez en gros plan la belle texture nacrée. Seule la soubressade est un peu trop discrète alors que les choux Romanesco et Pak Choï trouvent parfaitement leurs places dans l’assiette.
Comme nous sommes en hiver, ce sera encore un légume de saison, le topinambour, qui fera l’émulsion accompagnant les ravioles de canard et foie gras. Ce pauvre topinambour n’a pas de chance car, en plus de sa réputation liée à la 2nde Guerre Mondiale (il ne faisait pas partie des légumes réquisitionnés), ses différents noms n’ont rien à voir avec ses origines véritables.
Le plus commun vient du nom d’une tribu indienne et le second, artichaut de Jérusalem n’est qu’une déformation phonétique de son nom italien, “girasole“. Et il est de la même famille que le tournesol ! Etonnant non ?
Le dessert caramel miso et ananas est lui aussi l’aboutissement d’un très bel équilibre de saveurs.
Service efficace tout en n’étant pas guindé.
Ma conclusion ? Maison qui mérite sans aucun doute une récompense. Mais avec, comme toujours, une marge de progression. Celle-ci se fera probablement au niveau technique des préparations. En effet, si l’harmonie des goûts, le travail de découpe et de présentation sont bien là, il manque une complexité au niveau des techniques de cuisson, des sauces qui sera nécessaire pour valider l’étape suivante.
Et il faudra mettre de l’eau chaude au lavabo des toilettes…
Conclusion post-étoile ? Allez faire un tour en parallèle au Bréard à Honfleur. Vous comprendrez pourquoi l’un a su attirer l’attention du Michelin et pas l’autre. Si il possède une pointe de technicité en plus que l’Essentiel, il manque au Bréard cette harmonie gustative, cet équilibre dûs à une audace d’alliances, présents à Deauville.
Merci à mes amis qui m’ont incité à découvrir cette table juste avant sa révélation publique.
Addition de 183...
Read moreDining at L’Essentiel in Deauville was an unforgettable experience. From the moment we stepped inside, the warm yet elegant atmosphere set the tone for an exceptional meal. The staff were welcoming and attentive, striking the perfect balance between professionalism and friendliness, which made us feel comfortable right away.
The food lived up to its Michelin-star reputation. Each course was beautifully presented, with flavors that were refined yet approachable. The ingredients were clearly of the highest quality, and the chef’s creativity shone through in every dish—from the delicate starters to the perfectly balanced mains and desserts. Every bite felt thoughtful and memorable, a true celebration of French gastronomy.
What made the experience even more special was the seamless pacing of the meal. It never felt rushed, allowing us to savor each course and enjoy the occasion fully. L’Essentiel is not just a restaurant, but a destination in itself—one I would highly recommend to anyone...
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