Le Grand Café des Négociants — Restaurant in Lyon

UNE CATASTROPHE

Chères lectrices, chers lecteurs,

Cette adresse, bien que paraissant séduisante, est à éviter absolument. En effet, vous y trouverez des serveurs incompétents et amnésiques en plus d'être désagréables. Laissez-moi vous raconter:

Michael, notre serveur de la soirée (quelle chance...) était si débordé qu'il n'a pas su nous apporter les bons communards (jusqu'ici, rien de dramatique). Cependant, lui ayant signalé la méprise quant au mauvais communard apporté (pêche au lieu de fraise), ce dernier rétorqua après un soupir et des yeux au ciel: "Vous n'aimez pas la pêche ???". Alors Michael, si je puis me permettre, on aurait pu espérer meilleure réponse dans un établissement qui facture 26 euros L'UNIQUE TRANCHE de foie gras. À ce sujet, mon amie avait spécifiquement demandé s'il était possible de faire une demie portion de cette entrée dite "à partager", car je n'aime pas le foie gras. Le serveur répond tout sourire que c'est possible sans soucis, nous ne sommes donc pas surprise de voir arriver une tranche, ma foi quelque peu seule dans son assiette, mais qui correspond tout à fait à la dite demie portion demandée et accordée sans problème. Quel ne fut pas notre étonnement lorsqu'au moment de payer l'addition (que nous avons attendue 30 minutes après l'avoir demandée) nous découvrîmes que trois communards avaient été facturés (nous en avons donc eu deux, dont un faux et non consommé) et que la tranche solitaire de foie gras nous a été facturée au prix entier, donc 26 euros. De par nos expériences et en prenant en compte notre lieu d'origine (la Suisse), lorsqu'une demie portion est accordée, le prix s'y accorde et si le prix n'est pas modifiable, cela nous est signalé. Nous avons donc tout d'abord signalé le communard de trop, que le barman (peut-être la seule âme aimable de ce restaurant) nous a bien retiré. C'est alors qu'arrive le maître d'hôtel, à qui nous expliquons la méprise. Ce dernier soupir à en faire s'envoler la dernière once de patience que nous avions à minuit passée, et déclare, attention: "Non mais en fait vous comprenez pas. A partager c'est pour une personne. Je vais vous remontrer la carte vous avez pas l'air de comprendre." (même le barman avait honte du ton suffisant qu'il a décidé d'employer pour s'adresser à nous, deux pauvres écervelées...). Le barman ayant empêché ce cher maître d'hôtel de nous remontrer sa magnifique carte et la mention "à partager" (apparemment je suis idiote), le maître d'hôtel décida d'aller chercher Michael, notre cher serveur quelque peu amnésique. Il vint donc nous voir, prenant un ton bien plus calme que pendant tout le repas et confessa : "Pour être tout à fait honnête, je me souviens pas que vous aviez demandé une demie portion parce que ça existe pas ici.". En même temps, nous n'en attendions pas plus de la part d'un serveur qui ne distingue pas la pêche de la fraise. Puis, il rajouta avec un petit sourire en coin et les sourcils relevés : "C'est parce que c'est trop cher c'est ça le problème?". Alors, non. D'une part, sous-entendre que mon amie est une menteuse et invente la partie demie portion est déjà audacieux. Mais rajouter à ceci que nous n'avions pas les moyens de nous rendre dans leur ô grand établissement prestigieux, c'est un peu trop. Mon amie est conciliante et ne souhaitait pas faire éclater un conflit, alors elle déclara simplement qu'elle n'allait pas faire d'histoires pour 13 euros, mais qu'un peu plus de franchise et de politesse n'auraient pas été de trop. Nous sommes sorties de ce restaurant remontées, affamées (une tranche de foie gras et un échantillon de tartare de boeuf n'étant pas énorme pour les prix, vous en conviendrez), et quelque peu avec le sentiment de s'être faite arnaquées.

En bref, les apparences sont trompeuses et vous aurez meilleur temps d'aller dans un délicieux bouchon, comme "Les fines gueules", où le personnel n'est ni misogyne ni méprisant, et se souvient des commandes du premier coup. Le communard y est d'ailleurs bien meilleur.

Belle lecture et bonne journée, hors de cet...

Very disappointing experience. I have lived in Lyon for 4 years and this used to be my favorite cafe. Today after bragging about this restaurant to my cousin who was visiting all the way to California had an experience very bizarre. Walk in to see empty tables everywhere but a line out the door. We waited in the line for over 10 minutes without even 1 person saying hi or explaining what the situation or wait was. Finally I asked a waiter who was passing by if we can sit down at the open tables or wait in the line. He said with much attitude that we had to wait in line and that it was not his responsibility to sit people and to wait for the woman with the vest. I can see this women from far away looking at the line out the door but she just stayed next to the bar almost avoiding the long line. After another 5 minutes a couple decided just to sit down at one of the open tables and just 2 minutes later the same waiter who told me to wait in the line approached the couple to take their order. I was shocked. We finally left, very sad to say that I won’t be...

I might have given this place 3 stars, except for the price / value ratio. Started with rose sparkling wine which was not so great, to burnt and hard bread.

We ordered Lyon fixed menu, 3 course meal that started with French onion soup, followed by gnnochi and tart aux pralines dessert.

Sadly, I've had better French onion soups in the Netherlands, and yes, even in America. For goodness sakes, there is "French" in the name of the dish! Super hard bread, hardly much cheese, and rather blend bouillon. Gnochi was also tasteless, though the sauce was good, and rice dish was good while it was warm. Not so much after it cooled down. The best part of the dessert, with all due respect, was the yogurt ice cream. One of the rare times I left dessert unfinished.

The service was okay - not spectacular, and not so terrible. But for €100 lunch with tips for 2 people, we could have had much better experience. I might have given it 4 stars if the price were €40.

Doubtful I would return, as there are so many good...